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Mois 06, année 6, après la bataille de Kashyyyk. Les arbres font de l'ombre au soleil et le doux parfum d'un été qui s'annonce est charié par les fleurs. Les températures sont chaudes et douces et varient entre 20 et 30 degrés.
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 somebody's eyes are watching (eon)


                                                                 
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    A NEW HOPE

  THE DARK SIDE

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Message(#) Sujet: somebody's eyes are watching (eon) somebody's eyes are watching (eon) EmptyDim 8 Nov - 13:53

Ses talons retentissent sur le sol lisse et lustré des ailes privées du domicile de Darth Kirk, avec la légèreté de gouttes d’eau dont le bruit s’amplifie contre les parois immaculées de cette véritable cathédrale – palais à la gloire de l’Empire, qui ne saurait évidemment souffrir le moindre défaut. Hera n’y est chez elle que parce qu’elle appartient à l’un d’entre eux, mais cela ne l’empêchera pas, jamais, de se comporter en véritable maîtresse des lieux, extension qu’elle est du bras du chancelier de Naboo, élément indispensable du décor, qu’ils le veuillent ou non. Elle n’a gratifié personne du moindre regard en entrant, et se délecte maintenant de la solitude des lieux où nul public n’avait le droit d’entrer sans permission expresse du locataire – ou de la sienne. Miettes de pouvoir et de privilège qu’elle savoure à chaque instant où il lui est permis de le faire. Hélas, aujourd’hui n’est pas une de ces journées où elle peut avoir le luxe de profiter de tout ce qu’ils ont conquis, tous les deux : ce sont des affaires urgentes qui la ramènent chez Remus, avec qui elle tient à s’entretenir de toute urgence. Elle ne l’a pas vu depuis la veille, lui trop occupé à la chancellerie, elle à l’Académie, mais c’est justement de ça qu’elle veut l’entretenir. Petites souris qui se pensent discrètes, les apprentis ont la langue bien pendue, et sous-estiment bien trop souvent les oreilles attentives de l’efficace intendante robotique qui faisait bien plus que leur fournir leurs sabres d’entraînement, ces petits sots. Et aujourd’hui, une petite souris s’était révélée particulièrement volubile.

« Remus ? » appelle-t-elle d’une voix claire en poussant le double-battant de l’imposante porte qui menait à la pièce principale – et la déception se lit sur son visage aussi clairement que la lune pleine sur nuit noire, lorsqu’elle constate l’absence de son maître, et plus aggravant encore, la présence de son élève. « Oh. » lâche-t-elle dans un souffle, alors que son regard limpide croise celui d’Eon. Flûte. Voilà qui était contrariant. Mais, plutôt que de tourner les talons et s’en aller, Hera croise les bras sous sa poitrine et s’avance de quelques pas, le dos droit et le menton fier, sans lâcher la jeune femme des yeux. « Je suis navrée si je t’interromps dans tes études. » Non, pas vraiment. Mais Eon est la disciple de Remus, et Hera n’est que trop consciente de l’importance de ce lien, pour l’un comme pour l’autre, et donc, par extension, pour elle. Elle peut bien ne guère apprécier de voir l’enfant aussi proche de son créateur, mais elle est bien consciente de son devoir, et de devoir respecter ce lien pour ainsi dire sacré. « Je cherche Remus. Je dois l’entretenir de quelque chose d’assez urgent, mais si tu es ici seule, j’imagine qu’il n’est pas encore rentré ? » demande-t-elle en arquant un sourcil interrogateur à l’adresse d’Eon – et en se demandant, le cas échant, quelle serait la meilleure marche à suivre.
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Message(#) Sujet: Re: somebody's eyes are watching (eon) somebody's eyes are watching (eon) EmptyDim 22 Nov - 9:57

somebody's eyes are watching

Chaos is the new calm violence the new balm to be spread on lips unused to a kiss. Left is the new right as I brace for a fight with a man who stands on his remaining hand. Fetid harbor harbor me until someone is free to drive me away from what happened today.


