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Mois 06, année 6, après la bataille de Kashyyyk. Les arbres font de l'ombre au soleil et le doux parfum d'un été qui s'annonce est charié par les fleurs. Les températures sont chaudes et douces et varient entre 20 et 30 degrés.
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 when it's time (please don't leave me) | Horion | flashback


                                                                 
- Aziel Osrick -
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Aziel Osrick

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monnaie chromium : 745
identité : tiph
doublures : atlas
faciès et crédits : oscar isaac - mooncalf, texte sign: leonard cohen
labeur : les frissons du vol. red squad leader. l'alliance rebelle. pilote chaotique au grand coeur.
origines : geonosia, il y est passé une fois, mais il la connait pas. il a peur d'y revenir. il a peur de l'affronter.
myocarde : c'est quoi ça? (jk, horion même s'il assume pas)
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Message(#) Sujet: when it's time (please don't leave me) | Horion | flashback when it's time (please don't leave me) | Horion | flashback EmptyLun 5 Oct - 1:19

base cassiopeia, milieu de l'an 3
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BB est en train de l’insulter copieusement, avec ses bip bip incessants, alors qu’il s’est isolé dans le hangar, allongé sous un chasseur qu’il est en train d’essayer de réparer. “Je t’entends pas ça sert à rien de hurler” Il balance, de très mauvaise foi, alors qu’il tente de resserrer un boulon avec sa clef à molette. “Putain mais c’est de la merde ce truc et - quoi - mais quoi, encore?!” Il peste entre ses dents alors que BB vient de cogner dans ses pieds. Il soupire et pousse sur ses mains pour rouler hors de sous le chasseur, et affronter le regard plein de jugement de son droïde qui le toise du haut de ses soixante-dix centimètres. Il hausse un sourcil, l’air de dire, maintenant que tu as mon attention, vas y, te fais pas prier. “T’as dix secondes.” Le droïde roule et roule tout autour de lui, et Aziel fait les gros yeux. “Non, j’ai pas envie d’y aller.” Il se redresse et récupère la bouteille de ruée qu’il a caché dans le cockpit de l’engin pour prendre plusieurs gorgées. Il est déjà ivre, ayant passé un bout de la soirée avec deux collègues. Il soupire alors que BB ne s’arrête pas. “ça t’étoufferait pas d’aller dans mon sens, pour une fois?” Encore de mauvaise foi - son droïde n’a jamais quitté sa place à ses côtés, ils sont inséparables et Aziel serait bien perdu sans lui. ça n’empêche qu’il est insupportable, à toujours n’en faire qu’à sa tête et le pousser à faire des trucs dont il n’a pas envie. “Et pourquoi je devrais me bouger? Que je sache, c’est lui qui se barre jouer les héros là, pas moi, il a qu’à venir me chercher” Il grogne et prend quelques gorgées supplémentaires de sa bouteille avant de la reposer et de s’essuyer les mains. Les bip bips de BB ne s’arrêtent pas. ça fait deux semaines que tu l’évites, il pense que tu veux pas le voir. qu’il lui balance comme ça, et Aziel sait bien qu’il a raison mais refuse de l’admettre. Bien sûr qu’il l’évite. Il l’évite parce qu’a priori la lâcheté c’est tout ce qu’il connaît quand il s’agit d’Horion, et de ce qu’il ressent pour lui. Il l’évite, parce qu’il refuse d’accepter le fait qu’il va partir. Il se rassoit et glisse ses mains dans ses cheveux, poussant un long soupire. BB se fait plus doux, et cogne avec douceur contre sa jambe dans un bip bip d’encouragement, et de sympathie. Il se comporte comme un gamin, et il sait qu’il s’en mordra les doigts, s’il laisse les choses entre eux ainsi avant qu’Horion quitte la base - et que quelque chose lui arrive. C’est cette pensée - terrible et qui lui paralyse le coeur - qui le pousse à agir, dans un éclair de lucidité malgré les affres de l’alcool qui sévissent déjà en lui. Il lève les yeux au ciel. ‘alright, c’est bon, j’y vais, t’es content?’ Le droïde confirme, tout fier, et l’observe se laver les mains puis le suit pour s’assurer que son humain ne va pas faire n’importe quoi.

C’est quelques minutes plus tard qu’il entre dans la grande cuisine de la base - ils sont plusieurs à avoir déjà quitté les lieux, mais quelques personnes sont encore là, dont Horion, un peu plus loin, à discuter avec Aldder. Il se rapproche lentement, les mains dans les poches, sans trop savoir comment débuter la conversation. “Hey” C’est le seul truc qu’il parvient à sortir arrivé à leur hauteur. “Az, t’étais où?!” Aldder le toise avec son air  “t’es vraiment sérieux tu foutais quoi, t’as intérêt à plus déconner maintenant”. Ils n’ont plus besoin de se parler pour se comprendre, après tant d’années. Il s’apprête à répondre en faisant un signe de main en direction du hangar mais Aldder se lève aussitôt. “Tu sais quoi, je veux même pas le savoir. Je vous laisse, j’avais promis à BB de l’aider avec un truc” Az lui lance un regard assassin et l’observe s’éloigner - entre lui et BB, il n’y en a pas un pour rattraper l’autre -… avant de ne devoir se concentrer sur Horion. “So.” Il commence, et s’assoit à table en levant son regard vers lui. Il se trouve con. “C’est le grand jour demain, finalement. Tu te sens comment?” Il leur sert à tous les deux un shot de liqueur. Il est nerveux, et ivre, et quand il est les deux en même temps, ça fait pas vraiment bon ménage. “A ta santé” Il lance avant de finir son verre cul sec. Il le dévisage. Il a envie de lui prendre les épaules et de le secouer en lui hurlant dessus jusqu’à ce qu’il change d’avis. “C’est quand que tu t’es dit que c’était une bonne idée d’aller te foutre en danger comme ça?” Il sait qu’il a toujours refusé qu’on s’infiltre dans ses pensées, dans son esprit, mais cette fois, ce serait peut être plus simple. Il devrait s’excuser. De l’avoir ignoré. D’avoir été désagréable, depuis des jours. Il ne trouve pas les mots, lui qui a toujours été pourtant un beau parleur. A la place, il ne fait sans doute qu’empirer les choses.


Dernière édition par Aziel Osrick le Sam 10 Oct - 13:55, édité 1 fois
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Message(#) Sujet: Re: when it's time (please don't leave me) | Horion | flashback when it's time (please don't leave me) | Horion | flashback EmptyLun 5 Oct - 23:15

base cassiopeia, milieu de l'an 3
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Cela faisait des semaines que le stress ne cessait de grandir davantage, peu importe la préparation, je ne sais pas si j'y arriverais. Je me sentais  au bord d'un gouffre et j'avais l'impression que demain serait un plongeon sans retour dans les Ténèbres. Mais bordel qu'est-ce qui m'avait pris ? Je savais pourquoi je faisais cela, bien sûr, aider les autres à toujours été une vocation. Un jedi doit mettre sa vie aux services de la Démocratie, mais valait-elle vraiment tous les sacrifices que je m'apprêtais à faire ? Surement la mission la plus difficile de ma vie. Encore, vivre au milieu des lignes ennemis n'était pas ce qui me faisait le plus peur, non, c'était surtout de ne jamais revoir son sourire, sentir sa chaleur quand il m'étreignait, entendre son rire apprès une triste blague pas drôle, sentir l'adrénaline qui courrait dans mes veines quand on prenait son X-Wing pour partir sur une mission périlleuse. Aziel...si tu savais tout ce que je ressentais pour toi, tu ne me laisserais jamais partir si loin. Pourtant je n'avais pas le droit de lui imposer pareil torture, je gardais tout au fond d'un morceau de mon cœur enfoui sois une couche d'armure.

Perdu dans mes pensées, un verre à la main que je sirotais sans m'en rendre compte, je n'entendais pas la musique en fond de la soirée d'adieu que certains m'avaient organisé. A quoi bon quand il n'était pas là de toute façon ? Je n'arriverais surement pas à fermer l'œil de la nuit, peut-être qu'un dernier entraînement au sabre me ferait le plus grand bien ? M'épuiser jusqu'à tomber et se réveiller au son de l'arme qui sonnerait le glas du départ. Une main se posa tendrement sur mon épaule et me fit sursauter, manquant de renverser le précieux liquide alcoolisé du verre à moitié vide.

- Ha...c'est toi. Salut Aldder. Mes yeux se perdaient dans la foule cherchant une silhouette connue que je ne voyais toujours pas. Allait-il me fuir jusqu'à la fin ? Je commençais à lui en vouloir sérieusement, où était-il bon sang ? Alors...tu profites de la soirée ?

- Horion...Je sentais sa main qui se serrait sur mon épaule et je ne voulais pas croiser son regard, je savais ce qu'il allait dire et non je n'irais pas le voir. C'est pas moi qui l'évitait depuis des semaines, pourquoi ça serait encore à moi de faire le premier pas hein ? Tout ça parce que kriffing Flyboy faisait la gueule ? Et bien qu'il reste dans la crasse de son X-Wing, non je n'avais pas regardé les caméras de sécurité pour voir où il était. Putain j'étais si pathétique n'est-ce pas ?

