rp commun 1 : la course pour l'empire

Cela ne lui plait pas, d'être assis à devoir regarder la course alors qu'il voudrait en être l'acteur principal. Parader dans son racer. Il rumine depuis qu'ils sont arrivés et n'a pas accordé beaucoup d'attention à Wazn, trop préoccupé par son problème majeur, son ego blessé. Sauf qu'il n'ira pas lécher les bottes de l'empire pour se faire une place dans ce genre d’événement, même si ça le démange et qu'il s'y incrusterait bien, candidat officiel ou pas. Arcturus ronge son frein, forcé de garder pour lui ses commentaires désobligeants, c'est bien lui le seul à qui doit en vouloir, qui persiste à garder sa neutralité alors que tout le pousse à enfin choisir son camp et s'épargner bien des soucis dont il n'a nullement besoin. Il n'y a personne avec qui échanger, ce n'est pas avec l'Androïde qu'il veut avoir cette conversation, le voilà qui tourne déjà en rond, trépigne d'impatience. Il s'assure de l'avoir toujours en visuel d'un coup d'oeil par dessus l'épaule et se glisse dans la foule, à la recherche d'une connaissance qui voudra bien le supporter, lui et sa mauvaise humeur, au moins faire passer le temps long. Il connait des gens, des visages, mais ce n'est pas ce qu'il cherche. Ce qu'il cherche, il le trouve un peu par hasard en entendant une voix qui est si charmante à ses oreilles et qui ne peut appartenir qu'à une seule personne. Brusquement, Arcturus fait volte-face et se retrouve nez à nez avec Dradna, featuring en arrière plan sa clique dont il n'a sincèrement aucun souvenir des prénoms de chacun, trop focalisé par la belle femme qui lui fait face. Pour une surprise, c'est une heureuse surprise pour lui, au choix de madame en ce qui concerne celle qu'il représente pour elle. Difficile de cacher qu'elle lui a toujours fait son effet, même si elle est beaucoup trop brute pour la délicatesse de son quotidien. Elle lui fait toujours penser à sa petite soeur - vaguement, physiquement, c'est dans le regard - ce qui éloigne rapidement toute pensée lubrique. De plus, il n'a pas envie de goûter son poing. « Bah alors qu'est-ce qui t'arrives ? Quel merdier hein » Sans prendre le temps de la saluer correctement, il s'approche d'elle, coupant sa conversation (@Dradna Kelosa)  et hoche la tête pour saluer (@Horion Kriss) qu'il dévisage longuement, mais décide d'ignorer, comme si il ne le connaissait pas, en jugeant son accoutrement. Une sueur froide coule dans son dos. Tout d'un coup, trop de gens réunis au même endroit, au même moment et qui ne sont pas sensé être là ou être qui ils sont... Entre temps, il a cru comprendre que des boites de conserves un peu échauffées étaient venu faire leur discours habituel sous l'oeil de l'empire. Mauvaise idée. Il regarde une dernière fois derrière lui à la recherche de (@Wazn C-679) les choses commencent déjà dégénérer. Un peu d'action, tiens. « C'est pas ton vaisseau sur la piste ? T'as qu'à prendre le mien, Wazn m'en a offert un nouveau de toute façon. » Il hausse les épaules et vient lui donner un coup de coude dans les côtes. « Puis qu'est-ce qu'on se fait chier tu trouves pas ? Perso' j'ai pas envie de me retrouver au milieu des pancartes c'est pas bon pour ma pub. On à qu'à leur donner une leçon, comme ça tu me devras une faveur. » Parce que poursuivre deux idiots avec son vaisseau, en plein milieu d'une course pour l'empire demoncul, c'est déjà une meilleure option.

résumé:

episode i : la course pour l'empire Le ronflement de la colère sourde qui tambourine dans ses veines. Il observe les militants, sert son verre trop fort au point de l'éclater, tâchant ses gants en cuir. L'événement semblait si calme qu'il aurait du se méfier, ne pas baisser sa garde. La preuve évidente que, quoi qu'il arrive, des petits rigolos se sentent toujours plus bien pensant que les autres. Uriel pousse un passant qui lui barre la route, se fichant pas mal de l'éclater au sol. Leur slogan ridicule qui résonne dans les airs, donne envie à Uriel de sauter dans le tas. Il sent son sabre accroché à sa ceinture, l'envie pressante de l'attraper et se filer vers les manifestants. Des androïdes libres ? En voilà une idiote, une idée saugrenue dans la tête d'imbéciles pas plus malin que cette envie. Les stormtroopers sont déjà en place, près à exécuter les ordres. Uriel ne bouge pas pour le moment, positionné derrière la ligne de front. @Danita Cormack le rejoint, demandant quels sont les ordres. Le sith ne réagit pas immédiatement. Il se sent divisé. Agir, pour montrer l'exemple, montrer que toute forme de révolte dans l'empire sera sévèrement punie. Ou bien attendre que ça dégénère encore plus pour ne pas faire passer l'empire pour le méchant. Le silence est presque pensant, écrasant ses épaules déjà fatiguées. Doucement, il déroule sa colonne, redresse son visage, ses épaules. La fierté et les ténèbres imprimées sur son visage complètement fermé. Il observe les gradés sensés donner les ordres. « On attend. Mais si ça dégénère, on fonce. Tu en tues autant qu'il en faut mais garde certains prisonniers. Des interrogatoires musclés nous attendent. » Foutus manifestants, les boites de conserve n'ont qu'à bien se tenir. Trop de liberté est à craindre, Uriel veille toujours à ce que l'empire montre qu'il gère la situation. La, actuellement, il a la sensation que tout lui échappe.

