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Mois 06, année 6, après la bataille de Kashyyyk. Les arbres font de l'ombre au soleil et le doux parfum d'un été qui s'annonce est charié par les fleurs. Les températures sont chaudes et douces et varient entre 20 et 30 degrés.
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Une annonce ébranle l'univers : l'empereur est mort. Le peuple élu un nouvel Empereur ; lors de la cérémonie hommage liée à Darth Taarq, un sombre événement survient. Divers problèmes de malfonctionnement sont vus chez les androïdes depuis quelques semaines. La cause reste encore inconnue, bien que l'on parle de virus dans leur système.

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 on earth we’re briefly gorgeous (hadassah)


                                                                 
- Hadassah Meron -
empire galactique
Hadassah Meron

    A NEW HOPE

signaux envoyés : 241
monnaie chromium : 599
identité : mcfly
pronom : elle
doublures : el chico tadjedine bb
faciès et crédits : brit marling ; 1er juin
labeur : ingénieure aérospatiale pour le first order depuis l'an - 2 puis pour l'empire à dater de son règne; il est de notoriété publique cependant qu'elle prête ses talents à la réparation de vaisseaux. dans les boyaux de l'empire, bien cachée des institutions, elle laisse la force s'épanouir en elle, devient sith, pas à pas.
origines : hoth, celle qui tremble
myocarde : petit lieu de culte, jardin de genèse
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rps et disponibilité : (close) rhil; eden; eon
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Message(#) Sujet: on earth we’re briefly gorgeous (hadassah) on earth we’re briefly gorgeous (hadassah) EmptyMer 23 Déc - 18:35

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hadassah meron
ft. victoria pedretti

