l'event 2, rp commun : la ruche

Nocte n'a jamais mis les pieds dans la ruche ; au cours de ses années d'autrefois, avant de finir dans la carbonite pour sept ans, le prince n'a fait qu'effleurer l'organisatique sans pour autant y mettre un pied. Il y a cet appel à la liberté, après tout, en lui ; un besoin de ne posséder aucune chaine à ses pieds ou à ses poignets. Il est étrange d'être présent en ces lieux, soudain, tandis que ses associations avec l'organisme ont toujours été lointaines et peu approfondies. L'iris lorgne sur les multiples décorations et le souffle reste calme, entre ses lèvres bien que, à plusieurs reprises, l'Atlande replace ses manches et lisse la chemise qu'il porte sous son manteau en cuir. Il n'est pas confortable. Un tel lieu, à ses souvenirs, est plus souvent associé à des habits plus chics, plus propre. Naboo possède à l'occasion des similudes avec Atlan qu'il n'apprécie pas forcément. La masse d'eau entourant l'endroit semble familière ; heureusement, la flore possède une différence assez importante; quelque chose de suffisant, quelque chose qui l'aide à se calmer. Nocte n'aime pas être anxieux ; c'est un sentiment qu'il chasse, toujours. Un fantôme qu'il laisse glisser contre sa chair et qui ne s'accroche pas.
Ils avancent dans le jardin ; ou du moins, Nocte suppose qu'il s'agit d'un jardin. Le regard ne s'attarde pas réellement aux arbres et aux fleurs même si, quelque part, il apprécie la nature et les beautés qu'elle offre. Pour l'heure, Nocte préfère tirer la manche de Domkod et l'entrainer dans une direction précise. Doivent-ils rencontrer un contact en ces lieux ? Se faire de nouveaux camarades ? Nocte n'en a que faire, à l'instant.
L'iris s'est accroché à une chose hautement agréable.
- buvons. qu'il fait alors que dans ses mains, un verre se trouve déjà.
Ami attentionné. il en met également un entre les deux de son ami et, après un coup plus fort que moindre contre son cristal, il se permet une gorgée fortement généreuse. Contre sa machoire, une fine goutte coule et Nocte l'essuie du revers de sa main. Il offre ensuite un sourire généreux à Dom, comblé par la saveur du nectar bu. L'alcool est déjà plus intéressant que celui d'Atlan ; pour le reste, il se fait attentif et guette le moindre changement. Altan était une prison, l'est encore bien qu'il soit loin de sa cage. Il lui reste à savoir si cette ruche est similaire.

résumé:

