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Mois 06, année 6, après la bataille de Kashyyyk. Les arbres font de l'ombre au soleil et le doux parfum d'un été qui s'annonce est charié par les fleurs. Les températures sont chaudes et douces et varient entre 20 et 30 degrés.
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- Horion Kriss -
alliance rebelle
Horion Kriss

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signaux envoyés : 331
monnaie chromium : 961
identité : Avara
pronom : Iel
doublures : Eden Farhor
faciès et crédits : Domhnall Gleeson + andthereisawoman
labeur : Chevalier Jedi, Espion de l'alliance Rebelle, Lieutenant Ingénieur Empire
origines : Naboo
myocarde : Définitivement Aziel, mais l'amour c'est toujours compliqué
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Message(#) Sujet: The only way of loving me baby Is to pay a lovely fee - Arcturus The only way of loving me baby Is to pay a lovely fee - Arcturus EmptySam 24 Oct - 22:35

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- Hypérion -


L’hypérion, un bordel luxueux dans lequel tous les êtres les plus solitaires et les plus pervers de la planète se retrouvaient pour passer du bon temps en compagnie agréable. Ce n’était clairement pas le premier choix d’Horion quand il avait dans l’idée de prendre un job mais il avait cruellement besoin de manger, il avait froid et il n’avait plus d’argent pour dormir dans un endroit sécurisé. Plus vraiment d’autres alternatives. Les primes se faisaient rares pour un chasseur difficile qui refusait de causer des ennuis à de pauvres innocents.
Il aurait pu éventuellement penser à un travail fixe comme serveur dans une cantina mais cela l'exposait trop, surtout pour quelqu’un qui cherchait à rester sous le radar de l’empire. Un ancien Jedi était forcément recherché et les cantinas étaient des endroits bien trop fréquentées. La maison close lui offrait une certaine protection, personne ici ne parlait de ce qu’il avait vu, c’était une règle tacite.

La négociation serrée avec la mère maquerelle de l’établissement fut difficile. Horion ne souhaitait pas se donner tous les soirs alors qu’elle voyait en lui un joyeux prometteur : un homme fin, grand, roux, ce n’était pas habituel et cela en ferait surement un produit rare, unique en son genre. Horion devait seulement y venir deux soirs par semaine ce qui rendait le pourcentage de charges de location plus élevé que la moyenne. Cela lui rapporterait plus qu’assez ceci dit à la fin de la nuit s’il prenait au minimum cinq clients par soir. Le chiffre était certes élevé mais Horion était un Jedi, il avait affronté de dures épreuves, ce n’est pas une soirée de sexe intense qui allait le mettre en difficulté non ? Oui se serait surement facile, il suffisait de se plier à la volonté de l’autre, d’écarter ses cuisses et de projeter son esprit dans un endroit agréable dans lequel s’évader. Rien de trop méchant...s’il avait su seulement ce qui l’attendait.

Horion était un homme qui n’avait aucune expérience si ce n’est solitaire dans ce domaine, bien que le nombre d’holoporn qu’il avait visionné lui donnait une assez bonne idée de ce qui l’attendait. Seulement la théorie est une chose et la pratique en est une autre. Il était 19h, il se préparait consciemment dans sa petite salle de bain privée attenant à la chambre qui serait la sienne pour chaque soir à se vendre. Une douche chaude, agréable délassait ses muscles tendus et endoloris par la nervosité. Les produits qui lui avaient été fournis produisaient une douce odeur florale agréable. Il prit le temps de frotter doucement son corps, n’oubliant aucun recoin et suivant les instructions lu sur un article traitant des relations sexuelles entre hommes. Il devait être parfait pour appâter les clients et espérer qu’ils reviennent chaque semaine. Se constituer une clientèle régulière était tout de même plus réconfortant que faire face à des inconnus à chaque fois.
Il entreprit de coiffer sa chevelure d’une manière attrayante, laissant quelques mèches cuivrés pendre élégamment sur le devant de son visage alors que les autres étaient fixées grâce à une couche de gel scintillant. Un parfum léger, toujours floral teinté d’un musc doux et sensuel était déposé à des endroits stratégiques comme le creux de ses cuisses, de sa nuque et de ses poignets. Enfin Horion prit en main une houppette touffue, la plongeant dans une poudre pailletée et dorée afin de déposer le maquillage sur son torse et ses bras pour souligner ses formes musclées mais fines. Cela devrait suffire n’est-ce pas ? Il ne savait pas vraiment ce qu’il faisait mais il avait observé les autres prostitués de l’établissement.

Horion se dirigea vers la chambre, petite mais confortable. La température y était agréable pour que des corps nus ne frissonnent pas mais évitent une surchauffe du à l’activité générale. Le lit était recouvert de draps de satin noir et encadré par des rideaux en velours rouges, donnant une atmosphère propice à l’intimité. Un canapé deux places était posé dans un coin, contre le mur, de couleur bordeaux, à côté d’un mini bar remplit de toutes sortes de boissons alcoolisées et stimulantes, pour le client évidemment. L'hôte se devait toujours de proposer afin d’augmenter le prix sur la note finale. Des sous-vêtements en dentelles vertes qui ne couvraient surement pas grand chose du corps du Jedi étaient déposés sur le matelas, l’attendant et le narguant. Cela le rapprochait toujours plus de l’échéance et Horion commençait à se sentir de plus en plus mal à l’aise. Il espérait que ce fameux client célèbre serait agréable et n’attendait pas énormément de sa prestation. Il savait d’avance qu’elle serait médiocre, malgré toutes les précautions qu’il prendrait.

Quelques instants plus tard, vêtus de bas en nylon noir, d’un porte jarretelle vert, d’une culotte pour homme qui ne laissait pas beaucoup place à l’imagination et d’un soutien-gorge fait expressément pour rendre attrayant son torse, quelques coups se firent entendre de l’autre côté de la porte. Horion regarda sa montre, 20h00, l’homme était pile à l’heure et sûrement impatient d’en finir. Il avait payé pour une nuit complète et le montant était sacrément élevé. Et si l’homme partait avant l’aube se plaindre qu’il n’était pas satisfait ? Que ferait Horion ? Il avait faim, il avait besoin de cet argent coûte que coûte. Peu importe ce qu’il devait endurer ce soir. Il s’était préparé.

- Bonsoir Monsieur, je vous attendais. Puis-je vous proposer un verre de champagne cosmique ? A moins que vous ne souhaitez passer directement au plat principal ? Les mots semblaient transparaître une certaine confiance mais Horion sentait ses mains qui tremblaient légèrement, ne sachant pas quoi faire si l’homme le voulait sans préambule. Essayant de paraître sexy et attrayant, Horion reposait sa main et sa hanche droite contre le battant de la porte, dans une pose qui se voulait lascive mais qui avait l’air plutôt d’un préliminaire très maladroit. Espérons que ses vêtements fassent le travail à sa place.


Dernière édition par Horion Kriss le Dim 24 Jan - 12:31, édité 1 fois
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Message(#) Sujet: Re: The only way of loving me baby Is to pay a lovely fee - Arcturus The only way of loving me baby Is to pay a lovely fee - Arcturus EmptyLun 26 Oct - 22:23

L'argent lui a ouvert une infinité de portes qui jusqu'alors demeuraient fermées pour le gamin crasseux des niveaux inférieurs de Corruscant. Un monde tout entier dont personne ne l'a averti des dangers qui le composent. Il s'est retrouvé tel un enfant dans une confiserie et il a goûté toutes les saveurs de ce monde, tous les vices que la célébrité offrent. Prit au piège comme dans ces vieux conte. Il n'a réalisé que trop tard le véritable prix à payer, qui ne se calcule pas en chromium, les petits lignes du contrat où l'on abandonne son âme. Il a troqué l'amour, le vrai, pour quelque chose d'aussi éphémère qu'intense habitué à être stimulé au quotidien, conscient qu'il a à sa portée la moindre chose -et personne- qu'il désire. Alors pourquoi se battre ? Pourquoi tenter de sauver les meubles quand il suffit de remplacer ce qui ne lui convient pas ? Il échange ses amants comme on change la décoration d'une pièce, la tapisserie, et laissé son cœur s'habituer à ce que rien ne dure sinon la solitude. Impossible de faire sortir de ses veines ce penchant hérité d'une enfance chaotique, souvent livré à lui même, son seul repaire. Les autres deviennent des adversaires dont il doit se méfier, qu'il doit vaincre si il ne peut pas les dominer. Mais s'il y a une chose qui n'a pas changée au fil des années et des déceptions, c'est bien le budget qu'il alloue à cette forme d'intimité qui se monnaye. Arcturus n'est pas gêné de payer pour son plaisir, tout s'achète, il contribue au commerce, à nourrir une bouche affamée qui doit bien gagner sa croûte comme elle le peut. Ils vendent différentes parties d'eux même, dans son cas, pire que son corps qui n'est au final qu'une coquille, c'est sa morale qu'il leur offre sur un plateau d'argent. Rêve de podium et de postérité pour compenser le reste. Il n'est pas plus choquant à ses yeux de payer un partenaire pour la nuit qu'un tueur à gage pour une vie. L'hyperion est son phare dans la nuit, le guide de ses errances nocturnes. Chaque fois qu'il s'y rend, il privatise pour une nuit une chambre dans laquelle il enferme toutes ses frustrations. Une fois la porte franchie, il laisse disparaître le sourire commercial du quotidien. Rien ne sortira de cette pièce.

On lui a promit de la nouveauté et un joyaux rare, suffisant pour faire sortir le porte-monnaie et flamber la carte. Il s'est fait beau, a prit le temps de se raser même s'il est difficile de luter contre sa pilosité récalcitrante, il n'aura jamais le physique idéal. Brossé ses cheveux en arrière et arrangé les boucles qui s'enroulent de leur propre gré. Le rituel est le même depuis une éternité. Une touche de parfum, rien d’enivrant, déposé dans le creux de son cou et un dernier regard dans le miroir avant de se rendre à son rendez-vous. Chemise bariolée et costume, tout hurle l'opulence. Son pas est lourd quand il traverse le couloir. Quoi qu'il fasse, une pointe d'hésitation le dévore toujours dans son for intérieur. Il pense à tous ces gens qui écartent leurs cuisses contre leur gré pour des gens comme lui qui n'ont pas le temps ou la délicatesse de chercher des personnes qui le feraient sans l’appât du gain. Ce qu'il oublie bien vite une fois qu'il rencontre son partenaire. Celui qui lui ouvre le fait légèrement froncer des sourcils.