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- the final frontier -

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identification required
nom et prénoms : hadassah parvin meron trigger warnings : écrire ici. âge : vingt-huit ans planète d'origine : hoth lieu de vie : un petit appartement délétère en banlieue de theed pour quelques nuits par mois passées dans les entrailles de l'étoile de la mort statut marital : moisissure aux coins des artères sur un cœur jamais ouvert profession ou rang au sein de l'ordre sith ou jedi  ? officiellement ingénieure aérospatiale; les nuits s'égrainent sous les mathématiques, le lyrisme de la physique. Le bruit blanc des machines dans les paysages interstellaires suffisent au regard pour que le temps ne se fige pas. officieusement entre les griffes de darth akhssart, sous la terreur d'une formation engagée si tard que la férocité des exigences du maître dépassent souvent ses capacités à les supporter caractère :  elle se soustrait à chaque présence; s'éteint sous les œillades; s'abime au sein des colloques; s'épuise à la conversation et s'érige alors contre elle la plus grande de ses faiblesse, celle de l'autre qui la dévore. Elle sent des odeurs de fantômes, des odeurs de papiers oubliés dans la poussière, des odeurs ternes, des odeurs de rien. Il n'y a pas de mots aimables dessinés sur le mont de ses lèvres, pas de commissure bordée par un sourire. Et dans le vacarme de ses silence  hennissent les rancunes, les frustrations et sous sa plume les gerbes intellectuelles, les chiffres, les formules, le projet des nuits qui s'étirent et s'étirent. Pourtant s'est enraciné, quelque-part dans son ventre, un morceau d'émerveillement, une joie mutine et bécasse pour de petits riens qui trouvent grâce à cette charpente qui ne se construit que sur le quantifiable, le vérifié, le formulable. groupe : dictum palier de la force, début et lieu de l'enseignement : la première fois, elle refusa. trop attachée au joug paternel ou trop lâche, elle ne s'était pas débattue contre le choix épidermique de quintus qui refusa catégoriquement un départ pour naboo et une formation au service de l'obscur. les indices avaient pourtant chamarré le début de son existence, mais les deux prétendirent ne rien savoir. tant pis. elle avala ses regrets, se dissimula derrière ses obligations filiales. fille de rien, elle deviendra une tête pensante des machines de l'empire, peu importe cette autre force sur laquelle elle lorgnait sans savoir s'en occuper.
- puis, naboo. parfois elle a l'impression qu'il l'a attendue. qu’il s’est tapi comme une araignée dans un trou et a tricoté de ses pattes un retour bien planifié. cette fois, il n’y eu aucune autorité paternelle pour l’arrêter. alors hadassah prit les huit pattes d’akhssart, sans hésitation. l’apprentissage aujourd’hui se fait à l’ombre de l’académie, lentement, sans patience mais pierre après pierre.  si niveau 3 +, quel don et comment se traduit-il ? il n’y eu rien de simple pour en arriver là. la force, semblait-il, avait dû se tordre pour répondre à ses exigences. en retard sur son éducation, elle a trainé les pieds jusqu’à bien vouloir offrir à hadassah le balbutiement d’une capacité à manipuler et persuader l’adverse. au commencement, le don est erratique et plus dangereux qu’utile. il n’est ni docile ni évident à appréhender, s’accorde à elle lorsqu’elle le demande le moins, fait entrer le maître sith dans une compréhensible déception. pourtant, à mesure que le fer est battu, la selle plus correctement bridée, il lui est de plus en plus possible de guider, le hasard en moins, le fil des pensées d’autrui. sabre laser : rouge, il n’y a pas d’autres couleurs qui conviennent à sa situation perception des androïdes : lorsqu'il s'agit des circuits à coordonner, de trajectoires à planifier, elle préfère avoir sous les yeux un androïde impérial  dont la précision n'a pas d'égal mais les usages récréatifs et personnels ne la convainquent  pas  que cherche-t-il ou elle plus que tout ? la paix
in a galaxy far far away...
an - vingt-trois / trois mois elle est si jolie. si jolie dans les yeux de cet homme, si pourpre sous les rideaux blancs qui n'en finissent plus de leur coller des petits baisers de givre sur les joues. elle est si jolie enveloppée dans la grossièreté du chanvre, ensevelie sous la chaleur des bras paternels. il fait beaucoup ça. observer la miniature, étreindre ce petit écrin de bonheur dans les débris. la chérir comme une mère, y trouver dans son regard sans humeur les restes de celle qui est partie en lui offrant sa chair. il la voit dans ses yeux, il la devine dans ses mains en devenir et il sait, pourtant, que ses fantasmes ne sont que ça. des désirs, des relents, des ressacs brutaux de ce que la vie avait été, avant. avant les amants n'étaient que des amants, les amoureux des amoureux, des fous simplement des fous. il se souvient bien de cette aventure qui a commencé à grossir entre les organes de celle qu'il avait aimé - qu'il aimait toujours. il se souvient des sourires, des regards nocturnes, du bout de ses propres doigts qui courent, grimpent, jouent sur le mont de son ventre rond. il se souvient, et se souviendrait de tout, du jour où la minuscule créature lui a été remis entre ses bras patriciens, où son cœur s'est écrasé dans sa gorge, écroulé dans son bouquet d'entrailles, brisé quelque-part pour n'être qu'à moitié remis sur artères après le départ brutal de celle qui s'était fondue en son être jusqu'à y creuser toute sa vie. mais il serait tellement fort, tellement fort pour regarder cet enfant devenir. offrir autre chose que les cadavres des vaisseaux qui s'érigent en montagnes, la glace, l'horizon funèbre, les claquements de dents des corps célestes qui s'écroulent.
-