Elle n'avait jamais eu d'endroit "à elle". De lieu de vie, à son nom, légalement, officiellement, de la reconnaissance d'une réussite sous la forme d'une possession immobilière. Elle n'en avait jamais éprouvé le besoin, jusque là. Pendant longtemps, c'était survivre-survivre-survivre, et puis c'était l'Académie,  apprendre, grandir, évoluer, ne faire qu'un avec la force. L'Académie avait été ce qui se rapprochait le plus d'une maison, sans doute, jusqu'à ce qu'elle la trahisse. Et maintenant, ça. Le vaste appartement au luxe impersonnel qui, lui non plus, n'était pas vraiment à elle, mais à son maître. Les Jedi désapprouvaient le matérialisme, le désir de propriété. Bien qu'elle ne soit plus une jedi, il lui avait fallu du temps pour que cela change. Des désirs grandissants, l'appréciation du confort, le désir d'être propriétaire de. Elle n'avait plus honte de penser son sabre-laser, ses bottes, ses affaires, tout simplement. Mais elle vivait chez arès, toujours. Et un jour, ce ne serait plus suffisant, parce que Eon en voulait plus, toujours plus, de responsabilités , de confiance, de pouvoir. Mais pour le moment, vivre avec son maître, le Sénateur de Naboo, lui donnait un sentiment d'importance loin d'être déplaisant. Elle était la seule personne de la galaxie qui avait sa totale confiance. La seule autorisée dans ce sanctuaire, dans la sphère personnelle de darth kirk.

La seule, ou presque, comme le lui rappellent amèrement les portes qui s'ouvrent sur un autre individu que celui de ses pensées.

Assise dans le salon, ses bottes reposant sur une seconde chaise, l'apprentie était plongée dans l'étude de son datapad, et ne daigne pas lever les yeux de l'objet de son attention même si elle l'avait entendue arriver, talons résonnant aussi fort que son ego ; même lorsqu'elle parle avec un ton peu approprié pour s'adresser à son maître. Sombre Eon, impassible, indifférente, qui ne signale qu'elle avait conscience de sa présence que par une onomatopée distante, yeux fermement vissés sur son écran. Si Hera était désolée de la déranger, alors elle-même était heureuse de la voir. Ridicule. Eon n'aimait vraiment pas l'hypocrisie. Surtout lorsque les politesses venaient du bras gauche d'Arès.

Mais il n'était pas non plus nécessaire d'être désagréable avec ceux qu'on appréciait point. Eon offrait juste à l'androïde le strict minimum autorisé, des efforts pour le bien être de son maître. C'est tout.

Après un moment délibérément long, elle lève ses prunelles vers la blonde Hera, semble-t-il insatisfaite par ce qu'elle avait trouvé. Mais elle a attiré sa curiosité, Eon est toujours attentive, quand il s'agit d'Arès. Les affaires de son maître sont les siennes, depuis que ce lien de force les relient, depuis qu'elle l'a choisi envers et contre tout.

« Bonne déduction. » répond-elle simplement, sans lui préciser ce qu'elle sait des déambulations de leur maître. Elle pose la tablette sur ses cuisses, passe une main dans ses mèches courtes. Eon se retient de faire remarquer qu'avec une planète à diriger, leur sujet de conversation n'avait que peu de chance d'être trouvé dans l'appartement ou il ne faisait pas grand chose à part dormir. L'agressivité est en veille, aujourd'hui. Sans doute que l'entraînement avait suffi à apaiser la bête.

« Il n'y a rien qui le concerne que tu ne puisse me dire. » qu'elle lui rappelle sérieusement en croisant les bras sous sa poitrine menue, et en jaugeant Hera d'un regard indescriptible. « Si c'est un problème urgent, je peux le régler. » Elle était, après tout, son apprentie, son ombre loyale et impitoyable, l'extension d'Arès, comme une arme de réserve, toujours aux abois, toujours prête à agir pour le rendre fier...


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