Il reconnaît un visage neuf quand il en voit un, surtout quand il s'y rend une fois par semaine. Une constante dans sa vie, une constante qui voit défiler des corps qu'il rattache à visages qui passent et s'effacent de sa mémoire. Il en oublie la moitié, les prénoms qui se murmurent, sursaute parfois dans la rue à l'écho d'une identité qu'il a pu effleurer. L'impression de toucher les mortels et la banalité cruelle de leur vie. Un quotidien qui ne lui manque pas, ramer pour conserver le peu de dignité que l'on possède. Et paradoxalement, il ne peut pas renier ce qui fait des racines. Tous est dans ses goûts. Ou presque. « Sympa le vert, ça va bien avec tes cheveux. C'est naturel ou c'est une teinture ? » Trop facile de rentrer immédiatement dans le jeu du client exigeant, il aura tout le temps de tyranniser son amant. Pour l'heure, il juge son accoutrement. Il choppe son menton entre ses doigts et plonge ses yeux dans les siens. Sonde la moindre émotion qu'il peut capturer. Ce qu'il y lit l'intrigue. Il n'y a aucune prétention, aucune assurance, pas spécialement de peur. Comme si ils étaient tous les aussi aussi curieux du déroulés des futurs événements. « Bon, heureusement que tu ne vas pas tarder à enlever tout ça. Quoique. Garde la brassière ça te va bien. » Enfin décidé répondre à sa première question, Arcturus le pousse pour rentrer dans la chambre et s'assoit sur le bord du lit. « Deux verres, je t'offre. » Il prend toujours les petits supplémentes. Sa manière à lui de faire une faveur et cela fait gagner de temps. Loin d'être cruel, il ressent la nervosité de son partenaire et lui accorde quelques minutes supplémentaires pour se mettre dans l'ambiance. L'autre n'a pas l'air de savoir qui il est. Le pilote est toujours aussi prétentieux, à croire que tout Naboo a entendu parlé de ses exploits. « Il y a quoi au menu ? » Moqueur et joueur surtout. Il veut qu'on lui vende du rêve.
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Message(#) Sujet: Re: The only way of loving me baby Is to pay a lovely fee - Arcturus The only way of loving me baby Is to pay a lovely fee - Arcturus EmptyMar 27 Oct - 0:09

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- Hypérion -


L’homme qui venait de d’entrer dans la chambre privatisée avait un visage qui ne lui était pas du tout inconnu. Tentant de se rappeler où il avait pu croiser cette jolie tête, Horion s’écarta du chemin et essaya de se diriger maladroitement vers le mini bar, toujours plutôt mal à l’aise d’être aussi dévêtu devant un parfait inconnu. Non pas que la nudité lui faisait honte, le temple Jedi n’est pas vraiment connu pour être un lieu intime où les douches communes sont légions. Mais cette situation est totalement différente de partager le soin de son corps après un entraînement. Non cette situation allait entraîner le genre d'intimité qu’Horion n’avait jamais vécu, mise à part seul. On ne compte évidemment pas les tâtonnements d’adolescents pour expérimenter un baiser maladroit derrière un buisson des jardins luxuriants de l’académie. Comment ça la fraternisation est interdite ? Les hormones ça travaillent beaucoup à cet âge...

- C’est naturel évidemment Monsieur...Sahleac ? C’était un pilote, un de ces pilotes particulièrement populaires pour leurs courses imprudentes et leurs frasques dans les magazines people en ligne. Horion devait avoir suivi une ou deux de ses accomplissements via l’holotube, non pas que les courses de speeders l’intéressaient particulièrement. Mais il y avait cet ancien camarade qui en était particulièrement fan et il a dû subir quelques soirées sportives, alors qu’il aurait bien mieux à faire comme étudier son doctorat en ingéniérie.

Brusquement, l’homme attrapa son menton entre ses doigts et Horion pu se plonger totalement dans les yeux de son futur partenaire de la soirée. “Il n’y a pas d’émotions, il y a la paix”. Son entraînement Jedi lui permit de garder sa nervosité bien au fond de son corps, les tremblements ayant cessé, il n'était pas question qu’il montre son inexpérience maintenant et ce client semblait déjà plutôt exigeant. Prenant cela pour un préliminaire de bas étage, il aurait personnellement apprécié une approche plus douce et romantique, mais il n’était pas là pour ses désirs personnels n’est-ce pas ? Non il était là pour satisfaire les désirs de cet homme qui semblait entrer directement dans le vif du sujet, comme il l’avait craint plus tôt. Il pouvait le faire, de toute façon il n’avait certainement pas le choix. Horion mentirait si ce pilote ne lui paraissait pas attrayant d’une certaine manière, brun, une peau hâlée, le visage moqueur, cela promettait des surprises à ne plus en pouvoir tout au long de la nuit. Prenant une grande respiration, Horion détourna les yeux de son interlocuteur et continua sa route vers le bar attenant au canapé. L’homme alla directement s’étendre sur le lit, non pas qu’il ne l’aura pas deviné.

- Vous ne souhaitez pas déchirer les bas vous-même Monsieur ? Ils ne sont pas si solides vous savez et je crains d'avoir de la difficulté à enlever tout cela moi-même. Horion tenta de prendre une voix enjôleuse, rauque, sexy, souhaitant se rendre plus attrayant que ce qu’il était tout en finissant sa phrase par un petit clin d’œil insolent. L'homme voulait jouer et Horion pouvait tout à fait participer à ce jeu de joute verbale si cela l'excitait, peut-être que cela l’excitait lui-même un peu également ?
Le jeune Jedi ouvrit le mini-bar, en sortant une liqueur exotique, venant directement de Mandalore, il semble que ce genre d’alcool pourrait tout à faire plaire à son client. Il se buvait avec un brin de sel et une touche de citron pour l’acidité. Servant le précieux liquide dans deux verres de shooters et organisant le tout sur un plateau d’argent cher, il se dirigea vers l’homme étendu, pressant son pas d’un balancement des hanches et posa le plateau à ses côtés, sur sa droite.

- Tequila Mandalorienne de l’année -2, je pense que cela pourra être à votre goût. J’imagine que vous devez savoir comment cela se boit ? Horion pris le bras de l’homme, déposant délicatement quelques pincées de sel sur la peau tendre de son poignet. Vous voyez ? Il faut tout d’abord lécher le sel, comme ceci. Horion se penche sensuellement vers l’autre, sortant sa langue rose et délicate. D’un mouvement habile, il aspira les quelques grains sur la peau du pilote, non sans laisser sa langue errer plus que nécessaire. De son autre main agile, il but le liquide cul sec, sentant la brûlure de la tequila descendre rapidement dans sa gorge étroite. Horion entreprit de placer nonchalamment la rondelle de citron entre les lèvres de son client. Se rapprochant davantage, glissant ses jambes de chaque côté des hanches du pilote, Horion s’installa confortablement, et se pencha en avant, à quelques centimètres de la bouche de son interlocuteur. Maintenant, il faut croquer le citron, pour pouvoir apprécier toute la saveur du liquide brûlant. Puis, continuant sa lancée, il attrapa délicatement la rondelle entre ses propres lèvres, effleurant celle d’Arcturus dans un mouvement qui se voulait sensuel, et croqua, laissant quelques giclées de liquide acide les asperger tous les deux. Il jeta le reste du fruit sur le plateau et remua sensuellement ses hanches sur celle de l’homme et laissa échapper un gémissement artificiel pour rendre l'atmosphère plus torride. "Il n'y a pas de passions, il y a la sérénité".

- Le menu est-il à votre goût Monsieur Sahleac ? Ou voulez-vous un aperçu avant de consommer davantage ?

Sans laisser le temps à l’homme de répondre, Horion descendit de ses hanches tout en remuant encore une fois pour effleurer sa virilité puis s’allongea de tout son long dans le lit. Les draps de satin se sentaient merveilleusement bien sur sa peau, c’était agréable. Rapprochant le plateau avec un de ses longues jambes fines et pâles, merci la dextérité de l'entraînement des Jedis, Horion entreprit de déposer quelques grains autour de son nombril. Cachant son visage dans un des oreillers bouffant, la nervosité commença à nouveau à se déployer dans tout son corps. Il savait qu’il jouait avec le feu, qu’il provoquait et qu’il le regretterait dans quelques minutes quand cet homme se jettera sur lui mais Horion avait peur que sa prestation ne soit pas assez chaude pour le client important. Des prostituées, il devait en avoir eu beaucoup, certainement plus belle et plus entreprenante que lui. Horion avait vraiment besoin de ce travail, de cet argent, il devait pouvoir manger demain, il n’avait pas le choix. La peur fit rater à son cœur quelques battement, alors qu’Horion retourna son visage rougit et ses yeux vitreux vers le pilote dangereux. L’alcool fort grisa légèrement ses sens, il aurait pu utiliser la Force pour le sevrer plus rapidement mais il se dit que cela lui donnera un peu plus de courage pour l’épreuve à venir.

- Alors, vous venez déguster ?