an – dix-neuf  / quatre ans se loge, au creux de son coude, les fesses de la gamine aux longs cheveux blonds qui dégringolent. elle a les yeux plissés et curieux sur ce qu’elle pense être une drôle de créature toute drapée contre les dents de la planète. il n’y a pas de frayeur dans le regard qu’elle lance sur son museau d’écailles. Celui-là a une voix rauque, une voix qui pèse et siffle un peu. le père en revanche n’apprécie pas bien l’allure rigoureuse. sur hoth on croise surtout les droïdes venus récupérer ce qui peut être réparé du cimetière de vaisseaux, parfois des pilleurs, souvent uniquement ceux qui se sont condamnés à crever emmitouflés sur une planète qui ne pourrait les abriter naturellement. dans les bras de quintus, la môme est une perle. elle ne chahute pas, elle est attentive. du reptile, ses yeux ses sont glissés sur l’autre garçon qui, sage, ne semble rien attendre. il n’a pas décroché un mot, ne semble pas particulièrement ravi mais ne laisse rien paraître sur ses traits. les expressions sont fades, alors hadassah s’agite un peu pour aviver un regard – ce qui marche, pourtant elle ne s’attend pas à l’implacable stoïcisme de l’apprenti. à peine leurs regards se croisent qu’il s’intéresse à autre chose. celui qui s’est présenté sous le nom de darth akhssart s’est assombri en quelques minutes. L’enfant a des colères, c’est vrai. des dispositions, quelques facultés étranges mais discrètes si l’on ne leur prête aucune attention, rien qui ne semble être assez pour faire partie de ces clowneries que quintus se refuse à croire. hadassah manquera le bal, c’est tant pis, car aux yeux du père rien ne vaut de se jouer de la vie d’un enfant de quatre ans, en particulier du sien. c’est le plus jeune qui se lève en premier. Il fait ça avec une grâce dont on n’a pas l’habitude, ici, c’est ce que remarque l’homme en répondant à son hochement de tête. puis, le maître et l’apprenti s’en vont, bredouille de ce qu’ils étaient venus chercher. la gosse ne dit rien. ça viendra.
- an - huit/ quinze ans il arrive, les nuits les plus froides de l'année, lorsque le jour s'étiole, une petite grâce silencieuse. c'est au sommet d'un destroyer dont personne ne connait l'histoire qu'hadassah étale son corps adolescent dans le manteau de son père, le pied bien imbriqué contre le verre de ce qui avait été une des fenêtres du vaisseau. la glace a momifié la ferraille, n'en reste qu'un géant crevé dont on ne fera plus jamais rien. ici, au milieu de nulle part, dans le mutisme de l'hiver, paresse, s'étire et se déploie oisive une aurore. si son père lui avait appris tous les atomismes de ces phénomènes, il lui avait aussi assuré qu'ils se contemplaient mieux seul pour ne rien perdre de ce qu'ils avaient à offrir. on s'ouvre plus, sans présence. le petit noyau d'êtres humains n'a aucune prétention, sinon de s'assurer une vie meilleure sur naboo dont la surface ne se constelle pas de pluies de roches, où le cerveau si bien disposé de la gamine servira à autre chose que de flanquer ses mains dans de vieilles machines pour en retirer les mécanismes les plus précieux. ici les jours ne comptent plus, il s'agit d'attendre que le temps ne passe, rythmé par les débris du ciel que dégueulent les victoires et les défaites d'un camp ou d'un autre. il y a un avenir, là-bas sur naboo, qu'il disait. il y a un avenir pour toi, une grandeur pour toi, une vie pour toi. moi j'appartiens à hoth, c'est aussi ce qu'il racontait. j'appartiens à hoth, parce-que c'est ici que rampe le souvenir de ta mère. il n'aurait jamais supporté un voyage, ce vieil homme avec ces jambes en broc qu'elle avait confectionnées, réparées, tant de fois. les boulons de ses genoux sursautent toujours un peu tant ils sont rouillés. ses tendons grincent et se coincent, tout ce petit microcosme de métal fragile le condamne à marcher toujours derrière. un jour je reviendrai. je reviendrai avec des jambes neuves pour toi. c'est ce qu'elle a promis, avant de le laisser derrière elle. elle n'a jamais jeté un regard par-dessus son épaule. pas la force de croiser le regard de celui qu'elle ne reverrait pas - peut-être qu'au fond, elle le savait déjà.
- an zéro / vingt-trois ans ce jour-là avait été calme. elle s'en souvenait parce-qu'il faisait gris malgré la saison. trois ans plus tôt, elle avait posé pour la première fois un pied dans l'immense station spatiale. pour la première fois, à se faire écraser les épaules par stormtroopers et diligents, elle était tombée amoureuse. l'océan de circuits coulait comme des veines dans cet immense vaisseau, palpitait pour le faire marcher, et toutes ces petites molécules, ces interstices, ces désordres, elle les connaissait. le bruit des machines étaient ses poèmes, le silence de l'espace ses plus beaux accords. ce jour-là elle s'en souvenait. il faisait gris et elle n'était pas montée au sein de l'étoile noire depuis des semaines. ce fut aussi le jour où quintus s'éteignit. dans son lit, de se belle mort, il avait entendu un petit rire, un petit souffle, une petite plume contre sa tempe. un beau souvenir comme une baiser, et il s'était endormi. pardon hadassah, il n'avait pas pensé à toi, trop heureux de retrouver la fiancée délaissée depuis vingt-trois ans. il y avait eu une petite corde, dans la force, qui avait greloté. quelque-chose de désagréable, un sentiment qui colle, déjà présent depuis quelques jours. mavee lui avait dit t’as une drôle de gueule et ils s’étaient simplement accordés à oublier que les choses changeaient dans l’ambre du whisky. à l’ombre, darth akhssart avait cueilli la fillette huit ans auparavant, attendant avec patience qu’elle daigne dévorer l’autorité d’un père qui avait tout fait pour qu’elle ne se laisse pas attraper. c’était trop tard, cependant. trop tard depuis onze ans, car le maître et son apprenti avaient tissé une jolie toile dans son esprit qu’elle avait toujours pris soin de dépoussiérer. doja'r kaht parfois prend le relai lorsque leur maître s’éclipse pour quelques autres affaires. c’est lui, l’officiel. Lui, qui est gratifié dans tant de talents qu’elle ne peut s’empêcher d’admirer. doja’r kaht est grand, il le sera davantage qu’akhssart et c’est lui qu’hadassah suit, sur son chemin qu’elle tente de diriger son apprentissage et d’incliner la force. L’impériale reste cachée, il n’y a que ce noyau de trois pour savoir qu’une fois pliée la journée, elle s’absente pour en reprendre une autre, sous une couverture sith cette fois. la force paresse, mais la force est là.
