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Mois 06, année 6, après la bataille de Kashyyyk. Les arbres font de l'ombre au soleil et le doux parfum d'un été qui s'annonce est charié par les fleurs. Les températures sont chaudes et douces et varient entre 20 et 30 degrés.
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 Great cold distance - Horiel


                                                                 
- Horion Kriss -
alliance rebelle
Horion Kriss

    A NEW HOPE

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monnaie chromium : 961
identité : Avara
pronom : Iel
doublures : Eden Farhor
faciès et crédits : Domhnall Gleeson + andthereisawoman
labeur : Chevalier Jedi, Espion de l'alliance Rebelle, Lieutenant Ingénieur Empire
origines : Naboo
myocarde : Définitivement Aziel, mais l'amour c'est toujours compliqué
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rps et disponibilité : - I want you Back - Feat Remus and Azazel
- when it's time (please don't leave me) - Aziel
- Don't give up - Aldebaran
- The Rythme of the Day - Cassian
- The only way of loving me baby Is to pay a lovely fee - Arcturus
- rp commun 1 : la course pour l'empire


  THE DARK SIDE

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Message(#) Sujet: Great cold distance - Horiel Great cold distance - Horiel EmptyMar 25 Mai - 8:48

Great cold distance -  @Aziel Osrick

- Salle de stockage -


TW : dépression, mention de crise de panique
La routine devenait une chose habituelle maintenant pour Horion. Bien qu'il peine consciemment à reprendre une vie normale, comme avant, cela semble s'améliorer un peu avec le temps. Voilà bientôt six mois qu'il avait refait surface dans l'alliance. Les premiers temps ont été terriblement difficile, entre son handicap qu'il n'acceptait pas, tout son mode des deux dernières années écroulé, un échec cuisant de sa mission le tout soldé par une dizaine de jour de torture...Horion frissonnant désagréablement et sentit sa respiration s'accélèrer aux souvenirs douloureux...non ce n'était certainement pas le moment pour faire une crise de panique ! Surtout depuis qu'elles s'étaient considérablement amenuisées depuis ses séances obligatoires avec un thérapeute.

Horion se dirigea d'un pas décidé vers sa salle de classe du jour. Méditation partagée pour les quelques padawans de la base. Se plonger dans la force cosmique, ressentir les éléments de la nature, les cellules de chaque être vivant autour d'eux, les visualiser d'une manière différente, les yeux fermés, afin d'être préparer à toute éventualités même privés de sens. Pas son activité favorite mais le conseil ne lui avait de toute manière pas laissé le choix sur les activités qu'il devait conserver sur la base... . Jugé inapte au travail sur le terrain, voilà où il en était encore actuellement. Cela le frustre certainement...Le mettait particulièrement en colère, Horion refusait de voir la réalité en face. Il était cassé, il s'était brisé dès ses premiers pas dans l'empire et son apogée avait été la finalité de sa mission. Il ne savait même pas s'il était réparable. Il s'accrochait actuellement comme il le pouvait en tout cas. Il n'avait pas vraiment le choix.

Le cours se passe comme à son habitude, difficile. Horion n'était pas le meilleur professeur pour donner le change. Le comble c'est qu'il peinait même à effectuer ses propres sessions de méditation alors comment le transmettre à ses élèves quand son aura criait mal être et souffrance dans la salle de classe étouffante. Les deux heures passèrent rapidement et c'est seulement quelques minutes plus tard qu'il se rendit compte que les étudiants étaient sortis de sa salle et qu'il était seul...livré à lui-même. La solitude finissait par peser avec le temps. Horion avait perdu des gens qu'ils aimaient, qui étaient partis, pas sur la base. Il se sentait complètement perdu dans cette marée constante de recrues, d'allers et venues

Pourtant, il ne pouvait pas vraiment abandonner n'est-ce pas ? Il le pourrait évidemment mais à quoi bon ? Ce n'était pas ainsi qu'était le chemin que la Force avait façonné pour lui et pourtant, il avait dû mal à trouver la foi de continuer. C'était dur. La douleur ne partait pas, jamais. Qu'elle soit physique, morale, l'absence d'Aziel lui rongeait le cœur.
C'est comme ça qu'il s'est retrouvé un beau jour à consommer des opiacés cosmiques. Une vilaine habitude de ses dix jours à l'infirmerie, d'abord pour la douleur de sa jambe. Désormais juste pour oublier, contempler ce moment d'euphorie fugace qui se traînait le long de ses veines avant que la lente agonie ne revienne en force. C'était devenu presque un rituel. Il allait chercher ça, il le consommait au plus creux de la nuit certains soirs, puis il continuait comme si tout allait comme avant.
Horion se sentait de plus en plus distant de toute façon. Des autres, de lui même, comme s'il n'était plus vraiment là depuis longtemps.