Dernière édition par Horion Kriss le Dim 24 Jan - 12:32, édité 1 fois
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Message(#) Sujet: Re: The only way of loving me baby Is to pay a lovely fee - Arcturus The only way of loving me baby Is to pay a lovely fee - Arcturus EmptyJeu 29 Oct - 22:50

Son visage s'illumine à la mention de son nom - qui n'est pas réellement le sien - l'autre rattrape sa bourde, remet son identité et lui évite d'avoir à le sermonner, lui rappeler à qui il parle. Son généreux client à qui il doit son gracieux salaire ce soir. Quel pourcentage touchera t-il ? Ce n'est pas le genre de du pilote de laisser ses pourboires, il laisse son empreinte sur leurs peaux et son autographe. Il a apprit avec le temps, réagir comme si c'était lui qu'on appelait et pas seulement un acteur qui joue son rôle à la perfection, se retenir de corriger la moindre personne et l'inviter à user de son prénom. Se tromper lui même pour mieux tromper son monde, parce que si il croit au mensonge, alors personne ne doutera de la véracité de ses paroles. Maintenant, lorsque que l'on fait des recherches sur Arcturus Sahleac, on tombe sur ses exploits, des dizaines d'articles qui relatent ses frasques, peignent le portrait d'un casse-cou indomptable. Mais si on regarde attentivement, il n'est pas bien difficile de réaliser qu'avant une certaine date, Arcturus Sahleac n'a jamais existé.
Tout simplement parce qu'il n'y a pas d'Arcturus Sahleac.

Il  s’humidifie les lèvres, incapable de détacher son regard du corps de l'homme qui lui parle, il peine à le regarder dans les yeux, fasciné par la pâleur de sa peau. Elle contraste avec son hâle, il meurt d'envie d'y glisser ses doigts et y apposer sa marque, noircir les cernes sous ses yeux en faisant couler son maquillage et rougir la délicatesse de son teint, le débaucher jusqu'à ce qu'il ne puisse même plus être capable de l'emmerder avec ses phrases trop longues, trop sophistiquées. Le pilote se sent d'humeur à brûler des étapes, mais lui n'est pas dans l'arrachage de vêtements. Il aime laisser ses mains s'égarer et cartographier les courbes de ses amants avant de venir goutter le fruit défendu, ce qui ne cache pas une once de romantisme, juste un besoin de contrôle. Arcturus n'aime pas être en terrain inconnu, toute l'assurance dont il se pare comme un bouclier n'est que le fruit d'un stratagème rondement mené qui lui demande de s'appliquer. Il a bien besoin d'un remontant pour ne pas faire glisser le masque, surtout quand les caresses appellent la fragilité au fond de son être, la part de lui qui n'a jamais voulu qu'une chose : être aime.  Il n'attend qu'une chose, laisser l'alcool brouiller ses sens et le plaisir remplacer toutes les autres émotions qui obscurcissent ses pensées. Il a besoin d'aide pour oublier, fermer les yeux et retrouver un cadre idyllique qu'il vient puiser dans le passé. Tant de fois il a imaginé d'autres personnes avec un amant entre ses cuisses. Il se demande qui viendra le hanter ce soir. Quelques fois, les fantômes restent derrière la porte, quand il est capable de profiter pleinement des prostitués. Peu lui font cet effet.

Il se montre docile et se laisse faire, bien que commentant la scène pour ne pas se retrouver simplement spectateur. Il lui est difficile de simplement profiter, sans la ramener. « Tu as choisi ça parce que j'ai l'air de venir de Mandalore ? » Si il savait. Il a bien grandi, l'enfant au visage tâché, aux ongles rongés, le miséreux condamné aux niveaux inférieurs. Coruscant est son plus grand cauchemar. Il rêve encore, il en garde intact le souvenir d'une vie dans l'obscurité, une vie de rat à chercher des yeux le sommet des gratte-ciels. Il n'attend aucune réponse de sa part de toute manière. On lui cloue littéralement le bec.  Quelque chose dans le tableau qui le dérange, mais il décide qu'après tout ce n'est pas son problème. Quand il cherche à sonder le regard de l'homme une seconde fois, il n'y lit rien de particulier, ce qui le met encore plus sur ses gardes au lieu de le rassurer. D'habitude, il peut voir les remords, la tristesse, un peu de luxure assurément. Il a payé pour la prestation et ne veut pas la juger sur les premières minutes, ce n'est qu'une mise en bouche. Arcturus ne sait pas être patient. Il se laisse prendre au jeu et la sensation fantôme des lèvres du rouquin flirtant avec les siennes le frustre suffisamment pour piquer au vif son attention.  Il en veut plus.

Repoussant à l'arrière de son crâne les pensées qui persistent à le mettre en alerte, c'est à son tour de grimper sur ses hanches, un sourire amusé sur ses lèvres qui effleurent la peau de son amant. « Quelle souplesse, ça promet. » Il trace sa ligne jusqu'à se retrouver nez à nez avec les grains de sel sur la peau fine de son ventre, ses mains de par et d'autre de la chair tendre. Il peut sentir ses muscles rouler sous son derme. L'élève s'applique, sa langue laisse une trace humide sur sa peau, s'attarde plus que nécessaire et descend bien en dessous de là où se trouvait le sel. Le pilote se redresse avec moins de dextérité pour prendre une tranche et citron et son shot. La brûlure de l'alcool vient incendier sa gorge, puis la sensation passe rapidement laissant place à la saveur d'un alcool bon marché. Il a connu mieux, possède dans sa cave des plus grands crus encore. Il ne critique pas, le personnel n'est pas responsable des goûts de la maison ou des siens, peut-être ne sait-il pas apprécier ce qu'on lui propose. Il repose la verre sans délicatesse, lassé de son apéritif. Il a besoin de plus fort, il sait exactement ce qu'il lui faut, son regard descend sur les lèvres pâles de l'autre et il fond sur la bouche de son partenaire, l'embrasse passionnément. Sur ce point, il admet avoir besoin d'un peu de tendresse, n'arrive pas à faire comme certains qui font leur affaire et se tirent aussi vite qu'ils sont arrivés. Sa joue effleure la sienne, il la sent brûlante contre la sienne, il en profite pour glisser ses doigts dans ses cheveux roux et les malmener. Ce n'est pas son meilleur baiser, il rencontre une résistance, il y a beaucoup de maladresse, mais l'espace d'un instant, il en oublie qu'il paye pour un service de luxe. Cela donne quelque chose d'authentique à la scène, il n'a pas seulement l'impression de coucher avec une poupée qui sait exactement ce qu'elle doit faire et gémit par intermittence. Ce qui est aussi déroutant, parce qu'il n'a pas eu de relation qui lui paraisse vraie depuis longtemps. A la recherche de pression, il voudrait se fondre dans le corps contre le sien et s'oublier totalement, ses hanches ondulent au rythme de sa respiration, histoire de faire savoir au professionnel de l'amour marchand que son petit scénario lui a plu. Il s'entend grogner de plaisir, lui qui n'est pas très vocal à l'ordinaire. Arcturus s'écarte pour reprendre son souffle, les yeux noirs de désir, l'alcool lui est monté directement à la tête, la fatigue multiplie les effets. « Quel est ton nom ? » Il n'a pas le souvenir qu'on lui a donné - peut-être veut-il l'entendre de sa bouche simplement. Qui est tu ? voudrait-il préciser, parce qu'il a maintenant la ferme intuition de ne pas être en face d'un professionnel. Comme toujours il se retient, condamne son empathie. « Je vais te dévorer. » Qu'il gronde, menaçant. Imposteur ou pas, une de ses mains s'invite entre eux.
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Message(#) Sujet: Re: The only way of loving me baby Is to pay a lovely fee - Arcturus The only way of loving me baby Is to pay a lovely fee - Arcturus EmptyDim 1 Nov - 20:56

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Il semble que le petit numéro d’Horion est plu à son client, à en juger par les émotions qui tourbillonnent autours du pilote connu et qu’il ressent à travers ses pouvoirs de Force. Non pas qu’il cherche particulièrement à creuser dans l’esprit de l’homme mais il n’est pas responsable des pensées fortes et superficielles qui ne sont pas cachées, il ne peut que les recevoir, indésirable ou non.

Le pilote se penche et Horion sent sa langue délicate qui effleure la peau chauffée de son ventre, il n’a jamais connu cela, il n’a pas l’habitude, c’est une sensation étrange qui le fait sursauter dans la minute. Il semble qu’il frissonne presque d’anticipation, il ne sait même pas s’il est excitait ou s’il a peur, un mélange des deux peut-être. La bouche se veut baladeuse et explorer des lieux qu’il n’a jamais osé montrer à personne, c’est enivrant, il ne peut empêcher un gémissement plaintif de s'échapper de ses lèvres, qu’ils referment immédiatement, les mordant avec force jusqu’à goûter son propre sang dans sa bouche. Simuler c’est une chose qu’il peut faire facilement bien qu’avec remord mais laisser entrevoir que cette échange lui plait, cela le rend honteux. Il ne veut pas offrir cette chose là à un client, un inconnu, il veut garder son plaisir pour une personne exceptionnelle, une personne qu’il aimera et avec qui il sera prêt à brûler toutes les étapes. C’est surement terriblement romantique mais aussi pathétique mais c’est ainsi qu’Horion est fait, il ne peut pas se changer.

Il entend le bruit sourd d’un verre que l’on abat sur un plateau et l’homme le regarde dangereusement, il semble qu’il pourrait presque le dévorer avec ses yeux. Horion se sent petit, dans l’inconnu, en insécurité, il ne peut empêcher la rougeur de s’étendre sur ses joues et sur son torse. Il veut prendre ses mains et les plaquer sur ses yeux, comme si se les cacher permettra à la situation de disparaître. Une légère peur finit par tournoyer dans ses iris, son contrôle absolu de jedi glisse au fur et à mesure sur la situation s’échauffe. Lhomme fond finalement sur ses lèvres, c’est presque comme une agression mais cela est agréablement doux, Horion l’aime et l’apprécie, il se surprend à se pencher dans ce toucher, voulant plus, voulant goûter, expérimenter, c’est agréable, il veut continuer.