- la victoire avait été annoncée en de grands coups d'éclats, mais quintus n'avait plus jamais répondu à ses appels. en prétextant la guerre, il n'avait pas voulu qu'elle revienne. ses jambes étaient restées emballées dans des linges propres, contre son lit. ses meilleurs prototypes. quintus avait adoré en hologramme, mais c'était trop tôt. ne viens pas il avait dit. je t'attendrai.
- sans le propriétaire à qui elles étaient destinées, ses créations ne servaient à rien. hadassah aurait déplacé des montagnes pour ce père. ce jour-là, elle les avait écrasées contre les murs. tu veux crever, alors crève.
- l'objectif disparu, elle a voué une allégeance toute azimute à l'empire. l'étoile de la mort, son fief. le seul repère dans lequel elle sourit quand ce n’est pas pour doja’r ou mavee. on lui fait confiance parce-qu'elle fait partie du décor, peu habilitée à s'imprimer dans les mémoires de ses interlocuteurs. certes elle est belle, mais belle comme un colchique sous les ronces. on retient son travail, jamais son nom ni son visage - et c’est bien le plus important.
- an trois, début / vingt-six ans  il y a des rumeurs dont hadassah se passe. des rumeurs dont elle n’aime pas s’embarrasser, des colères qui lui piquent les poumons, qu’elle a envie de cracher. mavee n’est pas un traître à l’ordre. mavee est un medic autrement plus intelligent que la plupart des impériaux qu’elle a pu rencontrer, un crétin admirable et surtout, son meilleur ami. elle n’a jamais douté de son allégeance, jamais douté de ses dispositions bien qu’il fasse souvent figure d’insolent. ça n’est pas grave, puisqu’il s’apprête d’assez de moyens intellectuels pour ne pas se faire abrutir par la propagande, fusse t’elle celle de leur autorité commune. mais vee n’est pas un traître. Il n’est pas un traître. C’est ce qu’elle se répéta tout le chemin jusqu’à leur point de rendez-vous habituel. C’est ce qu’elle s’était dit lorsqu’ils s’étaient regardés, gratifiés de sourires entendus, ce dont elle s’était persuadée en l’observant descendre ses verres, faire les yeux doux à quelques hommes et quelques femmes. vee n’est pas un traître et ne le serait jamais. vee ne la quittera pas. c’est ce qu’elle lui a dit. tu ne trahiras pas l’empire, waul. tu ne partiras pas et ne me trahiras jamais. tu ne peux pas me faire ça. tu peux pas faire ça, parce-que tu dois rester en vie. c’était ce qu’elle croyait lui avoir soufflé, quand sa main avait quitté la tempe du jeune homme, quand la force s’était retirée avec puissance après avoir mordu comme un clébard l’esprit du médic. Ils s’étaient regardés, ensuite. Rapidement. Suffisamment longtemps, pourtant, pour qu’elle puisse comprendre l’immense erreur, la nécessaire aberration.
- an cinq / vingt-huit ans dans cet appartement, il n'y a qu'un lit - toujours défait. une vasque pour cuisine, et une douche dans la seule pièce séparée. les murs sont un tableau de chiffres. des formules ici, des réflexions par là. des papiers épinglés lorsqu'il n'y a plus de place pour écrire. elle a ces folies-là, surtout la nuit lorsque son cerveau ne dort pas. écrire, écrire, écrire, formuler, tracer de grosses boucles d'équations, barbouiller son intérieur en de gros bouquets de solutions. hadassah est seule, mais elle ne rêve pas de l'autre. le bruit de la rue lui suffit bien, les formalités de ses supérieurs sont assez pour une personnalité aussi vaporeuse. parfois elle rêve de ce que la force lui aurait si elle l’avait maîtrisé plus tôt? Si sauver les siens aurait pu être possible, si mavee aurait pu survivre dans cette alternative. de lui et de son père ne reste qu'une petite photo. le deuxième avait été enterré quelque-part près de leur maison, hadassah ne lui a jamais dit adieu. ni à lui, ni à celui dont elle avait participé à creuser la tombe, d’une certaine façon. c'est un goût difficile à avaler, l'amertume. ça reste collé entre les dents et grince sur le palais. si ce n'était pas pour lui, elle aurait oublié ce qu'est la chaleur d'un regard qui aime. pour le moment, elle est accroupie sur sa montagne de duvets. il y a cette donnée qu'on lui a envoyée à étudier, cette singularité dans le ventre d'un trou noir, elle sait qu'elle y consacrera sa nuit avant d'enfiler les bottes de circonstance pour se présenter sur le vaisseau amiral.
- derrière la fenêtre, naboo dort.
against the dying of the light
COMMENT TA VIE A-T-ELLE CHANGÉ AVEC L'AN 0 ET LA CRÉATION DE L'EMPIRE ?
- le jour de la victoire fut le jour de la démission du capcom de la station spatiale de l'empire. le pauvre bonhomme avait mal coordonné ses données, par chance aucun dégât n'avait été recensé. hadassah avait assisté à ce petit cataclysme. un protocole immense pour pas grand-chose, mais elle était bien placée pour savoir qu'une erreur souvent faisait tomber l'entière structure. la semaine qui suivit engagea une refonte pour ceux qui chapotaient dans l'ombre, et l'ingénieur qui la supervisait fut remercié sans zèle de grâce. elle fut nouvellement responsable du squelette de la machine, le changement ne fut pas spectaculaire sinon qu'elle ne fut plus entravée par les écueils d'un responsable qui ne la portait pas dans son cœur. aujourd'hui lorsqu'elle s'éveille, le visage de quintus ne lui vient plus. à peine est-ce une forme qui reste, un sentiment qui l'étreint. aujourd'hui il y l'idée d'un empire, plus grand que n'importe quel seigneur, n'importe quel vaisseau, n'importe quelle maîtrise. l'idée appartient à l'intelligence commune, elle se forme et se déforme, est grandiose par essence. hadassah œuvre, elle œuvre lentement, elle œuvre en silence, pour de tout petits riens, sans tricher, sans escarmouches et sans esbroufes. elle fait partie de ces nombreuses ramifications, celles que l'on ne voit pas et ne soupçonne pas.