- Non non, s'il te plaît Aldder, pas encore cette conversation, je suis fatigué, demain je dois avoir les idées claires, alors s'il te plaît, je sais pas, va danser, profite un peu de la soirée et laisse moi dans mon coin ruminer.

- Vous êtes incroyables vous deux, pas un pour rattraper l'autre hein ? Vous...Et Soudain l'éclat de sa voix a retentit autour alors que ma tête se relevait pour croiser ses yeux qui me faisaient fondre. Et là, toute ma colère s'évanouissait, comment je pourrais lui en vouloir ? Il avait l'air...triste. Nous étions vraiment deux têtes de mules trop têtus hein ?

Aldder nous laissa seul, partant avec BB avec je ne sais quelle excuse...nous étions là, l'un face à l'autre, Aziel qui nous sert un verre, comme si demain n'était pas une catastrophe, comme si je n'avais pas les tripes qui se serrées de peur et l'envie de fuir au loin avec lui sur je ne sais quelle planète et d'oublier tout ce stupide conflit.

- Ouais...c'est ça, le grand jour. Je vidais mon verre à sa suite. Ecoute..Az...Et voilà qu'il mettait le sujet sur le tapis. J'avais vraiment espéré que le peu de temps que l'on passerait ensemble on n'aurait surtout pas cette conversation. Plutôt frotter un wookie que de tenter d'expliquer pourquoi. Peut-être pas le Wookie cependant...

- Je...que veux tu que je te dise Aziel ? Que je regrette ? Que j'ai pas le choix ? Qui le fera ? Je n'arrivais pas à trouver les bons mots et je sentais que cette conversation allait dans des endroits où je ne voulais surement pas aller, pas maintenant. Sinon je serais incapable de penser à autre chose. Sur une impulsion je me levais soudainement, tanguant un peu, l'alcool me faisait tourner la tête. J'aurais peut-être pas du boire autant.

- Viens danser...Je lui tendis la main, pourquoi je faisais ça, c'était stupide non ? Danse avec moi Aziel...fais moi oublier un peu...s'il te plait. Mon regard s'est soudain senti flou, des larmes menaçant de rouler sur mes joues alors que je tentais un sourire chaleureux face à celui qui était mon meilleur ami et tellement plus.
Je lui attrapais soudainement le poignet, le hissant sur ses pieds, lui aussi ne semblait pas si frais et le trainant au bord de la piste alors que mes doigts se pressèrent fermement sur ses hanches, rapprochant nos corps et nos cœurs. Je tremblais légèrement, je ne sais pas, plus rien ne semblait exister, juste lui, si près. Une musique langoureuse retentit pour compléter le tout, c'était un peu cliché tout ça non ?

- Alors Flyboy, t'as oublié comment bouger tes fesses ? Pourtant si je me rappelle bien cette soirée sur Tatooine l'année dernière, t'as des talents cachés que tu m'as pas encore montré ? Un sourire fleurit sur mes lèvres, peut-être que la provocation aidera à résorber la situation maladroite ?  
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Message(#) Sujet: Re: when it's time (please don't leave me) | Horion | flashback when it's time (please don't leave me) | Horion | flashback EmptyJeu 8 Oct - 0:02

base cassiopeia, milieu de l'an 3
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pour imaginer Az c'est .

N’importe qui d’autre!” C’est son coeur furibond qui s’exclamait, alors qu’il faisait voler sa main dans un geste colérique. Il décidait de ne plus avoir de filtre, ce soir. Du moins, pour cette question. Au moins pour celle-ci.  

N’importe qui, sauf toi.

Sur ses traits un peu fatigués, dansait son mécontentement. Son ivresse, sa maladresse, alors qu’il soupirait comme un enfant buté qui refuse de voir la vérité en face, qui refuse de reconnaître que le monde ne tourne pas qu’autour de lui.

Tu es trop important, pour que ce soit toi.

Dans son monde à lui, Horion s’était imposé comme un repère, une constance. Et maintenant qu’on voulait lui arracher, il était perdu, il était confus, il était anxieux. Il n’était pas prêt.

J’ai peur qu’il t’arrive quelque chose.

Le Jedi n’avait pas besoin de lui pour se défendre. D’eux deux, il était probable qu’il soit celui qui s’empêtre dans le plus d’ennuis, même sans être espion. Parce qu’il était trop intrépide, et trop stupide. Parce qu’il cherchait avec beaucoup trop d’énergie à fuir ce qu’il ne voulait pas affronter. C’était n’importe quoi, cette histoire de force putain, ça n’apportait que des ennuis. Gnagnagna je suis un Jedi, gnagnagna c’est un Jedi on va l’envoyer espionner les lignes ennemies, comme si c’était une putain de merveilleuse idée et qu’ils n’avaient pas des Sith de merde, eux aussi!

Il ne rajoutait rien. Il restait silencieux, son regard résolument tourné sur le verre vide dans sa main. Les mots se pressaient juste derrière la barrière de ses lèvres, sans qu’il ne les autorise à passer. Ce n’était pas le moment. ça n’allait pas arranger les choses. Il s’en voulait, de s’être trop laissé aller, de n’avoir pas su se protéger davantage. Vous savez quoi? Les sentiments, c’était de la merde. Belle conclusion que son cerveau éméché tirait de toute cette histoire. Il se frotta la tempe de la paume de sa main, et il s'apprêtait à ajouter quelque chose, quand Horion rompit le silence … pour quoi?!

Il haussa un sourcil. “J’suis pas d’humeur.” Il grogna, bourru. Danser alors qu’il allait l’abandonner comme une vieille chaussette le lendemain matin, très peu pour lui. Et puis, il fallut qu’Horion le regarde comme ça. Toute son irritation, soufflée juste comme ça. Il n’y avait plus que son rouquin qui le suppliait, et qui le regardait avec des yeux humides et Az, et bien…. Az était incapable de lui refuser quoique ce soit, laissant l’autre homme agripper son poignet pour le mettre debout et l’attirer à lui, ses doigts se pressant sur ses hanches, comme s’il craignait qu’il s’en aille, mais Aziel avait tout sauf envie de s’en aller, maintenant. Son myocarde s’affolait, alors qu’il glissait ses mains sur ses épaules, sur ses bras. Pendant un instant, il le contempla sans un mot. Il ne faisait même pas attention à la musique. Pourquoi tu me fais ça, putain? Il voulait lui dire, mais les mots restaient coincés dans sa gorge. Il se sentait beaucoup moins en contrôle de lui même, et de ce qui brûlait en lui, et qui menaçait de déborder.  

Mais encore une fois, Horion le coupait dans son élan, allégeant l’atmosphère dans une plaisanterie, et évidemment Az était beaucoup trop prompt à répondre à des challenges pour ne pas le suivre aussitôt dans cette discussion, qui il fallait le dire était également une porte de sortie pour éviter de dire des conneries qu’il regretterait sans doute le lendemain matin. Il haussa un sourcil amusé, un peu provoquant aussi. “mes fesses got the moves, merci bien, et si tu le mentionnes c’est que ça t’a marqué, hum?” Il se rapproche, glissant une main dans le bas de son dos, le rapprochant brusquement de lui, se collant à lui alors que la musique, en effet, semblait se faire de plus en plus langoureuse, ou peut être que c’était juste le fruit de son imagination pleine d’ivresse qui mourrait d’envie que ça soit le cas. “Tu serais surpris ! Savoir bouger son boule peut te tirer de bien nombreux mauvais pas” Il venait glisser chaudement à son oreille, se hissant légèrement sur ses pieds. Il y avait des anecdotes sous-jacentes, qu’il ne racontait pas.  “Quoique toi t’as même pas besoin de ça” Il le complimentait, alors qu’il ondulait contre lui avec sensualité. Du moins, c’est ce qu’il pensait faire. La vérité, c’est qu’il avait beau être doué quand il s’agissait de bouger son corps, il était surtout bien ivre. Et il avait une bouteille d’alcool à la main.