- Je...pardon...ah...je suis...Ho...Horion. L’effet de ses hanches qui se glissent contre les siennes est une terrible tentation, un plaisir suggestif mais trop lent, pas assez fort, il en veut plus, il se penche, il répond davantage, ses mains s’agrippent sur les avants bras de l’homme encore vêtu. le visage rougit, l’air débauché, Horion doit faire un sacré spectacle, il veut reprendre ses lèvres, maintenant, se perdre dans l’oubli de ce qu’il est en train de faire. Il a toujours peur, il ne sait pas comment il va être manger mais l’homme brûlant semble bien décider à prendre d’assaut son corps et à lui faire découvrir des choses qu’il n’a jamais expérimenter. Puis il sent sa main, ses doigts sur sa virilité tendue, qui explore, il ne sait pas quoi faire, il ne sait plus penser, l’homme s’est jeté sur lui et Horion est prisonnier du désir qui l'assaille. Il devrait peut-être prendre la sienne à son tour mais il n’ose pas, il se sent perdu, il a peur de faire mal, d’être ridicule, c’est absurde, après tout il a choisi lui même de se donner et de se vendre. Pourtant son esprit s’éloigne dangereusement du désir, l’excitation disparaît petit à petit, l’homme doit le sentir, Horion a honte, il cache à nouveau son visage. Et puis, soudainement, il se relève et pousse l’autre homme, son corps tombant à ses côtés sur le matelas. Horion s’est assit au bord du lit, il se prend la tête dans ses mains, griffe ses cheveux et gémit de frustration.

- Je...je suis désolé. Putain...mais pourquoi je ne suis même pas capable de faire ça. Il tremble légèrement et sent des larmes s’écouler lentement sur des joues. Il ne sait même pas pourquoi, au fond se donner ne le dérange pas tant que ça. De plus l’homme est totalement son type, brun, musclé, intrépide, dans un autre endroit, un autre moment, il aurait pu tout à fait accepter un verre et aller dans sa chambre. Mais là, comme ça, de l’argent en jeu, il se sent sous pression, il sent qu’il doit performer et il sait qu’il n’est pas prêt à se donner autant en spectacle, malgré les tentatives de toute à l’heure. C’est trop faux, il aurait préféré que l’homme ne tente pas de lui faire plaisir, le retourne et prend ce pourquoi il était venu. Cette sensibilité le touche en profondeur. Il voyait les clients comme de pauvres hommes violents, brutalisant des prostitués, et ces idéaux se sont effondrés. En fait, ils sont justes parfois des âmes seules, à la recherche d’un peu d’amour et de tendresse superficiel, comme lui.

- Je suis vraiment désolé Monsieur, je...je n’ai jamais fait ça avant. Il tousse. Je veux dire, c’est la première fois que...je...me vends. Il se livre. En fait...je ne suis pas tout à faite honnête...mais c’est la première fois tout cours...que je suis face à ce genre de situations impliquant deux corps nus. Il a honte. Je suis gay. Il ajoute. J’imagine que vous voulez surement un remboursement ? Il questionne.

- Vous devez me trouver pathétique n’est-ce pas ? Pauvre petite pute qui ne sait pas même faire son travail. Pourtant...vous me faites envie...monsieur. Le contraire aurait été plus simple...monsieur. Il se sent d’humeur formel pour se détacher de l’atmosphère gênante.

Il regarde intensément l’autre homme, cherchant à jauger sa réaction, il tremble toujours un peu mais les larmes ont cessé. Il sent le désir remonter, il se sent toujours honteux de s'être effondré. C’est sûr que la maquerelle ne va pas renouveler son contrat et le virer, pourtant il en pas besoin, il faut bien manger, se loger. Il ne veut plus le froid, la sensation qui tiraille dans son estomac. Et puis, il veut sauter le pas, connaître ça, maintenant.


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Message(#) Sujet: Re: The only way of loving me baby Is to pay a lovely fee - Arcturus The only way of loving me baby Is to pay a lovely fee - Arcturus EmptyMar 3 Nov - 23:09


Horion.
Horion n'embrasse pas comme une pute, il peut presque goûter les émotions au bord de ses lèvres tant elles débordent, elles le dépassent. Ça les dépasse touts les deux. La fine barrière qui est sensée rester en place entre le client et celui qui offre le service s'est brisée. Il le touche comme si il l'aimait vraiment, ses réactions positives lui donnent l'élan pour y aller toujours plus fort, toujours plus passionné. Putain. Il a envie de lui faire l'amour, de le faire languir toute la nuit et le maintenir au bord de l'extase jusqu'à ce qu'il en ait assez. Vampiriser toute cette beauté, tout ce désir qu'il inspire, cette renaissance qu'il attend entre ses bras. Il revoit le sourire narquois de la maquerelle. Est-ce que c'est ça qu'elle sous-entendait ? Elle a déniché la perle rare, celle qui vous donne envie de quitter votre famille pour entretenir une relation hors des dogmes et de la morale. Il est sensé ne pas avoir de le ramener avec lui ce soir, le laisser à la merci des autres. Et pourtant, il ne s'est jamais senti autant en sécurité entre les mains d'un étranger, pauvre cliché du type tellement seul qu'il paye pour se faire aimer. Qu'il finit par sombrer pour cette illusion aux ficelles bien tirées. C'est terriblement addictif, maladroit et imparfait et c'est tout ce dont il a besoin, il en veut toujours plus. Il se sent devenir fou, ne veut jamais que cela s'arrête. Il est trop bien là, la moiteur de la chambre, la friction délicieuse de son corps contre le sien. Arcturus s'entend soupirer de plaisir, perdre son souffle, vouloir aller plus vite que la musique. Il sourit contre ses lèvres avant de réclamer plus de contact. C'est tellement bon. Cela fait longtemps qu'il n'a pas embrassé comme ça, avec un véritable désir. Arcturus ne sait pas ce qu'il lui arrive, mais il prend la chose telle qu'elle vient, il ne veut pas se sentir coupable d'aimer ce qui est en train de se passer. C'est le but de cet endroit, c'est pour ça qu'il paye. Il est étrange de se poser des questions à cet instant, d'avoir l'impression de prendre quelque chose qui ne lui est pas destiné. Il n'a pas le temps de lui ordonner de le déshabiller avant qu'il n'étouffe. Un instant tout est magique, et celui d'après le rêve vole en éclat.

Il se retrouve allongé sur le matelas à fixer le plafond, le goût des lèvres d'Horion qui disparaît petit à petit de ses lèvres ne lui laissant aucune miette. Aucun souvenir. Son coeur bat la chamade, sa poitrine se soulève à un rythme effrénée. Arcturus pose une main sur son front et dégage ses cheveux humides de sueurs, il reste dans cette position pendant des longues secondes. Rien de précis qui lui traverse l'esprit, des souvenirs de ses relations passées, des images de ce qu'ils auraient pu faire. A coté de lui, Horion parle, mais il n'est pas certains de comprendre. Il comprend très bien, il n'a pas envie d'admettre les choses. Il ne voulait pas que ça s'arrête, jamais. Cela devait durer éternellement, jusqu'à l'orgasme, jusqu’à ce qu'il soit exténué, jusqu’à ce qu'il perde son intérêt, généralement au réveil. Une fois satisfait, une fois qu'il a pu prendre ce qu'il y avait à prendre. C'était si bien parti, il est en colère contre l'autre, en colère contre lui-même, en colère contre la patronne, contre le monde entier. Il serre les dents et réprime sa rage. Il entend l'autre pleurer et quelque chose se rompt à l'intérieur de lui. Ce n'est pas sensé l'attendrir. Il sait qu'elles sont sincères. Parce que tout était sincère dans ce qui vient de se passer, ce n'était pas un numéro. Le coup de la tequila, peut-être. Le reste, c'était lui. Pas son personnage. Lui. Horion. Arcturus parie que c'est son véritable prénom, qu'il ne se cache même pas derrière un pseudonyme exotique. Il inspire. « Je m'appelle Arcturus. » Il expire, se redresse et vient s’asseoir à coté de lui.

Merde. Il n'est pas doué pour ça, pour le speech rassurant, pour être l'amant attendrit et rassurant. Ce n'est pas le moment pour poser une main rassurante sur sa cuisse, le prendre dans ses bras, embrasser sa nuque et lui promettre qu'il fera disparaître ce mal-être de ses doigts experts. Il n'a pas signé pour ça, il a signé pour le baiser. Ça rentre, ça sort, c'est pourtant simple.  Pourquoi ça doit toujours être compliqué ? Pourquoi ça tombe sur lui ? Il y a quelques années de cela, il aurait demandé son foutu remboursement, ou il aurait tenté d'obtenir ce qu'il voulait par la force si il le fallait. Si il n'avait pas été humain, juste un androïde dépourvu d'émotions, il n'aurait pas hésité une seconde à prendre son dû. Alors qu'est-ce qui a changé ? Ce n'est pas la première pute avec laquelle il couche, pas la dernière. Ce n'est pas la première personne qui refuse. Ce n'est pas la première personne qui a besoin d'argent. Il n'est pas le roi des mendiants, le grand bienfaiteur de Theed qui vient en aide aux démunis. Le roux savait dans quoi il s'engageait en venant travailler aussi. Que s'imaginait-il ? « Ok t'es en train de me dire que t'es vierge c'est ça ? » Il se mord la lèvre inférieure. Pour la délicatesse, on y repassera, en même temps, il est déjà poli d'essayer de le calmer. Il caresse son dos dans un rythme régulier, l'air de lui intimer d'y calquer sa respiration. « Est-ce que ton employeur le sait ou tu pensais pouvoir t'en sortir comme ça ? »

Ce n'est pas anodin, une première fois. Arcturus ne va pas lui faire croire qu'est magique, même si pour lui, c'était tout comme. Et toutes celles qui ont suivi après, parce qu'il était amoureux, et ça tout l'argent du monde ne peut l'acheter. N'a t-il pas écouté ses parents - si il en a eu ? On réserve toute sa vie ce moment pour quelqu'un qui en vaut la peine. Même si dans la réalité, elle finira par partir comme toutes les autres. Le pilote l'a fait fuir avant que le couperet tombe. Il ne veut plus porter cette responsabilité sur ses épaules. Il est un poison, ce qu'il touche, il l'abîme. Il le détruit. Et ce n'est pas juste pour Horion, mais c'est ce qu'il doit faire si il veut être payé. Une part d'Arcturus ne veut pas abandonner, parce ces yeux, il veut imprimer dans sa rétine le moment exact où ils s'abandonnent. « Alors on fait quoi ? » Froid, mais pratique. Ce n'est pas le moment de verser dans les sentiments. Lui montrer son trouble n'aidera pas. Du revers de la main, il vient essayer ses larmes. « On arrête là ? » Si il ne veut pas, Arcturus partira. Il ne demandera rien, il disparaître dans la nuit comme un fantôme, comme si il n'avait jamais existé. Ne restera que la marque de ses dents sur la peau albâtre de son amant d'une nuit. Demain un autre viendra et aura moins de patience que lui. Un jour où l'autre, il devra écarter les cuisses. « Qu'est-ce que tu veux ? » Il gronde. L'engueule. « Tu t'es pas dit une seconde que ça poserait problème, de se prostituer et pas vouloir baiser ? » Et puis, il a ce sourire narquois sur les lèvres. Celui qui veut dire qu'il a une idée derrière la tête. « Mais je te plais... » Un constat, qui gonfle son ego. C'est encore mieux que ce qu'il imaginait. Ils ont tous les deux envie l'un de l'autre. Ce n'est pas professionnel. Ils peuvent toujours inverser les rôles. Arcturus n'est pas contre, ça ne va pas l'empêcher de prendre son pied. « Alors, qu'est-ce qui te retient ? Tu peux m'avoir. » Ce n'est que du plaisir.
Horion, qu'est-ce que tu veux ?
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Message(#) Sujet: Re: The only way of loving me baby Is to pay a lovely fee - Arcturus The only way of loving me baby Is to pay a lovely fee - Arcturus EmptyMar 10 Nov - 23:52

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- Arcturus, murmure le jedi. C’est un joli prénom. J’imagine qu’à ce stade on peut se tutoyer n’est-ce pas ?