-
end of transmission
pseudo/prénom : gévaudan âge et région du monde : france comment nous as-tu as connus : en naviguant  personnage inventé ou scénario : personnage inventé fréquence de connexion : activité assez chronophage, je ne peux rien promettre veux-tu d'un parrain ? vous serez tous mes parrains première impression sur le forum : je me suis évanouie suggestions :  miguel  crédits : ultraviolence et bloodybaronn.
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Message(#) Sujet: Re: on earth we’re briefly gorgeous (hadassah) on earth we’re briefly gorgeous (hadassah) EmptyMer 23 Déc - 18:36

- the journey starts here -
→ if one does one's solitude right, this is the prize.
"il l'ont largué hier soir, c'est un simple croiseur, mais regarde ce que j'en ai tiré, le disjoncteur est intact, si j'en retire les ci-"
"hada, hada... calme toi." un sourire flotte entre les rides du vieillard. "je commence à être dépassé par ton enthousiasme." son regard s'épuise un peu, il a déjà beaucoup trafiqué aujourd'hui à calmer la gamine. "tiens, voilà de quoi te faire sourire un peu plus que tes prototypes. c'est arrivé lorsque tu étais sortie. marns me l'a apporté, aussi tu iras la remercier avant le dîner." le rouleau de papier passe d'une main à une autre, plus jeune.
"une réponse de naboo ?" c'est une question à son orgueil, mais quintus en balaie la riposte d'une petite risée.  
"voilà qui t'a coupé le chiquet." il y a des accents de fébrilité qui se muent dans les regards. dans la missive, l'académie aérospatiale. dans la missive, un regard vers l'avenir. ou peut-être pas.
"je suis reçue." ce n'est pas un éclat de joie. ce n'est pas un éclat du tout. c'est même plutôt une encre qui vient de s'écraser contre sa trogne, et elle s'affale, cul sur la table. "je ne suis pas obligée d'y aller, papa."
il y a un silence et celui-ci n'était pas d'or. ici la vie ne ressemble qu'à de petits cycles, des boucles qui se répètent et se répète dans la même ligne de vie. ici l'on tourne en rond, et les souvenirs languides se tassent sous le même triste prisme. hadassah a des fulgurances, mais c'est une enfant sauvage élevée parmi les machines. ici il n'y a pas de vie, sinon celle qui s'y est parasitée. "il n'y a plus rien pour toi ici, hadassah. tu n'as connu que moi et ce fut mon erreur. ta vie est sur naboo."
elle coupe. "ma vie... est avec toi."
"que feras-tu alors, une fois que je serai parti ? revendras tu le métal à des contrebandes pour te nourrir ? mendieras-tu ? te contenteras-tu de bricoler tes petites machineries qui ne resteront rien de plus que des prototypes ? allons hadassah, si tu n'as pas d'ambition pour toi, aies en au moins pour moi !" la diatribe trouve sa cible. la colère est blanche, et entre ses doigts élégants le papier se froisse d'être serré si fort.
ça sent déjà le cadavre. ces deux là savent que lorsqu'ils se sépareront ce sera pour la toute dernière fois. la fureur naissante s'éteint lorsque leurs regards se croisent. des  yeux patriarches, il y a de grosses larmes qui s'égrainent et sillonnent entre les rides.
alors, avec une douceur de reine, la fille prend le visage de son père en coupe et en essuie les larmes de ses pouces. elle dit je t'aime, mais elle le dit avec les yeux. il n'y a jamais eu meilleur parent au monde. jamais meilleur ami. les fâcheries ne sont rien que des mots d'amour.
il n'y a pas de colère entre eux, juste un au revoir. et celui-ci, quand il murmure, se prononce adieu.
[ dossier 001. ]
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Message(#) Sujet: Re: on earth we’re briefly gorgeous (hadassah) on earth we’re briefly gorgeous (hadassah) EmptyMer 23 Déc - 18:36