C'est la sonnerie de son datapad qui le réveilla d'une autre crise de conscience dont il n'arrivait plus à se débarrasser. Son thérapeute ne serait certainement pas ravi...merde. Le voilà qu'on l'assigne à une des tâches les plus moroses de la base. Une semaine au tri, réception des stocks, réapprovisionnement...et bien cela faisait longtemps. A l'époque il l'aurait certainement pris pour une punition. Désormais c'était juste un autre travail...qui lui rappelait certainement des souvenirs avec le stupide pilote.

Il se dirigea vers la cafétéria, attrapa l'un des sandwichs, une boisson soda et se dirigea vers l'étage des entrepôts. Il était encore vide à cette heure-ci. Plutôt habituel, le travail ne devait de toute façon que débuter d'ici une heure. Horion s'assit délicatement sur une caisse pleine, peut-être d'armes ou de fournitures utiles, il ne sait pas et il s'en fiche pour l'instant. Cela lui donne seulement une surface sur laquelle se poser le plus confortablement possible.

Le silence de la pièce l'engourdit un peu. Il trifouille le sachet du sandwich, mordant dans le pain tendre, alors que les saveurs du beurre et de la viande se fondent dans sa bouche. Il soupire. C'est bon. Il n'a pas eu le temps d'avaler quelque chose ce matin et il ne se rappelle pas s'il a mangé hier soir. En tout cas, ce repas frugal lui remplit certainement l'estomac. Il finit par boire cul sec la bouteille de soda qui rafraîchit son corps au passage du liquide gazeux. Plaisir simple, c'est tout ce qui lui reste désormais.

Des pas retentissent dans le couloir, de plus en plus fort. Il lui semble même familier. Sûrement son binôme. Horion se relève et lisse ses tuniques jedi de couleurs couleurs crèmes. Seulement il se fige quand il reconnaît la silhouette qui pénètre dans son espace. Merde. C'était sa chance. Il n'était pas prêt du tout à pareille situation, lui qui tente d'esquiver le pilote depuis bientôt six mois. Depuis les cris, les pleurs et la douleur que la rupture lui a provoqué. Enfin...peut-on parler de rupture à ce stade ?

Horion le fixe, il n'ose pas bouger, ni faire le premier pas. Ses mains tremblent légèrement et il ressent une bouffée d'angoisse qui envahit peu à peu son ventre.

- Je...salut...

Silence à nouveau. Horion n'arrive pas à aligner plus de deux mots. C'est pathétique. Il refuse de montrer sa faiblesse pourtant. Il a mal, dans son cœur mais ça lui appartient. Voir Aziel si près lui donne envie de se blottir dans ses bras forts, il en aura tellement besoin à ce stade mais tout ça, c'est une époque révolue. Finir avant même de commencer. Aucun espoir. Rien.

- J'ai été assigné au stock cette semaine, j'imagine que toi aussi ?
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- Aziel Osrick -
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Aziel Osrick

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identité : tiph
doublures : atlas
faciès et crédits : oscar isaac - mooncalf, texte sign: leonard cohen
labeur : les frissons du vol. red squad leader. l'alliance rebelle. pilote chaotique au grand coeur.
origines : geonosia, il y est passé une fois, mais il la connait pas. il a peur d'y revenir. il a peur de l'affronter.
myocarde : c'est quoi ça? (jk, horion même s'il assume pas)
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Message(#) Sujet: Re: Great cold distance - Horiel Great cold distance - Horiel EmptySam 5 Juin - 21:39

Great cold distance - Horiel 17ce62f22e207e7e82693c3c8d968aea leave me alone i'm pissed

Les lunettes de soleil bien calées sur son nez, le pilote intrépide de l’alliance rebelle parcourait les grandes couloirs de la base cassiopeia en trainant les pieds, clairement pas dans ses bons jours. Une semaine de mise à pied pour avoir délibérément ignoré les ordres pour la troisième fois. Et il avait beau être dans les bonnes grâces de la générale Cassiopeia, il avait dépassé les bornes et elle ne pouvait assurément pas laisser passer tant d’incartades sans sévir. Déjà que la base toute entière savait qu’elle avait une tendresse tout particulière pour le pilote. Elle lui avait fait tout un discours moralisateur devant lequel Aziel s’était contenté de rester silencieux sans une once d’intérêt, allant même jusqu’à répondre qu’il n’avait de toute façon jamais voulu cette place de capitaine, ou même de lieutenant, pour lequel elle semblait si décidée à le préparer; quand elle lui avait fait la réflexion avec une déception certaine que malgré tous les espoirs et la confiance qu’elle plaçait en lui, il semblait décidé à n’en faire qu’à sa tête. Ça ne l’intéressait pas. Son truc, c’était le frisson du vol, l’action; et toutes ces réunions barbantes pendant lesquelles il fallait débattre pendant des plombes pour savoir si oui ou non on agissait, ça le rendait dingue, Aziel. Il s’était toujours dit que ce n’était pas pour lui. Son ton ferme et froid de de matriarche en colère, il l’avait résolument rejeté; lui qui l’avait pourtant toujours considéré comme une figure maternelle sans jamais le reconnaître.