Quel plaisir de pouvoir revenir sur Naboo après tout ce temps passé dans l'espace. Le pirate aime les voyages, mais il apprécie encore plus la sensation qui accompagne le retour sur la terre ferme, sa maison. C'est un sentiment inexplicable, qui a perdu un peu de sa saveur, sans doute du aux légers changements. Ils ont du faire un détour au marché de tatooine pour lui trouver de quoi couvrir son code barre en attendant de pouvoir expliquer la situation. Ce qu'ils n'ont pas envie de faire, aucun membre de l'équipage n'en a parlé. Zak a évité le sujet comme un chef, fait comme si de rien n'était. Comme si il n'avait pas été ramené à la vie d'une certaine manière. Zak préfère se réjouir, il est fébrile à l'idée de retrouver tous ses amis, de pouvoir embrasser sa femme et passer du temps avec ses enfants. Il y a un sentiment au fond de lui qu'il n'arrive pas à analyser, comme une mise en garde en arrière plan, mais il n'y fait pas attention.
Il devrait déjà être chez lui, mais alors qu'ils entraient en orbite de Naboo, ils ont reçu l'invitation de la reine de la ruche elle même. Pour rien au monde Zak ne raterait une occasion de se faire voir parmi les abeilles, il n'a jamais raté une seule fête des abeilles depuis qu'il est en âge de marcher et boire de l'alcool. Plus les fois ou son père l'a embarqué sans demande l'avis des autres. Sa famille attendra, il mérite bien un peu de repos après ses dernières aventures. Un an qu'il a totalement disparu. Ses concurrents l'ont sans doute déjà enterré. Et là dessus, ils ne sont pas très loin de la vérité. Il arrive comme un prince, accompagné de deux membres de son équipage. Ils ont tirés au sort. Suuh'i est le premier gagnant et comme par hasard, c'est ensuite Charon qui a gagné. Le capitaine suspecte un tour de force. Ce ne serait pas la première fois que Suuh'i cherche à se retrouver seul avec Charon. Ils savent que le patron va aller voir ses amis et les laisser profiter des festivités. C'est la première fois que Suuh'i vient avec eux, il est émerveillé des efforts de la décoration. Zak n'y est plus aussi sensible. Il sautille d'impatience dans sa barque, il va pouvoir parler à d'autres personnes que ses camarades.
A peine entré, Zak attrape déjà un verre et se dirige vers une tête beaucoup trop familière. «   Dom ! Mon pote, putain, ça fait un bail.   » Il ne s'attendait pas à le voir ici. Au dernières nouvelles, son ami pirate avait raccroché, ouvert une jolie cantina et laissé tomber toutes ces histoires de ruche et de pègre. Il est accompagné d'un homme qu'il ne connait pas et n'a jamais vu dans le coin. Il en faut plus pour le décourager. Zak n'est pas malpoli. Les amis de ses amis sont ses amis, tout comme les ennemis de ses amis sont ses amis et les ennemis de ses ennemis et ses amis ? Quelque chose comme ça. Il se fait beaucoup d'amis, en général ; et autant d'ennemis à cause de ses mains baladeuses. « Enchanté, je m'appelle Zak. Et voici Charon et Suuh'i mes camarades. » Les deux pirates saluent à leur tour l'inconnu, Charon avec beaucoup plus de chaleur. Suuh'i est déjà en train de se plaindre de la boisson. «   C'est si terrible que ça ?  » Dépité.e, Charon le lui tend son verre. Zak s'en enfile un premier cul sec. Cette sensation lui avait manqué. Quelle belle soirée pour faire la fête et se bourrer la gueule, il n'imaginait pas meilleur retour à la civilisation. Charon désapprouve. « Ca va. Fait pas cette tête. J'ai pas raison ? Faut profiter de la vie. » Il donne un coup de coude quand les cotes de Nocte.

Spoiler:

may the force be with you Il n’a pas envie d’être là. A vrai dire, il a envie d’être partout, sauf ici. Enfin non, il a envie d’être n’importe où, mais avec Delphini, toujours soucieux sitôt qu’elle sort de son champ de vision – hélas le devoir l’appelle, et si elle peut s’abstenir de se rendre à cette convocation, l’androïde n’a pas ce luxe. Ex-propriété de feu Derryn Velos, dépositaire de ses secrets, lourd héritage autour duquel tournait la part la plus sombre de la Ruche, celle dont on ne parlait pas, celle à laquelle seuls les initiés – et les clients bien payants – avaient accès. Aldebaran n’a pas envie d’être là, mais il sait que ne pas l’être serait porteur de conséquences bien plus graves encore.

Boire ? Manger ? Aldebaran en a les capacités, mais nullement l’envie. Dans cette ruche luxuriante bien différente des quartiers sud de Theed dont il a l’habitude, l’androïde sent son code tourner en rond dans ce qui lui sert d’esprit, simulacre – ou pas – d’agacement face au décalage flagrant entre cet endroit et les dangers qui rôdent au dehors. Pour lui, et pour Delphi. Les nouvelles lois de la robotique ne les mettaient, sur le papier, pas en danger, mais en pratique ? Come on. Elle était une fille de joie de l’Hypérion : quel pouvoir aurait-elle, s’ils s’attiraient des ennuis à cause de leurs activités ? Lui, c’était certain, n’en aurait aucun. Ni lui, ni la Ruche qui n’hésiterait pas à les fouler de ses bottes au nom de la loi du plus fort.