Il se rappela qu’Horion partait le lendemain, et fut rempli d’une vague de tristesse immense, ses bras venant enserrer ses épaules, le serrer contre lui, la bouteille de ruée tanguant dangereusement derrière. Il fermait les yeux, le visage dans son cou, putain d’ivre de son parfum qui le grisait beaucoup plus que l’alcool. Il y déposa ses lèvres - sur sa peau. “Tu sens bon, comme un vaisseau tout neuf.” Il resta un moment silencieux, le gardant avec force contre lui, avant de pouffer de rire à sa métaphore des plus merveilleuses. Il s’éloigna légèrement pour lui lancer un clin d’oeil provoquant, et porter la bouteille à ses lèvres pour en prendre quelques gorgées, mouvant ses hanches avec le regard espiègle, profitant de la musique, refusant de perdre cet état d’ébriété avant le lendemain matin. Il lui tendit la bouteille, puis se rapprocha de nouveau, sa main glissant sur sa hanche un instant. “Jsuis désolé, de t’avoir ignoré ces derniers jours.” Il lance, un ton en dessous. “T’es juste… super chiant.” Toujours d’une éloquence extrême. “Mais c’était sans doute mieux comme ça, au moins j’étais pas là pour te déconcentrer dans tes méditations assommantes” Il le taquinait un peu.  
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Message(#) Sujet: Re: when it's time (please don't leave me) | Horion | flashback when it's time (please don't leave me) | Horion | flashback EmptySam 10 Oct - 3:33

base cassiopeia, milieu de l'an 3,
TW (mention réaction excitation, mention mort du personnage potentielle)

pour l'ambiance c'est ici

Les larmes roulèrent presque librement sur mes joues quand Aziel refusa la toute première fois de me suivre. J'étais un Jedi putain, pas une créature émotive qui se pliait à la moindre contrariété, et c'est cela qu'ils envoyaient sur les lignes ennemis ? J'allais me faire tuer dès les premiers jours si je n'étais pas capable de me retenir ne serait-ce que quelques heures. Pourtant quand nos yeux se sont croisés, quand la ligne froncée de contrariété d'Aziel s'est assoupli, quand j'ai senti son regard s'illuminait d'une lueur brillante, tout s'est envolé. Le temps n'avait plus d'importance, son corps pressait contre le mien, la musique enivrante, son odeur si tentante, j'étais prêt à faire la moindre connerie pour ce dernier soir, pourvu que les souvenirs restent quand les silhouettes disparaissent au loin. Ses mains sur mes épaules ressemblaient à un brasier ardant, qui me brûlait les veines d'un désir dont je n'avais jamais ressenti. L'alcool était forcément à blâmer pour mon manque de retenu, ou serait-ce juste Aziel qui provoquait tout ce désordre en moi ? Cela est tout à fait possible qu'il ait cet effet, même sans la Force, presque irréel.

Et puis soudainement, je me sentais hissé avec fracas, nos corps se rapprochant davantage alors qu'une de ses mains se perdait dans le bas de mon dos, rapprochant nos hanches, comme si c'était possible, comme s'il tentait de se fondre en moi. Une brusque chaleur grimpa le long de mon abdomen alors que je sentais mon sang pomper brutalement dans le creux de mes reins. Mes sens étaient électrisés à ce toucher si proche, plus qu'il ne l'avait jamais été, alors que son ton provoquant murmurait au creux de mon oreille. Mes lèvres lâchèrent un rire léger qui se transforma en une sorte de gémissement plaintif, suppliant pour davantage. C'était presque trop, toutes ses sensations. Habituellement je détestais le contact d'un autre être, résultant d'un traumatisme des erreurs passées, mais là, tout semblait tomber dans l'oubli. Parce que c'était lui, juste lui.

- Qui ne remarquerait pas tes jolies fesses mon cher ? Ma voix dérailla légèrement, elle semblait rauque, avide, luxurieuse, alors que je chuchotais ce doux flirt, perdu dans ses mèches de cheveux sauvages. C'est vrai que tu connais les mauvais pas, pilote intrépide toujours à se fourrer dans n'importe quel problème. Le compliment fit apparaître une très jolie rougeur le long de mes joues, et probablement aussi sur mes oreilles que je sentais s'échauffer de plus en plus. J'espérais que l'alcoolisation de mon partenaire l'empêcherait de voir cette réaction délicate et beaucoup trop honteuse pour un chevalier Jedi. J'avais l'impression d'être un adolescent bourré d'hormones et tentant de séduire son crush de l'académie. Ridicule n'est-ce pas ?

Et puis, l'atmosphère passionnée se teinta d'un coup d'un sentiment glacial, au gout âpre de la mélancolie. C'était comme une douche froide qui se propageait de ma tête jusqu'à mes jambes alors qu'Aziel se blottissait contre ma poitrine, cherchant sans doute un brin de réconfort. Je n'aimais pas lire dans les esprits, mais parfois, quand les pensées des gens n'étaient pas contrôlées et vraiment fortes, je les entendais malgré tout. La culpabilité m'envahit, de le laisser seul ici, de partir loin, dans les terres ennemies, de risquer ma vie. Avec toutes les épreuves qu'il avait du supporter, c'était mal de lui faire cela. Je ne voulais surtout pas qu'il replonge dans ses travers, surtout pas à cause de moi. Mon cœur se serra à cette pensée, j'espérais que ceux qui restaient pourraient l'épauler dans les moments difficiles. Mêmes ses lèvres délicates sur ma peau ne suffirent pas à chasser toutes ses émotions négatives. J'en avais rêvé pourtant mais cela se sentait mal. Je n'avais pas le droit de lui faire ça. Mes larmes coulèrent cette fois-ci, sans retenue, pleurant pour la séparation à venir.

- Aziel...Az...je suis tellement désolé Love, tellement...je ne veux pas partir.

L'alcool me délia la langue et c'était pas bon du tout. Le changement d'humeur de mon compagnon était plus qu'instable, me tendant cette satané bouteille d'alcool alors qu'il me lançait un regard des plus provoquant, remuant à nouveau ses hanches tout en frôlant mon bas ventre déjà si dur pour lui. Je me sentais comme une petite merde, tellement de honte de ce que je m'apprêtais à faire. Pour la première fois je regrettais plus que tout cette foutue mission à la con, d'être un Jedi, d'être si intègre. J'aurais du voler un x-wing et l'amener très loin, dans une chambre bon marché à Canto Bight, où il serait mon prisonnier pour les jours à venir, notre passion se déchargeant enfin de toute cette tension inutile des dernières années passées en sa compagnie. Je me détestais.
Je lui pris délicatement des mains la bouteille, sans rompre son regard, ne sachant plus vraiment ce que je faisais.

- Chéri...je crois que l'alcool est fini pour la soirée tu ne crois pas ? La bouteille posée sur une table au hasard, merci la Force, mes mains encadrèrent son doux visage, grattant avec douceur le piquant de sa barbe que je sentais sous mes doigts. Je caressais délicatement sa joue alors que ma tête se penchait de plus en plus vers lui sans m'en rendre compte. Je sentais son souffle se mêlait au mien, respirant le même air sauvage et décadent, mon front posé contre le sien, plus proche de lui que je n'en avais jamais rêvé.

- Az...Az écoutes moi s'il te plait, ne t'excuses pas, c'est ma faute...je suis désolé de partir, désolé d'avoir accepté cette mission stupide. Je te promets que je reviendrais, peu importe ce que je dois traverser.

Plus de danse, juste lui, juste moi, perdus ensemble dans la chaleur environnante d'une soirée d'adieu. Pourtant je ne voulais pas m'arrêter là. Au diable les conséquences, les convenances, le foutu Code Jedi. J'allais peut-être mourir sans pouvoir tenir ma promesse. Alors mes lèvres se refermèrent sur les siennes, tremblantes, indécises. Juste une légère caresse, lui laissant le choix de se reculer si ce n'était pas souhaité. Qu'est-ce que j'étais en train de faire. Un léger son de contentement sorti de ma gorge, le goutant enfin après tout ces mois à se tourner autour. Puis soudainement la clarté de la situation et je m'écartais de lui avec violence, ma tête baissée, mes joues plus que brulantes, les épaules affaissées sur elles-mêmes.

- Je...je suis désolé, je ne sais pas ce qui m'a prit. Je... . Je me tournais brusquement, m'éloignant de la piste de danse, toujours une de mes mains accrochées à son poignet, comme si je refusais de le lâcher, de peur qu'il disparaisse. Je nous dirigeais vers la table où nous avions échangé nos premiers mots. Faisant venir à nous une bouteille d'eau fraiche, je nous en servais un grand verre à chacun.

- Je crois que nous avons besoin d'un verre d'eau, frais, et peut-être une douche aussi, une douche froide, ouais ça sonne bien hein ? Az ?

Mon cerveau avait surement cramé de surcharge émotive, c'était plus que clair, j'étais incapable de sortir une phrase cohérente et avec du sens, incapable de réfléchir davantage, quand j'avais encore le gout de ses douces lèvres sur les miennes.