Soi-disant qu’il avait encore joué perso sans une once de bon sens et qu’il avait mis en danger tous ses coéquipiers de mission. En attendant, ils avaient réussi! Bon, avec quelques victimes et plusieurs blessés graves; mais le résultat était là. Qu’est ce que ça pouvait bien leur faire? A quoi ils s’attendaient? Un partie de dejarik? Ils le faisaient doucement rire. Il fallait qu’ils arrêtent de se croire au festival des porgs. C’était un conflit armé avec la plus grande puissance de la galaxie, évidemment que des gens allaient mourir en résistant à l’obscurantisme, c’était un fait, mais des gens mourraient tous les jours sous le joug de l’Empire et ils n’avaient que d’autre choix de prendre des risques, s’ils voulaient avoir au moins une petite chance de les renverser. Mais la décision avait été prise, et elle en résultait en une semaine symbolique de mise à pied, avec interdiction formelle de mettre les pieds sur un seul objet volant ou dans le hangar d’aviation- ou de prendre en charge la moindre mission. A la place, il devait se farcir une semaine à la gestion des stocks de la base, elle l’avait pris pour qui? Mais si elle voulait perdre le temps de l’Alliance à lui faire compter des paquets de papier toilette, qu’elle le fasse. Elle s’en mordrait les doigts plus tard.

Le manque de sommeil pèse sur les paupières, et la gueule de bois marque le visage et traîne une certaine douleur crânienne loin d’être agréable. Il lui est difficile de dormir, depuis des mois. Les insomnies sont ses amies, tout comme les mauvais rêves desquels il se réveille en sursaut, paniqué et la transpiration collant à la peau. Souvent, il y a des larmes aussi. Il les passe sous silence. Il est devenu plus simple de s’endormir en ayant un bon coup dans le nez. Il pousse un soupir désabusé et passe une main dans ses cheveux qu’il n’a pas pris la peine de mettre en ordre après sa douche, l’autre main dans la poche de sa veste en cuir, avant d’entrer dans le hangar des stocks. Pour se retrouver nez à nez avec Horion. Le myocarde manque un battement, dans la poitrine. Il s’est immobilisé, le considérant un instant. Ça le rassure, il a autant une sale gueule que lui - il ignore la petite inquiétude, tout au fond. Celle qu’il repousse avec véhémence depuis des mois. Il y a eu trop de douleur. Il y a des choses qui ne peuvent pas être oubliées, desquelles on ne peut passer outre. Du moins Aziel s’en pense incapable. C’est bien sa veine, lui qui évite le Jedi comme la peste. Faut qu’il se le coltine pendant toute une semaine maintenant? Les mâchoires se serrent sensiblement. Si Cassiopeia avait tout orchestré (ça ne l’étonnerait même pas)…. Il se retrouve comme un con, sans rien dire alors qu’Horion lui a déjà adressé la parole. Farg, il pense. Il n’est pas encore prêt à lui faire face, pas encore prêt à lui parler pour parler de la pluie et du beau temps - alors une semaine entière? Ça lui parait insurmontable. Il se trouve soulagé, d’avoir ses lunettes de soleil. Pathétique, mais ça lui donne l’impression de contrôler davantage ce qu’il lui montre de lui. « Hey. » Hey? Il résiste à l’envie de rouler des yeux en réaction à cette merveilleuse entrée en matière. Il a l’impression d’avoir le souffle coupé, avec lui. Ils ne se sont pas parlé plus de trois phrases sans doute depuis les cris et les larmes, six mois auparavant. Il grimace, et puis hoche la tête. « Yeah. Mise à pied. J’ai pas le droit d’être à trois mètres d’un vaisseau et je me coltine la gestion des stocks pour une semaine à la place, Bakkaghai me… » Il s’arrête et secoue la tête, hausse les épaules. «Bref» Il tourne la tête pour regarder l’immensité du hangar d’approvisionnement, avant de se rapprocher d’Horion pour récupérer le porte document avec les heures estimées d’arrivée des stocks et autres tâches comme les inventaires. Quelle horreur. « eh bah, on est pas sorti » il grogne, puis s’adosse contre des grosses caisses pleines, les coudes en arrière posés au dessus; croisant les jambes. Environ une demi heure d’attente. « Et toi? T’as fait quoi pour mériter un tel ennui? » Il demande, toujours dramatique. La constante, le communicateur avec bb dans son avant bras, rassure quant à son état.
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