Horion tremblait toujours un peu, tentant de se reprendre, de ne pas laisser ses émotions lui échapper davantage. Il n’osait pas lever le regard vers cet homme, ce client avec qui il ressentait pourtant une émotion particulière. Ce n’était pas censé être comme ça, il devait juste prendre ce qu’il voulait et se casser. Pourtant Horion était soulagé que l’homme ne tente pas pour l’instant de lui arracher ce pourquoi il avait payé. A vrai dire, il se réjouit un peu de sa chance, car il ne l’aurait pas à chaque fois. Il allait devoir apprendre à faire face, il avait choisi de faire ce putain de travail. Parce que c’était de l’argent qui était censé être facile bordel, pourquoi il n’y arrivait pas ? Lui et ses stupides idées romantiques, cela finirait par le faire tuer un jour, il le savait.

- Je vois tu es perspicace...bien sûr qu’elle le sait, pourquoi tu crois qu’elle m’a appelé son petit joyau rare ? C’est forcément plus cher, pour ce genre de chose, tu as du bien t’en douter en sortant le porte monnaie non ?

La voix du Jedi était colérique, sarcastique. Le ton que prenait la discussion ne lui plaisait pas du tout. Tout le monde n’avait pas eu la chance de vivre une vie libre et florissante en expérience. Le code Jedi était bien trop stricte pour se laisser aller à ce genre de plaisir. Bien que certains de ses camarades rompent régulièrement les règles, Horion avait sans cesse tout fait pour en être le plus proche possible. Le gentil petit jedi parfait qui écoute ses Maîtres. Et à quoi cela l’avait mené aujourd’hui ? A rien d'autre que la fuite et la misère. A une vie difficile, parce qu’il n’avait pas su abandonner la lumière, faire le choix de l’impossible. Non de toute façon il ne pouvait pas être favorable à un tel régime impérial. Il n’avait pas signé pour ça quand il avait été fait chevalier. Il avait signé pour la paix, pour aider les autres, pas pour le pouvoir et la destruction.

- Je...je ne sais pas... NON... je ne veux pas arrêter. Le jeune Jedi était perdu. Son regard se tourna à nouveau vers l’homme dont il avait goûté les lèvres quelques minutes plus tôt. Il pouvait encore le sentir sur sa peau, dans sa bouche. Force...aidez-moi, le désir lui revient en flèche. Il ne pouvait pas gérer cette ambivalence sans précédant qui ne cessait de tourner dans son stupide cerveau. Arcturus avait raison, il avait un problème s’il ne pouvait pas se faire baiser alors qu’il avait clairement passé un marché. Lui qui avait pensé que cela ne serait qu’une simple formalité. Sa main se tendit légèrement vers le visage de l’homme qu'il effleura lentement, d’un geste doux, les doigts légèrement tremblants, comme si un fil le retenait mais qu’il n’allait pas tarder à se rompre définitivement. Il se sentait au bord du précipice, il n’avait juste qu’à sauter à pied joint. Laisser parler ses instincts, son corps, son désir fugace qui ne cessait de grandir. Horion avait chaud, il sentait clairement ses joues et son torse se colorer quand l’homme lui fit des propositions indécentes. Lui, le prendre ? Il ne savait même pas comment ça marchait, enfin bien sûr qu’il le savait, mais prendre les devant ? Non c’était trop de pressions, c’était bien plus facile d’écarter les cuisses et de se laisser aller.

- Oui...putain oui tu me plais c’est ça que tu veux entendre ? Horion crie, il s’énerve, il devient impulsif, cela ne lui ressemble pas, l'homme habituellement calme.Force...si seulement c’était si simple, tout une vie j’ai écouté ce putain de fichu code et maintenant je dois renoncer à tout mes principes ? C’est ça le problème, j’en ai envie…c'est...c'est contre tout ce que j'ai appris.

Soudainement Horion se lève et fait face à l’homme sur le lit, l’air beaucoup plus déterminé cette fois. Il n'a même pas fait gaffe qu'il a laissé passé des informations capitales, des informations qui pourraient très clairement lui couter la vie. Il n'en a pas conscience, tellement pris dans le dédale émotionnel qui faisait rage dans sa tête et dans son cœur. Il n'y avait plus qu'à espérer que l'homme n'en fera pas un mauvais usage et ne le vendrait pas pour plus à l'Empire. Sinon, il était un homme mort.

Sans réfléchir davantage, Horion fait descendre sur ses hanches le sous-vêtement en dentelle qui cachait clairement sa virilité à moitié tendue, le jetant négligemment dans un coin de la pièce. Puis, comme si rien ne s’était passé, il grimpe sur le lit et s'assoit à nouveau sur les hanches du pilote célèbre, prenant son visage entre ses doigts.

- Non...c’est toi qui m’aura, je ne sais pas comment faire. Ses lèvres se posent à nouveau sur les siennes, dans un baiser plus dur, plus fougueux alors qu’Horion goutte clairement le pilote avec sa langue, balayant sa lèvre inférieur, quémandant l'entrée, voulant jouer avec lui. Il passe ses bras autour du cou d’Arcturus, se pressant davantage contre lui, appréciant la chaleur de leur deux corps pressés l’un contre l’autre. C’est agréable, ça fait du bien, il sent une chaleur étrange qui fleurit petit à petit dans son ventre. Il se sent un peu plus en confiance mais est toujours inquiet pour la suite à venir. Cependant, il fait désormais confiance au pilote pour l’amener délicatement, au moins au début. Il aurait très bien pu arracher tout de lui plus tôt mais il avait cherché à le comprendre. Même si ses mots manquaient de tact. Arcturus semblait être le genre de personne à qui on n'avait jamais rien refusé, cependant, il avait quand même pris un peu de son temps pour Horion.

- Juste...s’il te plait, sois doux au début. Je...je le veux. Juste...laisse moi...laisse moi comprendre. Les mots étaient chuchotés alors que leurs front reposaient l’un contre l’autre, c’était doux, c’était presque sentimental. Peut-être qu’Horion pouvait imaginer qu’Arcturus était un amant de longue date qu’il retrouvait ? Cela serait-il plus facile ? Plus simple ? Non en vrai il n’en avait même pas besoin, il le sentait dans la Force, il pouvait lui faire confiance.


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Message(#) Sujet: Re: The only way of loving me baby Is to pay a lovely fee - Arcturus The only way of loving me baby Is to pay a lovely fee - Arcturus EmptyVen 13 Nov - 22:23

Il aurait du s'en douteur, mais il ne fait pas attention à ses dépenses. Le problème quand on a beaucoup d'argent, c'est qu'on fini par en perdre la notion et vivre déconnecté, dans un monde où ce qui paraît hors de prix pour les autres est un quotidien auquel on est habitué. Ce n'est pas une source inépuisable, cependant ce sont les seuls loisirs qu'il s'autorise et comparé aux folies d'autres millionnaires de son genre, aller aux putes une fois par semaine n'est pas une excentricité. Alors non, il ne s'est pas préoccupé du prix, c'est à peine s'il se souvient exactement de la somme qu'il a déboursé, il a juste passé sa carte et souhaité une bonne soirée à la maquerelle. Une augmentation trouve toujours son explication dans les petits détails, des roux par exemple ce n'est pas souvent qu'on croise, et en fonction des espèces la nuit est plus ou moins onéreuse. Un véritable business auquel il ne s'intéresse pas, ce n'est pas cette partie qui le passionne. Si Arcturus avait voulu travailler dans les finances, il se serait orienté par là, hors il est un pilote. Il sait aller d'un point A à un point B en suivant une route prédéfinie, faire du danger son carburant. Il est prétentieux, sans peur, pleins de reproches, sauf que les gens aiment détester leurs idoles. C'est ce qui fait parler.  C+e qui crée la surprise. Les surprises qui n'en sont pas, puisque à l'hippodrome, il ne s'agit que de poudre au yeux, des issues déterminées d'avance. Arcturus n'aime pas les surprises. Encore moins quand elle sont mauvaises. Ce n'est même pas le peine de se donner la peine de lui en faire une. Il grogne, coupable de ne pas avoir prêté attention au discours de la supérieure d'Horion. En même temps, elle ne s'est pas montré très explicite sur le joyau. Quoi. Il s'attendait littéralement à un alien en émeraude peut-être ? Est-ce que ça existe des êtres dont la peau est totalement constituée de pierres précieuses.