 
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Message(#) Sujet: Re: when it's time (please don't leave me) | Horion | flashback when it's time (please don't leave me) | Horion | flashback EmptyDim 11 Oct - 19:29

base cassiopeia, milieu de l'an 3
TW excitation (sexe), possible character death

pour l'ambiance c'est ici

Son rire, la plus douce des mélodies. Quand ils partaient en mission, quand ils passaient du temps ensemble, Aziel le recherchait, ce rire. Rien que de se voir ce sourire discret qu’il affichait quand il était exaspéré par ses blagues pas drôles ou bien qu’il s’efforçait de rester stoïque malgré ses excentricités; était quelque chose qu’Az chérissait profondément. Chaque sourire, chaque éclat de rire, était pour Aziel une petite victoire. Et ce soir, cela avait une saveur particulière - qu’Horion réponde à son flirt, cela l’aurait placé en d’autres circonstances dans un réel état de fébrilité et de ravissement. “AH! Je le savais, que t’étais intéressé par mes fesses” Mais ce soir, ce soir cela avait une saveur douce-amère, alors qu’ils faisaient allusion à cette manie qu’il avait de se créer des problèmes - alors qu’ils faisaient allusion à ce que le jedi ne pourrait plus assister. La fin d’une ère. La fin des missions à deux, la fin de ses reproches quand Aziel allait bien trop vite ou qu’il ne voulait pas entendre raison, quand il prenait des risques qu’Horion pensait inconsidérés. La fin des missions réussies, du travail bien fait, du travail à deux, des debrief à deux. Tout allait changer, et Aziel n’était pas prêt. Aziel ne voulait pas qu’il parte - qu’il le quitte. Cette réalisation l’avait étouffé brutalement de tristesse, et il s’était blotti contre lui, cherchant sa chaleur, sentir ce corps proche du sien avant de ne plus l’avoir à ses côtés pendant.... il ne savait même pas, pour combien de temps. C’était peut être ça le plus difficile. L’ignorance. Il sentait les larmes s’agglutiner derrière ses paupières closes. Il sentait le chagrin monter et monter, et les quelques mots d’Horion ne firent qu’empirer cela, l’affublant d’un petit nom qui fit rater un battement à son myocarde qui fit une embardée avant de repartir de plus belle. Aziel refusait de se perdre dans des réflexions qui ne feraient que le blesser davantage. Les larmes d’Horion lui brisaient le coeur, et il ne voulait pas affronter cela, il ne les supportait pas. Il ne pouvait pas affronter ce départ. Son esprit éméché s’enfuit aussitôt vers le réconfort de la danse, du flirt - la provocation et la boisson, décochant un sourire espiègle en tendant la bouteille vers son vis à vis. Horion était excité. pour lui. Il l’avait remarqué. S’excusant de la distance qu’il avait instauré ces derniers jours, avant de bien vite repartir dans ses taquineries.

Mais voilà qu’Horion recommençait, à l’appeler avec un petit nom, à redevenir sérieux, et ce n’était pas ce qu’Aziel voulait. Il grogna alors qu’il utilisait ses satanées capacités de jedi pour lui prendre la bouteille des mains et la mettre hors de sa portée. “Pourquoi?!” Il  objecta - il voulait juste profiter de la soirée, sans penser au lendemain, surtout sans penser au lendemain. Toute autre protestation moururent dans sa gorge alors que le jedi prenait son visage entre ses mains, et sa rapprochait, posant son front contre le sien. Un coup au palpitant. Ses mains qui vinrent s’aggriper à ses poignets aussitôt, instinctivement, comme s’il craignait qu’il en s’éloigne, ou plutôt, comme s’il craignait ce qui allait se passer. Il ne savait pas ce qu’il voulait, il était perdu, l’inspiration tremblante alors que son souffle se mêlait au sien, alors que le parfum l’enivrait plus que de raison. Il n’aimait pas ses paroles. Il baissa les yeux. Son coeur battait douloureusement contre sa cage thoracique. Horion promettait, mais il ne pouvait pas promettre. Il en savait rien. Si ça se trouve… Aziel allait le perdre. Ses mains accentuèrent leurs prises sur les poignets d’Horion, terrorisé qu’il était qu’il lui arrive quelque chose. Il ne pouvait pas le perdre. Horion se rapprocha encore davantage. Aziel se figea, son esprit brouillon incapable de prendre une décision, de bien réaliser ce qu’il se passait. Il voulait le repousser brusquement. Il voulait aussi l’attirer à lui et l’embrasser à en perdre la raison. A la place, il resta immobile. Et laissa les lèvres de son jedi effleurer les siennes, les capturer avec douceur. Ses doigts s’enfoncèrent un peu plus dans sa peau. Son bas ventre se contracta.

Et puis, brutalement, plus rien. Horion loin de lui, le laissant encore sous le choc, et le coeur perdu. Horion qui s’excusait. Mais hébété, Az n’était pas vraiment en état de réagir ou de répondre quoique ce soit. Il laissa l’autre homme le traîner hors de la piste de danse sa main accrochée à son poignet. Son esprit était en ébullition, sans être pour autant capable de formuler une constatation qui faisait du sens, tout s’entrechoquait sans qu’il ne puisse y comprendre grand chose. Il prit le verre qu’Horion lui tendait, et fit ce qu’il lui demandait, finissant le verre pour le reposer sur la table. Il ne savait pas si cela allait faire grand chose, et à vrai dire il ne voulait pas perdre cette sensation d’ivresse qui lui permettait un peu de survoler toute cette situation qui en temps normal serait bien trop difficile à gérer pour lui.

Sa main vint se glisser dans la sienne. “Allez viens” fut tout ce qu’il parvient à dire avant de l’entraîner dans les couloirs de la base, son pas incertain avec son taux d’alcoolémie assez important. Complètement obnubilé par le baiser qui avait eu lieu quelques minutes plus tôt, il restait silencieux, tâchant de faire le tri dans ses pensées, sans y parvenir. Il était tant et si bien focalisé sur cela…. qu’il dépassa ses quartiers et dût faire demi tour. “Ah, merde, c’était juste là.” Le dernier shot de liqueur cosmique lui montait à la tête. Il referma la porte derrière eux, ravi de voir qu’Aldder n’était pas là.

Et juste comme ça, il releva la tête, glissant ses doigts dans sa nuque pour l’attirer pour un baiser d’abord doux, puis passionné, un peu brouillon, aussi, alors qu’il soupirait contre ses lèvres, son coeur battant. Il ne réfléchissait plus. Au diable le reste, ce soir, il le voulait lui, et il le voulait maintenant. Peut être ne pourrait-il plus jamais l’avoir contre lui; et il ne voulait pas vivre avec des regrets. Puis, il s’éloigna de lui, un sourire un peu goguenard aux lèvres, alors même que son regard débordait aussi d’émotions, avant de retirer son haut - un peu maladroitement “Bon, tu viens ?... t’as dit qu’il fallait qu’on prenne une douche, non?” Il déclara alors qu’il essayait de retirer ses chaussures montantes en tirant dessus, son équilibre vacillant, sautant à cloche pied pendant quelques secondes, puis tombant à terre. Il pouffa de rire. Bon, c’était plus pratique comme ça - il se débarrassa de ses deux chaussures et de ses chaussettes, puis se redressa et tira Horion par la main jusque sous la douche qu’il alluma, l’eau se déversant sur leurs corps. “Oops, j’ai encore mon pantalon” Il commenta avec un petit rire - avant de se hisser à sa hauteur pour l’embrasser de nouveau, glissant ses bras autour de sa nuque, désespéré de son contact, désespéré de l'avoir à lui, au moins une fois - de pouvoir l'aimer.   


Dernière édition par Aziel Osrick le Sam 17 Oct - 15:42, édité 1 fois
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Message(#) Sujet: Re: when it's time (please don't leave me) | Horion | flashback when it's time (please don't leave me) | Horion | flashback EmptyMar 13 Oct - 23:48

base cassiopeia, milieu de l'an 3,
TW (mention réaction excitation, touché sexuelle et sensuelle, nudité)


J'étais totalement dans un autre monde. L'alcool était comme une brume qui empêchait mes neurones de fonctionner totalement. La douceur de ses lèvres comme une empreinte fantôme sur les miennes. Sans même m'en rendre compte, mes doigts les caressaient, tentant de me rappeler cette sensation enivrante, que j'aurais aimé prolongé bien plus longtemps si je l'avais osé. Ce qui était surprenant dans cette situation, c'est qu'Aziel semblait dans le même état comateux, n'ayant nullement réagit, moi qui m'était attendu à soit une réaction de rejet violente soit au contraire à ce qu'il plonge dans cette étreinte et que j'ai du mal à m'en extirper.
Je n'osais clairement pas croiser son regard, mes joues encore brûlantes de honte à l'état pur alors que ma virilité était toujours compressée dans mes pantalons de rebelles serrés. C'était franchement inconfortable mais je n'osais pas bouger de peur que ma réaction soit visible par le public. C'était suffisamment honteux ne de pas avoir cette maîtrise de soi.

Alors que j'étais totalement perdu dans la contemplation imaginaire de ce qu'aurait pu devenir notre échange, je sentie soudainement sa main se glisser dans la mienne, envoyant une pulsion électrique le long de ma colonne vertébrale. J'étais totalement fini ce soir, c'était clair. Nous voilà comme deux idiots, se tenant par la main, gambadant joyeusement dans les couloirs sombres de la base, sans savoir où Aziel m'emmenait, même si je pouvais deviner que cela signifiait surement ses quartiers privés qu'il partageait avec Aldder. Heureusement que celui-ci était toujours en train de fêter mon départ avec les autres rebelles. Je n'osais pas imaginer la situation malaisante que cela aurait donné s'il nous voyait entrer tous les deux, proches, dans une pièce privée. Je voyais déjà son sourire narquois sur son visage et son clin d'œil en nous laissant la chambre. Non c'était plus que ce que je pourrais supporter. Mieux vaut ne pas réfléchir dans ce genre de situation non ?