les bottins
pour le bottin des avatars
Code:
<bb>victoria pedretti</bb> • @"hadassah meron"
le bottin des postes ou emplois
theed et l'étoile noire
Code:
<b>ingénieure aérospatiale</b> • @"hadassah meron"
le faceclaim
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<a href="https://maytheforce.forumactif.com/t592-on-earth-were-briefly-gorgeous-hadassah">
<div class="grid-item thing thing thing">
<div class="name"> HADASSAH MERON </div>
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<div class="info">  
    28 ANS | INGENIEURE AEROSPATIALE - APPRENTIE SITH <br>
    FC: VICTORIA PEDRETTI<br>
    CRÉDITS : GIRLS<br>
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Message(#) Sujet: Re: on earth we’re briefly gorgeous (hadassah) on earth we’re briefly gorgeous (hadassah) EmptyMer 23 Déc - 19:39

cetite petite hada moh mon pauvre coeur omg
les mentions de doja'r et vee ?? le maitre ?? le papa ??
a d i e u
ça manque de taheer tho. mais je l'accepte. regardepo


- félicitations, tu es officiellement des nôtres ! -

encore une bienvenue chaleureuse à toi, jeune padawan.

direction le carnet de bord pour des liens et la roulette rp pour trouver un partenaire. ne sois pas timide et poste dans les carnets des autres ou mp directement les membres.

viens aussi participer au premier rp commun du forum.

le flood cosmique t'es ouvert en général ainsi que son tinder galactique. n'hésite pas non plus à commenter la toute première version du forum.

on t'encourage enfin à voter pour nous soutenir et gagner de la monnaie chromium. tu peux nous proposer des affiliés.

si tu as des questions, c'est toujours par ici et le serveur discord est ici.
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