Il commence à changer de sujet mentalement, s'éloigner de son principal soucis. Le prestataire semble réfléchir à voix haute, si il va tenter le coup ou se dégonfler. Arcturus ne le regarde plus, soupire et se demande ce qu'il fait encore là, il n'est pas trop tard pour prétexter qu'il n'est plus attiré et aller tirer son coup ailleurs, avec quelqu'un de point compliqué et sensible. C'est ce qu'il recherche à la base, l'absence totale de sentiments, juste du plaisir. Ce qu'il ne peut pas faire tout seul. Quand il l'entend parler du code, Arcturus se fige. Il peut entendre son coeur battre la chamade dans sa poitrine tant il s'affole. Parce qu'il sait très bien de quoi l'autre parle, même si il ne devrait pas en savoir autant. Ce qui implique de nombreuses choses. C'est le fameux code que Kael aurait du suivre, celui qu'il a renié pour être avec lui. Il n'a pas envie de penser à Kael maintenant, il pensait avoir repoussé ces pensées le plus loin possible. Il comprend un peu mieux la situation. Le type doit être un Jedi, ce qui explique pourquoi il n'a pas d'autre choix que de se vendre, sans doute qu'il est dans la merde à cause de sa situation. Depuis la fin de la guerre, ils ont tous été exterminés ou font grossir les rangs de Siths. Arcturus ne sait même pas si son ex-mari est vivant, s'il se porte bien. Tout comme Mara, il ne l'imagine pas avoir retourné sa veste, trop droit pour ça. Le traître dans leur histoire, c'est lui. C'était plus fort que lui. Lorsqu'ils se sont quittés, le bruit qu'à fait leur affaire à détruit leur vie à tous les deux. Sauf que pour Arcturus, coucher avec un Jedi est moins pire que pour le Jedi qui couche avec le pilote. Pourtant il faut être deux pour former un couple. C'est injuste que les retombés n'aient pas été aussi dramatiques. Peut-être aurait-il mérité de souffrir bien plus que l'autre. Il est celui qui a trompé, celui qui s'en sort avec le beau rôle. Il le paye ce soir sans doute. En compagnie d'un homme qui n'est pas là où il devrait, dans une situation qui lui est totalement inconnue. Se savoir désiré au moins un peu lui booste l'égo.

Sa curiosité piquée à vif quand l'autre se recule pour défaire ses vêtements - le peu qu'il restait. Il a fait son choix, donc.  Arcturus se fiche qu'il soit un ex Jedi. Ou qu'il soit un Sith. Ça ne change pas grand chose. Il a du mal à le regarder dans les yeux maintenant. Lorsqu'il s'arrache à la vue, plutôt agréable, c'est pour fermer les yeux se retrouver la sensation du baiser.  Il le capture dans ses bras pour l'empêcher de s'enfuir cette fois. « Shh ... It's just love. » Tentative de le rassurer. Ce n'est pas son rôle, mais ça ne lui coûte rien de lui apprendre qu'il ne va pas en mourir. C'est juste un échange de procédés. Quel code empêche les gens de s'aimer ? Surtout si ça n'engage aucune relation. Le vrai danger, c'est quand on s'attache, mais il y a de fortes chances que ce soient les frustrés qui ressent le besoin de trouver du réconfort aux creux des ténèbres. Peut-être qu'il n'y aurait plus de sith si il les laissaient tirer leur coup de temps en temps. C'est connu pour détendre, Arcturus a toujours préféré ça à la méditation. Il a essayé de faire Kael, mais même lui semblait d'accord avec lui... Il a plus de chances d'apprécier, si en plus il est attiré, il en verra qui ne seront pas aussi beaux que lui, qui n'auront pas ses cicatrices non plus. « On va faire un truc. Tu me dis si tu n'aimes pas et j'arrête. Le reste je penses que je saurais assez vite.   » Il le nargue. Il a cru comprendre que son partenaire a aimé ça lorsqu'ils ont commencé et ne se gêne pas pour l'embrasser comme il l'aurait fait avec un de ses amants réguliers. Arcturus aime les baisers aussi. Il aime le sexe. Mais un peu d'intimité, de caresses, ça ne fait pas de mal. Il n'a plus l'habitude simplement, parce qu'on ne prend pas le temps en général.  

Il doit s'habituer à un contact qui ne soit pas sa propre main sur son corps. Arcturus reprend ses caresses qui quittent son dos pour remonter le long de ses cuisses. Il tente de repousser les visions du passé qui lui reviennent. Toutes ses nuits où il savait encore comment aimer quelqu'un. Ces derniers temps, il ne prends plus le temps de rien. « Bon j'imagine que tu as déjà vu des films, y a forcément des trucs qui devaient t'exciter plus que d'autre hum ? » Il souffle entre eux deux, comme un secret. « Je vais pas tout faire tout seul, il va falloir que tu m'aides. La douceur c'est pas vraiment mon truc. » Il ne sait pas, le pauvre, que son truc c'est la destruction. Il lui arrive de rechercher du plaisir dans la douleur, dans les sensations les plus extrêmes. Il s'est habitué aux choses à force, au point d'y être hermétique. Pourquoi est-ce qu'il s'acharne ? Il sortira sans doute peu satisfait ce soir ?  
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Message(#) Sujet: Re: The only way of loving me baby Is to pay a lovely fee - Arcturus The only way of loving me baby Is to pay a lovely fee - Arcturus EmptyMer 18 Nov - 21:12

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Horion se penche délicatement dans le touché du pilote, appréciant la chaleur de leurs deux corps, l’étreinte qui se resserre comme si l’homme ne voulait pas le laisser partir. Il ferme les yeux, le gouttant toujours sur ses lèvres, laissant les baisers l’envahir, comme si Arcturus était un amant de longue date, qu’ils se rencontrent régulièrement. C’était agréable. Mais ce n’était pas de l’amour. Non. Moins que cela. L’amour était une chose importante pour le Jedi, une chose qu’il n’avait jamais vécu jusqu’à maintenant mais qu’il avait idéalisé, à force de lire des holobook romantiques. Certains diraient qu’il est stupide, que l’amour ça fait mal, c’est interdit, c’est difficile. Pourtant malgré sa discipline envers le Code Jedi, Horion a toujours pensé que ce n’était pas l’amour qui est interdit, mais l’attachement derrière, la possession, la possibilité de tomber dans les ténèbres. L’amour se doit d’être désintéressé, universel, il se doit d’être donné à un maximum de personnes qui en ont besoin. L’amour c’est de tendre la main au plus démuni, le sourire d’un enfant quand il regarde sa mère, une douce caresse à son petit ami, la promesse de ne jamais lui faire du mal, de toujours être à son côté, même quand la vie devient difficile. C’est de faire passer sa vie de Jedi avant, se sacrifier et voir l’autre comprendre. C’est tout un tas de choses, parfois petites, d’autres grandes, qu’Horion sait qu’il vivra un jour, il le sent dans son cœur, dans son âme, mais pas aujourd’hui.

- Non, c’est juste du désir, pas de l’amour. Du désir oui, le mot est bon, exact. Le désir de se connecter à l’autre, de s’oublier soi-même dans les méandres du plaisir, de faire confiance avec son corps mais aussi avec son cœur, de se montrer vulnérable, d’offrir un peu de lui. De se donner mutuellement, de se faire plaisir ensemble. C’est juste du sexe, bien que se soit un acte intime, ce n’est certainement pas de l’amour. Horion se sacrifiera jamais sa vie pour le pilote dont il a parfois entendu le nom se murmurer lors d’échanges de commérages. Il ne connaît pas l’homme, juste le tableau qui est montré de lui-même dans les holonews. Un rôle, un rôle qu’il joue, dans lequel il se cache. Le Jedi peut sentir que l’homme est plus que ça, qu’il a un passé difficile, la souffrance transperce dans sa voix et il ne s’en rend pas compte. Cela donne envie à Horion de faire son devoir, de faire oublier l’homme le temps d’une nuit. C’est pour ça que les gens payent en fait non ? Pour évacuer le stress, les souvenirs, se perdre dans l’oubli avant de revêtir son masque. Parce que la vie c’est toujours ça, les gens se cachent, se camouflent et ne montrent jamais ce qu’ils ont peur de s’avouer. Horion peut parfois lui-même se reconnaître dans cette description, parce qu’aujourd’hui il ne peut plus se montrer en tant que Jedi. Mais un jour, quand il aura la force, quand il aura fait son deuil des pertes, il se reconnectera à lui-même, mais pas aujourd’hui. Aujourd’hui, il va seulement tenter d’aider un homme désespéré à retrouver un peu de chaleur. Et cela lui va finalement, parce qu’il a trouvé un but dans cet acte, dans le fait de se vendre. Ce n’est finalement pas juste pour l’argent. C’est une manière de faire du bien, d’aider, de soutenir.

- Bien, cela me semble être convenable. J’apprécie ta retenue, je dois dire que je sens bien que tu t’attendais à autre chose. Mais j’ai compris Arcturus, j’ai compris ce que tu fais ici. Laisse-toi aller, je ne suis pas en sucre, même si j’ai craqué plus tôt. Considère que ce moment de faiblesse était juste un moyen de rassembler mes pensées face à l’inconnu. Un vieux sage a dit un jour, fais ou ne fais pas, il n’y a pas d’essai. Alors j’ai choisi de plonger.

Les frissons retentissent à nouveau le long du corps du Jedi, alors qu’il se bouge sur les hanches de son partenaire, appréciant la friction frivole et agréable que le frottement contre le tissu du pilote leur procure à tous les deux. Il sent les mains caresser lentement sa peau, puis agripper ses douces cuisses pâles. Il aime, il apprécie les sensations que cela lui procure. Il n’a plus peur, Horion est prêt à sauter le pas. Il a un peu honte de son moment de faiblesse plus tôt. Il a eu de la chance de tomber sur cet homme qui prend le temps. Il aurait très bien pu se faire virer de l’établissement, et même s’il n’envisage pas d’en faire sa principale source d’argent, il pense qu’il en a besoin, au moins une fois chaque semaine, voire deux. Car les Primes qu’il accepte ne paye pas tant que ça, il y a des choses qu’il refusera toujours de faire, comme tromper les autres ou tuer sur commande. Il vole parfois, mais il vole toujours des personnes qu’il pense mériter. Cette pensée est dangereuse car il n’est pas là pour faire justice mais dans un monde ravagé par la guerre, la justice n’existe plus vraiment. Alors Horion fera ce qu’il croit être juste, ce qu’il a appris, et cela lui permet de survivre un peu. Avant d’être prêt à rejoindre les siens qui luttent déjà et forment une rébellion. L’espoir a besoin de ses héros, bientôt Horion les rejoindra.