Aziel dépassa ses propres logements d'ailleurs, semblant être dans le même état perdu que le mien, ce qui me fit certainement rire un peu, mon rire se transformant en une sorte de gloussement digne d'une jeune femme en plein flirt.

- Et bien Flyboy, tu as la tête dans les nuages ?

Mais ses lèvres de retours sur les miennes dans un baiser fougueux l'empêcha de répondre à ma provocation. Je soupirais de contentement, perdu dans l'étreinte, alors que mes doigts accrochèrent ses hanches, les pressant contre les miennes dans un mouvement plus que plaisant, envoyant des vagues de plaisirs dans mon corps brûlant de désir. Je le voulais, Force, que je le voulais. C'était plus que je n'avais jamais souhaité. Et c'était là, enfin. Mes lèvres s'ouvrirent à sa prise, ma langue traçant délicatement le contour de ses lèvres, quémandant l'entrée, voulant me plonger complètement dans cette chaleur accablante.

Aziel s'éloigna soudainement avec ce regard moqueur qui me donnait envie soit de le frapper, soit de l'attraper pour qu'il revienne où il en était. Je soupirais clairement de mécontentement quand le baiser s'est arrêté alors que je me réchauffais de plus en plus. Seulement le voir retirer ce t-shirt qui moulait ses muscles c'était...quelque chose qui me laissa surpris, la bouche ouverte, aucun son n'en sortant et mon cerveau incapable de créer une phrase cohérente.

- Que...qu quoi ? Ha oui...la douche...je...tu es sur ? Je me sentais soudainement timide, réservé, devant me déshabiller devant cet homme qui était mon meilleur ami jusqu'à ce soir et que je trouvais absolument parfait. Je n'osais pas regarder mon propre corps, trop fin, trop maigre, trop blanc, je me sentais exposé comme je ne l'avais jamais été, même pendant mes quelques expériences dans la prostitution. Parce que son avis comptait plus que tout. Et s'il décidait que finalement il n'aimait pas ce qu'il voyait ? Je crois que mon cœur se briserait un peu plus.

Cependant mes pensées s'envolèrent aussi vite alors que je le voyais au sol, s'énerver pour se dépêtrer des vêtements dans lesquelles il semblait emmêlé. Le spectacle était assez drôle alors que mon propre corps prenait le contrôle sur la situation. Mes bras se soulevèrent rapidement, brutalement, pour arracher la chemise qui pendait sur ma poitrine. Mes doigts se dépêchèrent de déboutonner ce satané pantalon trop serré, me libérant enfin du tissu. Mes chaussures furent plus difficiles à délasser, alors que je tentais de m'extraire de ces foutues bottes le plus rapidement possible. Que je balançais à travers la pièce, me fichant complètement de l'endroit où elles atterrissaient, moi qui d'ordinaire était plus que psychorigide sur le rangement de mes affaires.

- Oui...oui une douche, bonne idée. Très bonne idée.

J'étais vraiment incapable de parler davantage alors que mon empressement pour retrouver ce corps chaud contre le mien était poussé à son paroxysme. Il fallait que se soit maintenant, tout de suite. Comme si Aziel avait lu dans mes pensées, il me prit la main et me poussa brusquement contre le carrelage froid de la douche alors que l'eau chaude se déversait sur nos deux corps à moitié dévêtus. Même pas capable de le faire correctement alors que nous étions plus qu'enthousiaste à l'idée d'explorer l'autre.

- Il semble que oui, tu as oublié de te déshabiller complètement. C'est ainsi que tu te laves Flyboy ? Ça explique l'odeur de ton cockpit au moins.

L'atmosphère était beaucoup plus joyeuse que sur la piste de danse alors que mes mains prenaient doucement le contrôle de son torse, le caressant tendrement de mes doigts en des effleurements doux et sensuels.

- Tu...tu es magnifique Az. Laisse moi t'aider avec ça.

Me sentant particulièrement courageux, mes doigts continuèrent leur douce épopée, effleurant légèrement ses deux petits bourgeons déjà tendus, caressant les muscles de son ventre si bien définis, j'avais presque envie d'y placer mes lèvres pour le goûter, sentir son corps sous ma langue. Mais finalement elles se pressèrent fièrement sur sa bouche, s'infiltrant directement cette fois ci dans  une urgence absolue entre ses lèvres. Ma langue caressa sensuellement la sienne, la touchant, tourbillonnant légèrement, mimant un acte sexuel proche alors que mes dents mordillaient sa lèvre inférieure. Je ne pus empêcher un gémissement particulièrement bruyant se perdre dans ce baiser fantastique, au-delà de mon imagination.

Mes mains étaient toujours dans l'exploration alors qu'elles caressaient encore son abdomen, se glissant de plus en plus dans la touffe de cheveux brune qui dépassait largement de son pantalon. Elles se glissèrent sur le renflement évident, le pressant avec attention, cherchant à dégrafer ses fichus boutons embêtant qui ne voulaient pas céder sous mes doigts tâtonnant. L'utilisation de la Force a parfois des avantages, même si elle n'est pas faite pour cela à la base. Alors que mes doigts se tendaient à quelques centimètres de sa braguette, celle-ci se détacha toute seule de ses hanches, s'enfonçant sur ses jambes.

- C'est mieux comme ça non ? On en était où déjà ?

Puis mes lèvres plongèrent à nouveau sur les siennes, ma bouche dérivant vers sa mâchoire pleine de poils piquants, cette sensation était électrique et envoyait des impulsions dans mon bas ventre alors que je l'imaginais grattant entre mes cuisses. Cette vision me fait gémir à nouveau, toujours particulièrement vocal ce soir. Ma bouche se plongea dans sa nuque, respirant son odeur si enivrante, je pourrais rester planté là pour toujours alors que son corps chaud était pressé contre le mien.

- Az....Az...force je te veux, je te veux tellement.

Alors que mes lèvres grignotaient sa nuque, je tentais de me rapprocher davantage si c'était possible alors que ma jambe voulait se glisser entre ses cuisses. Pour rencontrer finalement le pantalon qui était toujours à nos pieds. Ce mouvement me déséquilibra assez rapidement et je sentis mes genoux se dérober sous mes pas. Mon corps tombant en-avant alors que mon visage se retrouva clairement devant sa virilité tendue, encore sous l'emprise du sous-vêtement gênant. Mon visage se couvrit de rouge, ma tête baissée, clairement honteux de me retrouver dans cette situation compromettante alors que mes mains s'étaient fermement accrochées à ses hanches.

- Oups...désolé...je...

Et là je ne savais plus quoi faire, n'ayant pas forcement la plus grande expérience en la matière de relations sexuelles.
 


Dernière édition par Horion Kriss le Sam 24 Oct - 21:15, édité 1 fois
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Message(#) Sujet: Re: when it's time (please don't leave me) | Horion | flashback when it's time (please don't leave me) | Horion | flashback EmptySam 17 Oct - 15:36

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TW +18 (sexe)

pour l'ambiance c'est ici

Il s’était éloigné alors qu’Horion avait cherché à approfondir le baiser, un sourire espiègle aux lèvres, ravi de son petit effet devant l’air mécontent de son ami. C’était sa réponse à sa provocation précédente, quand il l’avait taquiné lorsqu’ils avaient dû revenir sur leurs pas pour pouvoir entrer dans ses quartiers. Il aurait pu avoir une chambre seule, avec son rang et ses années de bagage dans l’Alliance, mais avec Aldder, ils étaient inséparables et ils ne se voyaient pas ne plus vivre ensemble. Dans son esprit encore un peu embrumé, Az se fit la réflexion qu’il devrait remercier son meilleur ami, plus tard, de leur laisser cet endroit ce soir (excepté s’il débarquait bientôt, mais ce serait plutôt étonnant, Aziel le soupçonnait de garder BB-K occupé histoire que lui non plus ne viennent pas les embêter. Bien qu’encore une fois, son droïde serait sans doute satisfait de ces développements). Quoiqu’il en soit, il était maintenant ici, avec Horion, à se déshabiller, et il avait bien du mal à penser à autre chose. Son ivresse encore grande, et beaucoup trop focalisé sur ses chaussures, il ne remarquait pas bien la soudaine timidité de son vis-à-vis. “Bah quoi, tu te défiles maintenant?” Il lança avec un sourire avant de s’écrouler à terre pour finir de se débarrasser de ses bottes, les balançant lui aussi à travers la pièce - cet endroit n’était jamais très bien rangé de toute façon, Aziel était loin d’être très ordonné, sauf quand il s’agissait de son vaisseau ou de son x wing. Aldder essayait bien de ranger après lui parfois, mais cela ne changeait pas grand chose, au final.