Aldebaran ne passe pas inaperçu dans cette étrange assemblée, sa haute et lourde silhouette se meut à travers la foule sans croiser le regard de personne, si ce n’est celui de la reine – qu’il voit esquisser un petit sourire satisfait. Satisfaite de voir sa carte-mémoire ambulante se joindre aux festivités ? Comme un trophée que l’on peut parader, une possession précieuse que l’on exhibe pour asseoir son statut face à ses sujets. Aldebaran détourne la tête et scanne l’assemblée du regard, tous programmes aux aguets, ses processeurs repêchant information après information à une vitesse vertigineuse à mesure que ses scanneurs identifient les participants présents, c’est-à-dire tout le monde à part les recrues les plus récentes – ceux-là rejoindraient bientôt sa banque de données, eux aussi. C’était pour ça aussi qu’il était là, non ? Héritier du maître des chuchoteurs, banque d’informations vivante de la Ruche, Aldebaran se poste dans le jardin, près d’un pilier, ne cherche même pas à se fondre dans la masse – sa mauvaise humeur encourage à la mauvaise foi, et si la reine avait à se plaindre de ses services, elle saurait venir le trouver. Et sous les regards intrigués, et souvent méfiants de ses camarades qui commencent à chuchoter, l’androïde commence son travail de recensement. Aucun visage, aucun nom n’échapperait à son attention ce soir. Et plus vite il en aurait fini, plus vite il pourrait s’éclipser. Dans la foule, quelques visages familiers font leur apparition – Domkod, presque le seul amical dans cette assemblée, sur lequel le regard d’Aldebaran s’attarde un instant, comme une reconnaissance, à défaut d’un salut. Puis un autre visage – un qu’il n’avait pas vu depuis bien longtemps. Un visage d’Atlan ; un visage qui, pour une fois, le laisse perplexe, quand bien même il se mure dans son silence de soldat de fer.

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La fête des Abeilles ce qu'il s'y passe

- luminous beings are we -

Domkod était en retard, très en retard, quand son ami Nocte se présenta à la porte de son vaisseau, vêtu de belles tuniques pour la soirée qui les attendait. Dom n'avait pas particulièrement fait d'efforts ce soir la, se contentent de se peignait ses cheveux cuivrés et de lisser les frisottis indiscrets de sa barbe. Il avait revêtu une chemise propre, couleur crème, dont le laçage sur son col pendait négligemment, ouvert, laissant entrevoir ses clavicules pâles. Le tout surmonté par un gilet sans Manche en cuir marron, propre mais légèrement vieilli, qu'il gardait au fond d'un placard. Ses jambes étaient cachées par un pantalon en cuir noir, qu'il le savait, serrait ses fesses et lui donnait l'air un voyou sorti chercher sa conquête du soir. Parfait. Il eut un pincement au cœur en pensant à sa tendre jedi et de ce qu'elle pourrait dire de son look scandaleux mais elle ne le verrait pas, donc il pouvait bien s'offrir pour une fois une soirée en toute discrétion.

- Et bien mon cher allons y, je suis enfin prêt.

Le trajet se fit à bord d'un speeder tout ce qu'il y a de plus classique, le palais se trouvait à quelques heures de Theed. Dom le connaissait, pour avoir quelquefois séjourner sur les rives du grand lac mais n'avait jamais pu pénétrer dans la demeure luxueuse. Il avait hâte de découvrir l'architecture intérieur et contemplait les œuvres d'arts nombreuses qui devaient habiter les murs. C'était un grand privilège que la reine leur offrait ce soir. Il tenait à profiter de tous les cadeaux qu'on leur offrirait.

Un bateau les attendait, remplis déjà de quelques invités, attendant de se remplir complètement afin de rentabiliser le carburant du passage. Les lumières de la lune se reflétaient joyeusement sur l'eau calme du grand lac. C'était beau, c'était apaisant. Dom appréciait de se retrouver dans un tel lieu où la Force vivante virevoltant joyeusement à travers la nature somptueuse qui reprenait ses droits. C'était si apaisant que Dom se dit qu'il pourrait tout à faire se construire une petite maison en ces lieux.