- Pourtant je dois dire que c’est agréable de te voir faire tout le travail, Pilote. Horion lâche un rire léger aux oreilles de l’homme, se sentant devenir d’humeur taquine. Il sent qu’il apprécie ce genre de joute verbale. L’humour, rien de mieux pour dédramatiser une situation malaisante qui a mal commencé. Il peut l’utiliser à son avantage. Oui, il y a certainement des choses que j’ai vu faire et que j’ai toujours voulu essayer, lui murmure le Jedi d’une voix allumeuse. Sa bouche parcourt sa mâchoire, sa nuque et descend progressivement le long de son torse, qu’il déshabille avec passion, avec envie, d’une main légèrement tremblante et peu sur. C’est la première fois qu’il touche si prêt un homme nu. C’est enivrant mais c’est l’inconnu. Sa bouche s’arrête alors qu’il débarrasse l’homme du reste de ses vêtements, appréciant pour la première fois de voir enfin ce corps dans son plus simple appareil. Il a un regard appréciateur, c’est beau, c’est plutôt chaud, l’homme sent bon, Horion aime. Il tente quelque chose, un acte qu’il a vu plusieurs fois et dont nombreux de ses fantasmes ont aidé sa main quand il était seul, dans ses quartiers au temple. C’est surprenant mais Horion aime la sensation sur le bout de sa langue. Il sent l’homme apprécier, il devient plus enthousiaste, testant des choses par lui-même. Après tout, il peut prendre ça comme une expérience inédite. Pour s’améliorer, il faut apprendre, il faut tester.

- Je ne suis pas en sucre tu sais, tu peux y aller Pilote. Horion prend les mains de l’homme alors qu’il continue ses douces caresses, et les glissent dans ses cheveux, tirant légèrement sur ses mèches cuivrées avec elles, pour montrer à l’autre qu’il apprécie aussi un peu de fougue.


Dernière édition par Horion Kriss le Dim 24 Jan - 12:35, édité 1 fois
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Message(#) Sujet: Re: The only way of loving me baby Is to pay a lovely fee - Arcturus The only way of loving me baby Is to pay a lovely fee - Arcturus EmptyMer 25 Nov - 11:46


tw: contenu explicite


C’est à n’y plus rien comprendre, ce revirement de situation qui ne lui donne pas plus d’indiactions sur quel pied il doit danser avec le Jedi – maintenant qu’il l’a identifié comme tel. En même temps, il n’y a pas grand-chose à comprendre de cette situation. Les réponses se trouvent dans les sensations, il ne paye pas quelqu’un à l’Hypérion pour le pousser à la réflexion. Ce qu’il recherche, c’est oublier, s’oublier, lâcher prise sur le présent. Il ne demande pas grand-chose, il est prêt à revoir ses attentes. Horion croit comprendre, mais il ne sait rien. Et Arcturus croit comprendre ce qu’il ressent, balancé dans l’inconnu. Sans doute fait à l’idée que le client sur lequel il tomberait ne lui laisserait pas le choix, n’aurait pas la délicatesse de lui offrir la possibilité d’un simple « non ». Ce n’est pas l’homme que veut être le pilote. Il ne peut changer ses actions passées, les comportements ignobles dont il a pu faire preuve. Sans doute tente t-il de se racheter en lui faisant profiter de tout ce dont il a privé tant d’autres. Il ne veut plus de larmes.

« Laisse le vieux sage où il est veux-tu ? Ce n’est pas l’image mentale que j’ai envie d’avoir. » A moitié accusateur, à moitié amusé, incapable de lui en vouloir plus longtemps de se raccrocher aux préceptes qui guident sa vie et en fond un cocon rassurant. Lui n’a pas morale à laquelle se raccrocher quand il est dans les ténèbres, il tâtonne, espère qu’il fait de son mieux et se trompe souvent. Ses intentions ne sont jamais pures. Les Jedi et leurs morales à deux balles, il en sait quelque chose. Il regrette d’avoir été idiot à une époque, de ne pas y avoir prêté attention.   « Ca en revanche…. » Dit-il, alors qu’il le regarde descendre en bras et se glisser entre ses cuisses. C’est tout de suite quelque chose qui l’excite plus. Arcturus met en peu plus de temps à se détendre, anticipant les gestes d’Horion. Puis il se rassure en se disant qu’il n’est pas non plus en train de se faire sucer par un Sarlac, jusqu’à preuve du contraire, Horion est conscient de ne pas être une star de l’holoporn, et il ne possède pas de crocs et se montre raisonnable dans ses expérimentations. Arcturus n’est pas en sucre non, il tient à ne pas devoir remplacer une autre partie de sa corps.

Abandonner son contrôle lui demande plus d’efforts qu’il ne l’imaginait, surtout que ne s’attendait pas à se retrouver dans cette dynamique. Il y a des personnes avec qui il se laisse faire comme un simple jouet, mais cela demande une confiance envers l’autre. Ou de l’inconscience. Il aime être celui qui dirige et se gifle mentalement d’avoir proposé à Horion de prendre les devants si c’est nécessaire pour le mettre à l’aise. C’est lui maintenant qui est en proie aux doutes et qui se trouve à trop réfléchir, se poser beaucoup trop de questions. Une deuxième conséquence quand on couche avec un Jedi, il se demande si ce n’est pas en train de déteindre sur lui. Sur ce terrain, Arcturus est un profane. C’est la raison pour laquelle cela n’a pas duré avec certaines personnes, qui apprécient les discussions existentielles au lever, alors que lui a une vision différente du petit-déjeuner au lit et du contenu même du-dit petit déjeuner. Il se fiche royalement de faire les choses avec conscience.

Il y a quelque chose dans son regard qui le cloue au matelas, une appréciation dans ses yeux qu’il n’a pas vu depuis longtemps et qui est dangereuse. Horion n’a pas encore ce détachement, qui viendra après un certain temps, quand il aura l’habitude de voir toutes sortes de corps défiler. Spitfire est le premier d’une liste qu’il espère pour le roux pas trop longue. Ce n’est pas une vie. Arcturus n’est pas un apollon. Aussi insupportable soit sa personnalité, c’est elle qui fait tout le travail, la chaleur qui irradie de ses sourires enjôleurs, les promesses qu’il vend. Les contraires s’attirent. Il a l’impression que plus il le déshabille, plus il est évident que tout ses artifices laissent place à un corps qui n’a pas été entretenu avec la grâce dont il prétend. Il y a toujours sa cicatrice sur son flanc, la peau brûlée. Les traces de ses excès, de prises de poids et de perdes en yo-yo au fil des médicaments, des mélanges.  Il s’autorise à fermer les yeux et obéir à Horion, glisser ses doigts dans ses cheveux et les malmener un peu. Certains personnes apprécient la vue, lui se concentre toujours sur la chaleur que ça lui procure et préfère se détacher. Ce serait un partenaire pour qui il aurait des sentiments, ce serait différent. Mais c’est juste un réceptacle, il veut d’autres images dans sa tête. Aucune ne vient. Il ne sait pas si c’est le manque d’expérience d’Horion ou l’acte en lui même qui le laisse indifférent. Pas sa tasse de thé ce soir, même si c’est agréable, il ne peut pas le nier. Il aime  surtout le contact. Il a envie qu’on le prenne dans ses mains, la friction, et peut-être que ce n’est pas la partie qu’il préfère justement. « Tu veux que j’essaye de te parler mal ? » Il ne demande pas souvent l’autorisation. En même temps, il aime bien parler de lui parce que c’est quelque chose qui a vraiment le don de le mettre dans l’ambiance. Vilain Arcturus. « Tu as vu quoi d’autre ? Finalement je crois que je préfère ta bouche  sur la mienne. No offense » Injonction silencieuse qu’il préfère passer à autre chose.
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Message(#) Sujet: Re: The only way of loving me baby Is to pay a lovely fee - Arcturus The only way of loving me baby Is to pay a lovely fee - Arcturus EmptyDim 24 Jan - 13:03

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Horion ne peut se détacher du corps qui se déploie lentement devant lui. Le corps d’Arcturus est une histoire, une histoire qui sans doute est beaucoup plus complexe que la facette de la célébrité qu’il montre dans les médias de l’Holonet. Ses doigts tracent lentement les cicatrices qui s’égarent sur la peau et le Jedi ne peut s'empêcher de trouver cela magnifique. Cela le rassure presque, il n’est pas le seul à avoir quelque chose à raconter, il en a la preuve devant lui. L’homme est beaucoup plus que ce qu’il veut montrer.

- Je...tu es magnifique. Ses doigts s’attardent sur l’abdomen du pilote, effleurant légèrement d’une caresse aérienne. Horion expérimente, il aime la sensation de la chaleur sous le creux de ses mains, la peau n’est pas des plus douce, les marques donnent de la substance, mais le Jedi apprécie la vue autant que l’âme. Il découvre que le sexe peut se montrer beaucoup plus spirituel qu’il ne le pensait. C’est vrai qu’Horion avait imaginé cela comme si les instincts bestiaux du corps humain prenaient soudainement le contrôle du corps, pour se mettre dans un désordre de chaleur et de plaisirs intenses. Mais en fait, cela demande beaucoup plus de réflexion. Cela demande une confiance certaine, un partage d’intimité dont le jeune homme n’est clairement pas habitué. Il aime cependant le découvrir avec cet homme, aussi inconnu soit-il avant le début de la soirée. Il y a une facette touchante, blessée qu’il perçoit lentement au fond du pilote. Ils sont abîmés par la vie mais ils se réconfortent ensemble. C’est cela alors qu’est le plaisir charnel ?

- Me parler mal ? Comme...m’insulter un peu ? Je...je n’ai jamais fait ça avant. Est-ce que c’est courant ce genre de pratique dans le sexe ?