T’aimes mon cockpit, menteur” Il réplique aussitôt à sa petite pique pleine d’affection. Fort heureusement, les gestes et les mots d’Horion qui suivirent l'empêchèrent de penser au sujet qui fâche, à savoir son départ pour l’Empire le lendemain et l’absence terrible qui allait suivre. Puis, une fois n’était pas coutume, Aziel resta silencieux, le regard rivé sur cet homme devant lui, un long frisson dégringolant dans son dos aux effleurements, aux douces caresses, à ce compliment qui le ferait presque rougir -mais il pouvait mettre ça sur le compte de l’alcool. Ses doigts laissaient sur sa peau comme des trainées incandescentes qui le rendaient fou, lui donnaient la chair de poule, aussi, et alimentaient le brasier ardent dans son bas-ventre - et dans sa poitrine. Glissant ses mains dans son dos, il cherchait à l’attirer encore plus près de lui, le baiser était langoureux, intense, fougueux aussi, et damn Horion savait comment l’embrasser, Aziel soupirant de contentement dans leur baiser qui s’éternisait. Son souffle se fit brutalement plus saccadé, Horion le caressait au travers de son pantalon et Az poussa un grognement qui se termina dans une sorte de gémissement plaintif et suppliant (il le nierait plus tard), ses doigts s’enfonçant un peu dans le bras de son jedi, fermant les yeux, le souffle court et le coeur battant à ses tempes. Cet homme le rendait complètement dingue, et cela n’aidait pas que cela faisait des mois qu’il rêvait de ça.

Il ouvrit les yeux pour le voir faire descendre son pantalon grâce à la Force. “Sale tricheur” Il grogna plus pour la forme qu’autre chose, avant de répondre à son baiser avec la même fougue, sa main se glissant sur sa nuque pour le garder là, puis glissant dans son dos pour l’attirer encore plus contre lui, soupirant de plaisir alors qu’Horion déposait des baisers brûlants dans son cou - sa main libre caressant ses cheveux au niveau de sa nuque, ravi de l’avoir tout près de lui, rapprochant leurs deux corps un peu plus, donnant un coup de hanche. Il était un peu énervé, intérieurement, qu’ils ne fassent ça que maintenant, alors qu’il le savait très bien que ça faisait des mois et des mois que cela durait.

Brutalement, et sans trop qu’Az réalise comment, Horion perdit l’équilibre et tomba en avant, se retrouvant dans une position qui laissait place à peu d'imagination et ne fit qu’alimenter l’esprit fou et pleine de luxure de notre pilote dont le sang bouillonait d’un désir brûlant et qui manqua de pousser un grognement, avide, tout assoiffé de lui qu’il l’était. Son regard qui s’était intense s'adoucit soudainement alors qu’il remarquait la gêne et l’embarras d’Horion qui baissait la tête. Malgré l’ivresse et le désir brûlant qu’il avait encore pour lui, un sourire doux se dessina sur ses lèvres, et il secoua la tête. “Com’here” il marmonna avant de l’aider à se redresser, et prit son visage entre ses mains, l’observant en silence pendant quelques instants. Une parenthèse dans ce tumulte de désirs qui les enveloppait depuis plusieurs minutes. “It’s okay” Il murmura doucement avant de l’embrasser avec toute la douceur du monde. “Tu me fais confiance, oui?” Il demanda alors, avant de prendre quelques secondes pour les débarrasser (tant bien que mal) de leurs derniers vêtements, puis de couper l’eau et de lui balancer une serviette. “Allez viens” Horion méritait qu'on prenne son temps. Aziel l’attira à lui pour l’embrasser de nouveau, follement, le poussant gentiment jusqu’à son lit où il le fit tomber, rampant au dessus de lui jusqu’à arriver à sa hauteur, ses pendentifs glissant sur son torse; décochant un sourire ravi en l’observant un instant. “J’espère que tu sais à quel point tu es canon? Parce que tu l’es” Il susurra d’une voix chaude, pleine d’envie et aussi pleine de sentiments qu’il ne prononcerait pas, mais qui étaient là, qui se pressaient dans son myocarde et l’étouffaient un peu. “Et… on est pas obligé de faire quoi que ce soit dont t’as pas envie. Tu me dis. Ok?” Il ajouta un peu maladroitement. Il était parfait, à ses yeux. Il leva les yeux au ciel plus pour lui même qu’autre chose, avant de se pencher en avant et l’embrasser encore, laissant ensuite ses lèvres glisser sur sa nuque, sur son torse qu’il cajola, y déposant des baisers brûlants, s’attardant ça et là - il le vénérait, ce corps, comme il vénérait cette personne, et lentement mais sûrement il traça son chemin beaucoup plus au Sud, là où, taquin, il prit son temps, glissant ses lèvres sur ses cuisses et l’embrassant ça et là, s’amusant - se droguant à ses réactions - avant de succomber au besoin grandissant d’Horion, et du sien qu’il ne parvenait plus à retarder; avec la même révérence. Il espérait bien lui donner un souvenir intense de lui, ce soir. 
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Message(#) Sujet: Re: when it's time (please don't leave me) | Horion | flashback when it's time (please don't leave me) | Horion | flashback EmptySam 24 Oct - 23:20

base cassiopeia, milieu de l'an 3,
TW SEXE


Les mains d’Aziel se pressent doucement sur ses poignets, incitant ainsi Horion a remonter au niveau du visage connu de l’homme. La prévenance de son compagnon à son égard fit tordre un peu plus son cœur, provoquant une pointe de reconnaissance et d’amour intense dont il nierait l’existence. Quand ses lèvres se posèrent à nouveau sur les siennes, Horion ne put que soupirer de contentement qu’Aziel soit si compréhensif, c’était l’homme parfait et ils avaient attendu seulement ce soir là pour mettre à nus leurs désirs et leurs sentiments. Qu’ils étaient stupides de ne pas s’être laissés plus de temps pour profiter davantage. Ce n’était cependant pas le moment de replonger dans une mélancolie certaine alors que ses moindres rêves se réalisaient enfin. Horion pressa sa bouche contre la sienne, seulement pour le ressentir, se réconforter de la présence autour de lui alors que l’homme terriblement beau s’écarta à nouveau.

- Oui...oui je te fais confiance avec ma vie Az, tu le sais.

Le terrible pilote les aida enfin à se débarrasser des tissus trempés par l’eau chaude, tant bien que mal car ils collent à leurs peaux dégoulinantes. La nudité du jeune Jedi l'intimide à nouveau mais ce n’était pas comme s’il ne s’était jamais retrouvé dans ce genre de situation. Que se soit dans les douches communes de l’académie Jedi ou lors de ses soirées à l’hypérion. Seulement ici c’était bien différent car il était en terrain connu, qu’il savait que son ami ne le blesserait jamais. Le voir ainsi, exposé, réchauffa (si c’était possible) davantage Horion alors qu’Aziel les poussa lentement vers le lit étroit de sa chambre. Sentant ses genoux toucher le bord, Horion s’allongea, laissant ses jambes légèrement écartées afin de permettre à Aziel de prendre la place qui lui était dû. Son corps contre le sien, chaud, nu, était une sensation stimulante, il ne pu s’empêcher de soupirer entre ses lèvres un “Enfin”.
Jouant avec le pendentif de la mère de son ami avec ses doigts, Horion lui murmura “pas autant que toi love”, le compliment fit rougir la peau de ses joues et de son torse, le désavantage d’être roux était que les réactions de son corps se voyaient d’autant plus. Il n’était pas habitué à être si adoré par un autre être vivant mais c’était...grisant. Horion se sentait bien, chaud, en sécurité, dans ses bras forts qui l’entouraient, ses lèvres cherchant encore à se connecter aux siennes, leurs mains se réconfortent mutuellement, testant leurs points sensibles, cherchant une réaction de plaisir. Aziel se fit cependant beaucoup plus audacieux qu’il l’avait été lui-même. Alors que son ami descendait petit à petit à travers son corps, Horion gémit à nouveau, bruyamment cette fois, en voulant tellement plus, tout ce qu’il pourrait lui donner. Le désir était si fort qu’il pensait que son cœur allait exploser en mille morceau.

- Je...je veux tout Az, tout ce que tu peux me donner. Je suis à toi...je veux te sentir, me rappeler encore et encore cette nuit. J’en ai besoin, plus que jamais.

La tête entre ses cuisses se rapprochait terriblement de ses points sensibles et Horion cria à la prise soudaine de son ami, il n’avait jamais vécu ça mais c’était...c’était indescriptible. Les sensations de plaisirs intenses étaient immenses. Horion sentait Aziel le travailler petit à petit à travers des vagues de bien-être constant. C’était presque trop, plongeant ses mains dans la chevelure bouclés alors qu’Aziel lui faisait je ne sais pas, Horion le tira rapidement jusqu’à lui, le remontant sur ton torse. Il le voulait, maintenant, peu importe si c’était trop tôt et s’il n’était pas assez préparé, il voulait sentir cette sensation en lui pendant des jours.

-Az ...je t’en prie, viens viens...putain viens maintenant.