La foule était déjà rassemblée sur la terrasse, virevoltant ensemble, prenant un verre d'alcool au hasard, mangeant les petits amuses bouches disponibles. C'était grand, c'était festifs et c'était somptueux. Dom se léchait déjà les babines à la tentation d'un grand nombre de plat disponibles, cela changerait des vieilles boites de conserve disponibles sur son vaisseau. La vrai nourriture lui manquait au goût mais sans cuisine suffisamment grande pour préparer un bon repas, Dom se contentait de ce qu'il avait. Ce n'est pas comme s'il s'était nourri de cela durant des années.

Nocte lui tendit un verre d'un liquide non identifié. Cela sentait fort, la teneur en alcool devait être grande mais Dom savait le tenir, alors il prit le verre avec plaisir et le but cul sec.

- Pas mal mon cher, pas mal, je sens que cette soirée va être épatante, tu ne crois pas ?

Soudain, trois personnes se frayèrent un chemin jusqu'au duo de pirate. Un des visages lui disait certainement quelque chose. Oui, bien sûr qu'il connaissait ce vieux Zak, cela faisait longtemps qu'ils ne s'étaient pas croisés. Décidément, cette soirée allait de bonnes surprises en bonnes surprises.

- Mon ami, et bien, à part quelques rides, tu es toujours aussi fringuant à ce que je vois ? Comment vont les affaires ? Tu as bien raison, profitons d'être encore en vie.

La soirée passa rapidement, les retrouvailles, la bonne humeur, l'alcool qui coulait à flot. Dom se sentait ivre, ivre de joie et d'enthousiaste, une brume enjôleuse qui brouillait son cerveau, alors que la foule s'agglutinait devant une grande estrade. Le discours, Dom était très curieux de connaître les nouvelles mises à jour, surtout qu'il n'avait pas côtoyé la ruche depuis longtemps. La reine était-elle toujours aussi majestueuse ? Il n'eut pas à attendre longtemps quand elle fit place sur la scène, leur parlant de sa voie chantante et invitante, présentant les nouveautés technologiques. Des puces ? Pour les androïdes ? Cela était certainement une main de maître qu'elle balançait ici, un coup de poker qui Dom le savait, pouvait carrément retourner les pièces déjà sur l'échiquier. Cela devait être surveiller de prêt, car la Ruche allait détenir un grand pouvoir par ici avec le temps.

Résumé:

L'alcool coule à flots ; Nocte a toujours apprécié les situations où l'alcool est présente. Elle le met de bonne humeur, constamment. Déjà, elle lui fout la tête à l'envers ; au moins, il a une bonne raison pour ne rien comprendre à ce qui se passe, autour de lui. Il n'a pas besoin d'expliquer des histoires à deux balles comme quoi il a passé sept ans dans la glace. Il a tenté , il y a quelques jours, d'expliquer l'histoire à une jolie dame, mais elle a fini tellement captivé par son récit qu'ils en ont oublié le confort des draps. Nocte voulait connaître le confort inexistant de ces draps bon marché. C'était son but premier. Mais il a bon coeur, toujours, et il aime compter des histoires, aussi. Alors, il a conté le récit de sa vie dans la plus grande des tragédies, avec des rires et ses mots cassés, et elle a écouté. Il ne saurait dire son nom. Peut-être qu'elle ne lui a pas donné. Normalement, il est doué avec les prénoms. Celui de Zak, déjà, est marqué dans ses esprits. Ceux de Charon et Suuh'i sont ancré dans sa tête, fortement. Il dévisage leurs traits différents comme il observe les étrangetés de sa vie ; avec une grande fascination, toujours, et un millier de questions au bout de ses lèvres. Celles-ci ne naissent pas car, rapidement, l'iris se pose sur Aldebaran, un visage connu, avant de se déplacer plus loin sur une masse large et imposante ( Ithan ) qu'i reconnait, malgré les années. Le coeur se serre, se gonfle, s'en va et revient. Mais les mots étouffent, dans la gorge, tandis que la Reine élève sa voix et fait des annonces nombreuses sur des choses qu'il ne comprend pas tout à fait. Nocte est encore inconnu face au temps moderne, loin de la réalité des siens. Il s'en veut, peut-être, de ne pas savoir. D'être insouciant avec tant d'aisance. Peut-être devrait-il se préoccuper de la situation des androïdes. Noon en est un, après tout. Il l'oublie, souvent. puce ? c'est quoi ? qu'iI demande, un verre encore à la main, déjà au bord des lippes, tandis qu'il s'adresse à Zak comme à Dom. L'iris, rapidement, quitte leurs traits. Il se souvient d'Ithan. Il n'oublie pas. Le regard se noie d'une bouée émotive et les lèvres se pincent. Il laisse ses prunelles glissés vers l'homme à ses côtés ( Rhil ) auquel il adresse un grand sourire, trop immense, malgré ses yeux larmoyants. Santé ! qu'il fait, claquant son verre contre le sien comme s'ils étaient de grands amis.