Le jedi s’arrête dans ses caresses buccales. Il n’a clairement pas l’habitude et il ne cesse de tâtonner depuis toute à l’heure, essayant de penser à couvrir ses dents avec ses lèvres. La texture est étrange sur sa bouche, le goût sur sa langue légèrement salé de l’excitation visible du pilote a une saveur particulière. Horion ne peut pas vraiment dire s’il apprécie cela ou non, c’est une saveur qu’il n’a jamais goûté auparavant. Il ne trouve pas cela désagréable mais juste...inconnu. Ses yeux se perdent soudainement dans le pilote, posant ses coudes sur ses cuisses afin de relever la tête et d’arrêter ce qu’il est en train de faire. Il sait qu’il doit-être maladroit mais il devra sûrement apprendre s’il veut conserver des clients et donc gagner des crédits. Peut-être est-ce une chose avec laquelle il peut s'entraîner quand il est seul ? Il doit sûrement exister des objets d’apprentissages. Un peu comme les machines d’entraînements au sabre laser.

La demande du pilote le déstabilise. Il est vrai que dans les Holos qu’il a visionnés, les acteurs ont tendance à se murmurer toutes sortes de saletés à l’oreille. Horion n’a jamais compris comment se faire rabaisser pouvait être excitant. C’est...avilissant, cela lui paraît quelque chose de mal. Peut-on prendre du plaisir à se faire humilier ? Pourtant le fait d'imaginer le pilote l’insulter de petite salope Jedi, cela lui fait quelque chose au creux de son abdomen, comme une chaleur qui se propage davantage. Il sent clairement son érection se tendre un peu plus à l’imagination. Cependant, il ne sait pas quoi lui répondre, il a peur que cela aille trop loin. Horion est sensible, il est perdu, il ne connaît plus ses limites. Il sait que ce travail le blessera de toute manière mais peut-il vraiment empêcher le partage de son corps de faire trop de dégâts sur sa psyché ?

- C’est....c’est une demande étrange mais...je suis ici pour servir ton plaisir alors si cela te fais du bien, je t’en prie. J’imagine que cela risque de devenir une pratique courante à l’avenir, autant m’habituer dès ce soir non ?

Horion rougit, il se sent mal à l’aise, maladroit, stupide. Est-il si nul que cela avec sa bouche ? Il sait qu’il est débutant mais il a pensé en avoir vu suffisamment pour savoir comment faire une pipe à un homme. Il détourne le regard des yeux brûlants du pilote qui le fixe. Il essaye de ne pas montrer que sa remarque l’a un peu blessé.

- Comme tu préfères Arcturus.

Le Jedi se stabilise sur ses genoux, remontant lentement sur le corps de l’homme désormais sous lui, coinçant ses cuisses entre ses hanches. Nu, il sent clairement le sexe de l’homme qui frôle ses fesses, la sensation est écrasante. Il ne saurait pas dire si elle est plaisante mais il s’imagine désormais sous l’homme, les jambes écartées, la sensation de son membre à l’intérieur de lui dont les va et vient le brûlent littéralement de plaisir. Oui, cela peut s’imaginer le faire, il en a même envie. La douleur il anticipait peu, il sait que cela est obligatoire au début, mais d’après ce qu’il a lu sur des forums de l’holonet, le plaisir vient vite avec un partenaire décent. Il pense que le pilote est un partenaire décent, il semble avoir de l’expérience alors il doit savoir comment faire. Il tend la main pour caresser tendrement la joue d’Arcturus.

- Je...j’ai vu beaucoup de choses tu sais. C’est fou tout ce que l’on peut trouver sur les sites d’holoporn. Le jedi plonge ses lèvres, effleurant celle de l’homme avec délicatesse, traçant avec sa langue les contours de sa bouche. Il apprécie de plus en plus les baisers, c’est intime, c’est plaisant et cela envoie des décharges électriques et des frissons dans son corps. Il se penche sur le torse du pilote, sentant la peau nue de l’homme qui se frotte contre la sienne. La chaleur des deux corps est enivrante.

- Je...tu peux me prendre si tu veux. Je crois que je peux imaginer aimer cela.
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Message(#) Sujet: Re: The only way of loving me baby Is to pay a lovely fee - Arcturus The only way of loving me baby Is to pay a lovely fee - Arcturus EmptyMer 17 Fév - 17:46

Tw : sexe

Il ferme les yeux et aimerait pouvoir affirmer qu'il est insensible aux belles paroles balancées dans le feu de l'action. Qu'il ne frissonne pas quand l'autre parle de lui comme étant "magnifique" alors qu'au bout de ses doigts se dessinent ses cicatrices. On apprend depuis l'enfance à les cacher, à considérer tout ce qui n'est pas lisse comme affreux et honteux en plus du poids psychologiques qu'elles referment. Les souvenirs restent dans les sutures, les aiguilles ne réparent pas l'âme quand elle a été marquée au fer rouge. Toutes ses cicatrices racontent des épreuves, des bêtises, des moments dans sa vie ou il a dansé avec la mort et l'a trompée. Elles ne sont pas belles à ses yeux, quand il se déshabille, elles montrent ce qu'il y a en dessous. Et il ne s'aime pas Arcturus, c'est faux. C'est un coup de pub, de projecteur, comme les belles affiches sur lesquelles sont portrait ne présente aucun relief, sans rides ni boutons. Il ne s'aime pas et le pire c'est qu'il aime cette sensation comme une douce amie. C'est tellement plus facile de se détester. Peut-être que les autres pensent qu'il est facile pour lui de se mettre à nu et de coucher avec n'importe qui, avec tout le monde. Qu'il ne réfléchit même pas. Qu'il ne ressent rien. Qu'il n'a pas peur. Qu'il ne doute pas lui aussi. Que c'est aussi automatique que se lever, prendre sa douche et partir au travail. C'est presque ça, c'est peut-être la limite à franchir pour tomber dans le coté vicieux de la chose, où tout n'est qu'une activité plaisante pour divertir ses neurones. Non. Il veut croire qu'il y a encore du plaisir.
Il caresse les cheveux d'Horion, enfonçant ses doigts dans les mèches d'un roux flamboyants, il brûle comme une supernova, l'encourageant. Il lui parle de ce qu'il a vu, de ce qu'il pense savoir parce qu'il a regardé du porn.

Leurs coeur battent à l'unisson. L'espace d'un instant, il se demande pourquoi il s'efforce de garder son rôle de client alors qu'il a déjà brisé plusieurs règles. Il ricane face à son innocence, nerveusement. Mal à l'aise aussi, d'être celui qui va devoir l'effeuiller. Il ne sait pas comment réagir, prit de court. Il veut bien faire, il ne veut pas lui laisser un mauvais souvenir et associer ... ça à la douleur, à la honte, à quelque chose qui lui volera ce moment précieux qu'il partagera avec ses futurs amants. Ceux qu'il se choisira, il espère. Arcturus est un romantique, il vit à travers l'amour, comme si c'était ça son véritable trophée, le prix qu'il veut absolument gagner. Tout ce qui compte. Trouver quelqu'un être heureux à ses cotés. La popularité est ce qu'il y a de plus proche de l'amour, il est juste froid et impersonnel. « Parfois, mais si tu n'es pas à l'aise alors ce n'est pas la peine. Ce n'est pas ce que je préfère, mais ça m'arrive de parler mal. » C'est un jeu de contrôle. Dans les draps, on joue, on s'aime, on tente des choses qu'il n'est pas permis d'essayer à la lumière du jour et le ciment de tout ça, c'est le consentement. Sans son consentement ce n'est pas un jeu dans le sens qu'il entend, c'est un jeu de pouvoir, tordu et malsain qui n'est drôle pour personne, puisque le but n'est pas de se satisfaire ou de rire. Seulement de se prouver quelque chose en brisant un autre. Nombreux sont les clients qui l'apprécient, les esprits pervers qui ont besoin de ça pour se sentir fort, exister.

Et il ne peut pas juger, pour avoir eu par le passé des comportements répréhensibles. Pour avoir eu des paroles déplacées par ego. Horion le force à faire attention, à ne pas aller trop vite en besogne. Si tout ce qu'il sait du sexe il la vu sur le net, alors effectivement, il a du en voir. Des choses. « Ecoute je sais qu'on ne devrait pas mais... je ne veux pas que tu fasses les choses pour moi. Je veux que toi aussi tu sois ok. » Il se mord la lèvre inférieure quand il s'échappe de son baiser. Ses mains englobent ses cuisses et les caressent tranquillement, elles remontent jusqu'à ses fesses qu'il pince entre ses doigts, l'habituant à la sensation du toucher à cet endroit là. Il ne sait pas jusqu'à il est allé dans sa découverte personnelle de son corps. Et c'est une chose de se toucher, c'est une autre de laisser quelqu'un caresser, explorer l'absolu de l'intime. Il s'y prend lentement, ne le pressant pas. Il a payé toute la nuit. Ils n'ont pas besoin de se ruer l'un sur l'autre, à moins qu'Horion n'ait envie que ça se passe vite, in and out. Ce n'est pas ce qu'il y a de moins douloureux.  « Bon. De ce que tu as vu, tu préfères essayer d'être au dessus ou en dessous ? Qu'est-ce qui t'excite le plus, ou te rebute le moins. » Il soupire, se sentant tellement con d'employer les mots. Il prend les choses en charge, assez d'écouter Horion lui raconte ses mésaventures virtuelles. Il ne veut même pas savoir sur quoi il est tombé par curiosité. Quand il couche avec quelqu'un en général ses partenaires savent à quoi s'en tenir, tout passe par le regard et il n'a pas besoin de décrire. De préciser ce qu'il va faire. D'un air de dire attention attention chéri le vaisseau va rentrer dans le hangar. Peut-être que c'est une erreur, de croire que c'est la bonne manière de communiquer. Bien. Il élargit ses horizons ce soir. « Et fait moi plaisir arrête de parler d'holoporn j'ai des images mentales terribles de toi en train de prendre des notes. Je ne vais plus jamais voir un jedi de la même manière. Ils devraient peut-être inclure des cours d'éducation sexuelle, au cas où. » Il pouffe, espérant qu'il ne manque pas trop de respect à sa religion.
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