Alors que les deux hommes se déplaçaient dans une position plus confortable et que leurs corps s'emboîtent enfin parfaitement, Horion se mit à trembler de plaisir soudain, c’était si bien contrairement à toutes ses autres expériences. Leurs corps s’unissaient dans une sensualité sans fin, leurs cris remplissaient la pièce alors qu’ils se perdaient l’un dans l’autre dans un océan de plaisir infini. La violence de son orgasme propulsa Horion dans une stase de Force puissante, jusqu’à voir les étoiles et les limites de l’univers. Son corps se tordit violemment dans un sursaut réflexe, pressant davantage son amant, l’homme qu’il aimait tant contre lui, tentant de les fondre encore plus que possible. C’était...parfait.

Les respirations encore haletantes des deux hommes se calmèrent doucement alors qu’ils reprennent leurs esprits. Leurs jambes étaient toujours entremêlées alors qu’Horion s’était tourné sur le côté, Aziel s’étant pressé dans son dos, leurs mains étroitement enlacées. Ils ne voulaient pas le lâcher et profiter jusqu’au dernier moment.

-Wouah...et bien, tu ne m’avais pas dit que tu avais des talents cachés stupide pilote. On aurait du faire ça bien plus tôt Az. On a été un peu con sur ce coup là tu ne crois ? Tu vas tellement me manquer...
 
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origines : geonosia, il y est passé une fois, mais il la connait pas. il a peur d'y revenir. il a peur de l'affronter.
myocarde : c'est quoi ça? (jk, horion même s'il assume pas)
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Message(#) Sujet: Re: when it's time (please don't leave me) | Horion | flashback when it's time (please don't leave me) | Horion | flashback EmptyDim 25 Oct - 22:57

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pour l'ambiance c'est ici

L’ivresse était douce, folle, merveilleuse. Il leur avait fallu quelques minutes un peu gauche pour préparer les choses, et pour s’accorder, avant de trouver leur rythme, avant de se laisser aller à leurs envies - celles qui les habitaient depuis des mois, des années même sans doute, sans qu’ils n’aient jamais acté dessus. Toujours à se tourner autour, toujours à marcher sur des oeufs, à prendre des précautions, et les effets de l’alcool lui montant à la tête, Aziel ne se souvenait plus trop bien pour quelles raisons il avait attendu. Pour quelles raisons il s’était tu, il avait gardé ça pour lui. Il ne voulait pas se souvenir, pas à ce moment là, à cet instant, alors qu’il l’avait contre lui, sa peau contre la sienne, ses mains dans son dos, dans ses cheveux, le faisant grogner de plaisir alors qu’il tirait dessus. Il ne voulait pas se souvenir, alors que ses gémissements résonnaient comme la plus belle des musiques à son oreille, ou peut-être étaient-ce les siens. Il ne savait plus, dans ce tourbillon de plaisir, de sensations et d’émotions qui le prenaient aux tripes. Il aurait voulu prendre le temps, faire traîner les préliminaires, vénérer le corps de cet homme comme il le méritait, mais l’urgence était là, et l’ébriété aussi, et le désir immense - ils n’avaient plus le temps.

Mais l’ivresse étant aussi ce qu’elle était, l’extase les cueillit bien rapidement sans qu’ils aient la force l’un comme l’autre de résister, ça, et des années d’attente et de frustration accumulée. Aziel le gardait contre lui. Les derniers shots d’alcool lui montait un peu à la tête. Il décocha un sourire. “Vas y c’est de notoriété publique t’aurais dû savoir” Il plaisante un peu, pas sérieux pour un sou mais il est vrai qu’il avait un peu la réputation d’être un flirt, et, un bon amant - du moins, il l’avait eu avant qu’Horion débarque, et les quelques mois qui suivirent, avant qu’il n’arrête les frais, car seul l’Horion l’intéressait. Bien sûr, il avait prétexté je ne sais quelle excuse dans son cerveau pour expliquer cette abstinence, qui était bien loin de la vérité - celle qui l’avait mené dans cette position, ce soir-là. Il était sacrément amoureux. Elle était la la vérité. Il ne répondit pas à ses derniers mots. A la place, sa prise se resserra un peu autour de sa taille - et il posa son front dans son dos. Ses yeux fermés le brûlaient. L’émotion lui enserrait la gorge. L’ascenseur émotionel était violent. Il n’osait pas regarder l’heure qu’il était. “C’était bon....” Il finit par murmurer, avant de déserrer l’étreinte et de s’éloigner un peu. “Attend un peu.” Il prit quelques minutes pour débarasser et nettoyer leurs affaires, avant de revenir se glisser dans le lit, contre lui, rabattant les draps sur leurs corps fatigués. “t’as intérêt à pas t’attirer d’ennuis, sinon j’irai te chercher par la peau des fesses, ordres ou non” Il marmonna, l’humour pour masquer sa peine et son inquiétude immense.

Allongé face à lui, il se mit ensuite à l’observer en silence. Il voulait dire tant de choses, mais il ne savait pas par où commencer. Il ne savait pas trop non plus s’il faisait confiance à sa voix. Alors, il restait silencieux, à le contempler. La fatigue commençait à le terrasser, exacerbée par l’alcool qui pesait sur ses paupières, contre laquelle il luttait avec difficulté. Il voulait continuer à lui parler, profiter de chaque seconde jusqu’au petit matin….. lui hurler de ne pas partir. A la place, il marmonnait des trucs un peu inintelligibles (mais qui faisaient tout à fait sens pour lui), s’arrêtant de temps à autre au milieu d’une phrase, le sommeil l’attrapant peu à peu, clignant des yeux jusqu’à ce que ses paupières se ferment et que Morphée l’attrape brutalement.
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Message(#) Sujet: Re: when it's time (please don't leave me) | Horion | flashback when it's time (please don't leave me) | Horion | flashback EmptyMar 27 Oct - 1:18

base cassiopeia, milieu de l'an 3,
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La nuit battait son plein alors que les deux hommes étaient toujours enlacés, l’un dans l’autre, profitant simplement de la présence de chacun avant que le glas du départ ne sonne. Horion se sentait si bien, dans cette brume de tendresse et d’amour, il ne voulait plus partir, plus lâcher prise. Il l’aimait, il l’aimait tellement que ça lui faisait mal au cœur. Ce pilote stupide et intrépide, son humour nul, pas vraiment drôle mais dont les blagues le faisaient rire à chaque fois, ce courage dont il faisait preuve dans les missions, quitte à risquer sa propre vie pour les autres. Cette carapace qu’Aziel s’était forgé au fil des épreuves difficiles que la vie lui avait envoyé, même ça Horion l’aimait. C’était peut-être une des seules fois où il verrait son amant dans cet état de vulnérabilité et Horion chérissait plus que tout d’avoir eu la chance de découvrir le véritable Aziel sous toute ses couches de protections. Seulement...il ne pouvait pas lui dire, pas lui dire un mot, c’était injuste, mal, il ne pouvait pas lui demander de l’attendre, il ne savait même pas quand il reviendrait, même s’il reviendrait un jour. La mort était une finalité bien connue pour lui, il espérait juste que si la Force le reprenait dans ses bras, Aziel ne retomberait pas dans ses travers et tenterait de vivre le reste de sa vie. Il espérait que le bonheur taperait à sa porte parce que cet homme le méritait tellement putain.

- C’est toujours les ennuis qui me trouvent, tu le sais si bien bébé. Mais je ferais attention, je reviendrais, pour toi.

Puis le silence dans les marmonnements du sommeil d’Aziel, Horion ne tentait même pas de déchiffrer ses mots, il savait de toute façon ce qu’il voulait lui dire. Il ne dormirait surement pas cette nuit. 04:00, d’ici deux heures il devrait se lever, prendre son sac déjà fait dans ses propres quartiers et s'avancer vers la navette qui l’amènerait au bureau de recrutement de la Station Impériale où il était attendu. Horion resta les yeux ouverts, écoutant le souffle de son compagnon le berçait dans cette atmosphère chaleureuse. Il tenta de graver chaque souvenir dans sa mémoire, le goût de ses lèvres, la chaleur de sa peau contre la sienne, son odeur si enivrante, la caresse de ses doigts sur sa peau, les frissons que cela lui procurait, le son de sa voix douce et rauque de plaisir. Il ferma les yeux, essayant de retenir les larmes qui coulaient désormais abondamment sur ses joues pâles. Pourquoi la vie était-elle si injuste ? Ne méritait-il pas aussi un peu de bien être ? Se sacrifier pour les autres avait été une grande partie de sa vie et le plus grand arrivait dans quelques heures. Horion essaya d'étouffer ses sanglots naissant, emprisonnant son visage dans un des oreillers d’Aziel pour empêcher le son d’emplir la pièce silencieuse. La poitrine de son amant se soulevait à un rythme régulier, il s’était enfin endormi, il méritait de ne pas être déranger par un jedi pleurnicheur. Horion passa le reste du temps à se remémorer des souvenirs heureux, des missions réussies, des fêtes de l’alliance endiablées. Son seul réconfort était qu’il aurait l’occasion de revoir le visage de Remus et Azazel, ses amis d’enfances qu’il avait perdu pendant la purge. Sachant qu’il ne serait surement pas accueilli en héros, il espérait cependant que le temps les aidera à reconstituer leurs amitiés et qui sait, peut-être même les ramener à la raison, avec lui, ici. Toute sa seule famille réunit car sa biologique n’existait plus. Sa mère était je ne sais où, son frère jumeau était sûrement mort, son cadavre pourrissant dans une fosse commune. Non, ne pas pleurer encore davantage, pas maintenant, plus jamais. Il avait besoin de se concentrer et de relâcher ses émotions fortes dans la Force.