résumé:

résumé:

Résumé:

Les verres se cognent comme son coeur le fait, dans sa poitrine. Le sourire est aussi large que le sentiment habitant l'intérieur de l'homme. Il radit ; il brille par cette découverte posée sous ses yeux, immense comme un mur, comme un univers tout entier. Ithan est un trésor en soi ; voilà ce que Nocte a toujours pensé de son frère, dés leur rencontre. Les mystères à son égard existent encore et l'esprit ne demande qu'à les découvrir un à la fois. Nocte a toujours manqué de temps, pourtant. Il aimerait être capable de l'arrêter et d'en offfrir de manière équitable à tout ceux qu'il aime, mais son voeu a été déformé et c'est sept ans dans la carbonite qu'il a passé. L'univers a un humour étrange, mais Nocte ne peut pas juger. Le sien n'est pas plus particulier.
Le regard brillent plus fort, Ithan s'impose et s'avance. Le sourire grandit, sur ses lèvres, tandis que la réalisation claque en lui. L'espoir ne lui appartient pas, il prèfére les faits. Pourtant, Nocte adore les contes et les histoires. Le réveil a été difficile, après la carbonite. Tout est inconnu maintenant, mais Ithan est familier. Le sourire est véritable, sur ses lèvres. Le timbre de sa voix est familier ; il est loin dans les souvenirs, même avant l'absence. Nocte perd la notion du temps, constamment. Il ne réalise que lorsqu'il croise de nouveau un regard tout le temps qui s'est écoulé. Peut-être alors que les yeux brillent pour d'autres raisons.
Le geste est puissant, malgré ses maigres bras, quand il s'empare du sien pour le tenir. Pour le sentir, juste. Il y a des choses qui sont dites avec les gestes et le regard et Nocte ne comprend pas tout, n'a jamais tout compris, mais il y a un mot qui revient et qui a marqué son âme et son coeur, toujours. Frère. tsmukan qu'il répond dans sa propre langue. Et puis, il ramène son bras contre lui, le tenant toujours, et s'appuie sur la pointe de ses pieds pour enlacer son autre bras autour de ses épaules brusquement. Il a besoin de le serrer contre lui, oublie l'endroit et le moment. La question de l'homme à leurs côtés le ramène sur place. Déjà, un rire le traverse et Nocte s'écarte à reculer, sourit toujours à l'inconnu accompagnant Ithan. Le verre est vidé et déposé sur la table - impossible de le déposer sans le vider - et Nocte lui présente sa main. Nocte Halcorr, brother. Le regard va et l'un à l'autre, lentement. Nocte ne comprend pas les détails, ne cherche pas à savoir la nature de leur relation. La joie est présente et, aisément, elle se transfère de l'un à l'autre. Il n'est que normal pour lui, au final, de prendre également le blond dans ses bras dans une accolade puissante et émotive. kaltxì si

tsmukan [ˈt͡smu.kan] n. brother
kaltxì si [kal.ˈt’ɪ ˈs·i] vin. say hello, greet

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