Horion se leva délicatement, prenant soin de ne pas réveiller Aziel, lui envoyant une suggestion de force à travers ses rêves afin  qu’il se repose davantage. Il en avait besoin. Puis, il ne voulait pas affronter les adieux, c’était trop dur et cela le compromettrait forcément pour la suite. C’était un lâche, il en était conscient, mais  il n’avait pas le luxe d’avoir le choix aujourd’hui.

La douche chaude de ses quartiers lui fit le plus grand bien alors qu’il se plongeait dans une méditation légère de quelques minutes. Il sentit la Force qui l’entourait, qui pénétrait dans son cœur, qui promettait de le protéger lui et ses proches. la guerre faisait rage, la guerre avait besoin de lui.
Son uniforme de technicien impérial défroissé, Horion se dirigea vers sa dernière mission avant de partir. Les quartiers d’Az étaient toujours silencieux et Horion se surprit à rire légèrement au doux ronflement de son ami. Il dormait toujours à point fermé, l’alcool devait avoir fait des ravages dans son corps solide. La gueule de bois lui donnerait surement un mal de tête conséquent demain matin.

Horion déposa un analgésique sur sa table de chevet avec un grand verre d’eau. A côté, il déplia l’enveloppe qu’il avait caché dans la poche de sa veste “Pour Aziel”. Puis, il sortit un collier fait d’un cordon de cuir marron, auquel il avait accroché un morceau de son cristal Kybber. C’était un cadeau rare, un cadeau précieux, il avait hésité mais il avait senti qu’il devait le lui donner. Cela le connectera un peu à son ami si celui-ci se retrouvait véritablement en danger. De plus, le cristal baignera Aziel dans sa présence légère dans la Force, même s’il n’y était pas sensible. Horion caressa délicatement les quelques mèches de cheveux en sueurs sur son front et déposa un léger baiser sur sa tempe, le dernier avant de longues années, s’il avait la chance de retrouver ses lèvres quand il reviendrait.

- Je t’aime, lui murmura t-il dans un souffle silencieux. Une supplique, la dernière, les mots avaient leurs importances et il ne les entendrait jamais mais c’était mieux ainsi. Prend soin de toi mon amour, je serais toujours là, je veillerais sur toi, même si je dois rejoindre la Force. Soit heureux Az, s’il te plait.
Adieu… .



“Salut, ici Horion, tu sais ton Jedi préféré insupportable ?

Je ne suis pas doué pour les aux revoir tu sais. Je suis tellement désolé de partir comme ça....mais...si j'avais dû te regarder dans les yeux, je ne t'aurais jamais quitter Love.

Toi et moi Flyboy c'est une histoire qui dure depuis un moment. Quand j'ai posé les yeux sur toi, je me suis dis "putain ce mec est canon" et puis tu as ouvert la bouche. Non pas que j'aime pas ta bouche bébé, t'as montré que t'étais doué avec mais faut dire que tu en sors des conneries.

Travailler avec toi, ça a vraiment été un rêve éveillé Love. Bon si on met de côté le nombre de vaisseaux que t'as crashé. D'ailleurs Flyboy si t'as abimé le vaisseau que je t'ai amélioré, je te botte le cul très fort quand je reviens.

Écoute je suis vraiment pas doué pour ça hein, tu le sais, tu me connais. Mais je voulais te dire que t'as intérêt à prendre soin de toi Flyboy sinon je te retrouve et tu vas passer un sale quart d'heure.

J'aurais aimé qu'on profite de...tout ça (je sais même pas comment nommer ce qu'on a bébé), plus longtemps. Malheureusement la réalité nous rattrape. Je vais essayer de revenir en un seul morceau. Tu vas....enfin ta présence...bref tu vas me manquer quoi.

Fais attention, je ferais de même. Deal.

Ton jolie Jedi débauché. Bye.”


 
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Message(#) Sujet: Re: when it's time (please don't leave me) | Horion | flashback when it's time (please don't leave me) | Horion | flashback EmptyMer 28 Oct - 22:35

base cassiopeia, milieu de l'an 3

Cette fois, Aziel n’avait même pas enregistré le petit nom, beaucoup trop endormi, marmonnant une réponse et à la suite quelques propos fatigués, qui ne faisaient pas vraiment sens. Mais Horion n’avait pas besoin qu’il déclare les choses à haute voix, il le comprenait. Et toute façon, tout cela était bien loin des considérations du pilote. Il était en effet a cet instant bien loin de penser à tout cela, mais plutôt à lutter vainement contre un sommeil qui l’écrasait sans qu’il puisse n’y faire quoique ce soit, victime des affres de l’alcool. Morphée ne lui laissa pas le choix, elle l’enveloppa de son manteau rassurant et merveilleux, pour un sommeil lourd et sans rêve…. mais pas vraiment réparateur. Un sommeil trop court, qui ne le protégeait de la réalité que de quelques heures, pour mieux l’y rejeter brutalement sans lui demander son avis. C’est en effet en sursaut qu’il se réveilla, se redressant brutalement sur son lit, complètement hagard, appelant Horion à haute voix, les cheveux collés sur son front, et une douleur terrible lui barrant le front. Le souffle sacaddé, ses yeux virevoltèrent partout dans la pièce quand il prit conscience que son ami n’était pas à ses côtés, que son lit était désespérément vide de sa présence, de sa chaleur. “Horion?” Il appela encore, se redressant aussitôt, trop vite bien trop vite, grognant de douleur à la douleur lancinante qui lui enserrait le crâne comme un étau. Sa main qui vole à son crâne alors qu’il sort de son lit tant bien que mal. Putain de geule de bois. Il avait du mal à réfléchir, ayant dormi sans doute bien trop peu pour la cuite qu’il s’était prise. C’est son coeur qui se fracassa dans sa poitrine alors qu’il remarqua les signes. Ce verre d’eau et cet analgésique sur sa table de chevet. Cela aurait pu venir d’Aldder, mais il le savait, au fond de lui, que c’était Horion. Et s’il avait pu avoir le moindre doute à ce sujet, cela ne pouvait plus être le cas quand il se rassit sur le lit, et tourna la tête vers le côté où Horion s’était allongé à ses côtés. Une lettre y reposait, avec sa délicate écriture - et un pendentif. Il s’immobilisa. Le temps en suspens, pendant quelques secondes. L’évidence s’imposait à lui même s’il l’a rejettait de toute ses forces. Il entrouvrit les lèvres pour respirer, récupérer de l’oxygène qui ne semblait pas vouloir habiter ses poumons. Il levait les yeux au ciel, luttant contre la tourmente qui l’étouffait peu à peu. Un déchirement, cette marée de sel qui se pressait, brûlant sa rétîne. Et ses mains qui tremblaient. Il se sentait perdu, comme un putain de gamin. Sa main vient brutalement valser et balancer le verre d’eau qui se fracassa à terre “Fuck you!” L’amertume lui serrait la gorge. Il était parti sans même lui dire au revoir. Il ne l’avait pas réveillé. Et maintenant - allait-il seulement le revoir un jour?

Homme accablé par une angoisse immense, il s’accroupit et posa un genou à terre, ses mains tremblantes venant prendre sa tête entre ses mains. Il se pencha en avant. Les mains crispées avec violence sur ses paupières fermés. Un sanglot échappa la barrière de ses lèvres avant qu’il se force à ravaler le reste, un peu secoué par cet effort. Il avait un mal de crâne terrible. Mais pire que ça, c’était le trou dans sa poitrine qui était intolérable. Il ferma les yeux un peu plus fort, avec un peu plus de férocité. Et inspira longuement avant d’attraper l’analgésique toujours sur la table de chevet, puis disparut dans la salle de bain pour l’avaler, se débarbouiller, prendre une douche.

Finalement, son excès de colère nettoyé, il était fin prêt, en uniforme, droit dans ses bottes, la tristesse releguée derrière ses paupières. Le visage marqué par la fatigue. Il réajusta ses vêtements, enfila sa veste en cuir et quitta ses quartiers sans un regard en arrière. Le silence, dans cette chambre abandonnée…. avant qu’Aziel y réapparaisse, cinq minutes plus tard, attrapant le pendentif avec le cristal Kybber pour le placer autour de son cou et en sécurité sous son haut. “you’re fucking kidding me” il siffla entre ses dents. Please come back to me. But also fuck you. Sa main qui se crispe sur le cristal. Ses yeux fermés et son esprit qui essaie si fort de faire passer ce message, alors qu’il n’y comprend rien à cette satanée Force. Il prend la lettre. Et l’enfonce dans la poche interne de sa veste, sans l’ouvrir. Il n’en a pas le courage.

Il referme la porte derrière lui.
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