résumé:

episode i : la course pour l'empire Evidemment que rien ne pouvait se passer comme prévu – mais cette possibilité-là, même les logiciels de probabilité d’Aldebaran avaient échoué à la prévoir. A peine les premiers slogans avaient-ils retentit que l’androïde avait senti son sang artificiel se glacer dans ses veines. Une manifestation pro-androïde. Et malheureusement, qui disait manifestation disait riposte des stormtroopers – a plus forte raison encore quand un paquet de seigneurs Sith trainaient dans les parages. Mauvais. Très mauvais. Il fallait qu’il se tire d’ici au plus vite. Un raisonnement visiblement partage par les autres chuchoteurs, qu’il voyait déjà se disperser – a la différence notable qu’eux étaient tous humains, alors que lui ? Lui avait gravé sur la nuque cette marque qui pourrait bien signer sa perte.

Il fallait qu’il disparaisse – plus facile à dire qu’a faire avec sa carrure dans une foule en panique qui se bousculait déjà tous azimuts, entre ceux qui cherchaient à rejoindre les manifestants, ceux qui cherchaient à les fuir, et ceux qui allaient leur chercher des poux, galvanises par la perspective de remettre à leur place ceux robots qui avaient l’arrogance de se penser leurs égaux. Visage ferme, mettant en sourdine l’étrange et dérangeant sentiment de culpabilité qui lui rongeait les entrailles, Aldebaran commença à fendre la foule a son tour, quand son regard croisa, accidentellement, celui d’un visage familier. Visage familier qui, bien entendu, piqua aussitôt sur lui.

Ni une ni deux, Aldebaran réagit au quart de tour et, sitôt que Rhil fut a sa hauteur, l’empoigna par le bras pour le trainer derrière lui, direction la sortie, offrant le drôle de spectacle d’un androïde tenant un humain tenant un droïde avec aucun des trois visiblement décidé a aller dans la même direction que les deux autres. « Ca va dégénérer. Faut qu’on parte. Maintenant. » marmonna l’androïde en relevant de sa main libre le col de son manteau pour dissimuler au mieux la marque sur sa nuque. Les yeux d’Aldebaran scannèrent la scène sous leurs yeux – les manifestants bloquaient une issue, et les stormtroopers qui commençaient à se rassembler tous blasters dehors en bloquaient une autre, et l’androïde ne parvenait à trouver aucune issue optimale, ses variables mises en déroute par le chaos ambiant. « Je suppose que tu n’as pas de véhicule à portée de main ? Autrement, je pense qu’on est dans la merde. » souffla-t-il, aussi factuel que fatidique. En période de crise, rien n’égalait le réalisme décoiffant d’un androïde écoutant son programme.

résumé:

episode i : la course pour l'empire - Un vaisseau ? Est-ce que j'ai une tête à avoir un vaisseau tout neuf dans la poche Drad ?

Horion soupira d'exaspération mais fut content de voir enfin un visage amical, depuis le temps qu'il se trainait dans les bas fonds obscures de l'Empire, la voir ici, en bonne santé et toujours aussi énergique faisait plaisir à voir. C'est alors qu'un homme connut rejoignit le groupe nouvellement formé, alors qu'Horion observait de loin le vaisseau de son ami se faire la malle avec deux idiots qui allaient connaître un triste destin. S'il y avait un truc à ne pas faire, c'était bien toucher à ses affaires, Horion serra presque les dents de douleurs pour les deux gus stupides... . Sa tête se tourna finalement vers le nouvel arrivant, Arcturus Sahleac, un pilote intrépide dont le visage était populaire dans les rues de Theed. Bien sûr qu'il serait là, évidemment. C'était après tout son domaine de prédilection. Cela faisait bien longtemps qu'Horion n'avait pas vu l'homme, depuis...depuis des temps qu'il préfèrerait oublier même si sa compagnie n'avait pas été des plus désagréables. Il ne faisait plus ça maintenant, il s'était pour ainsi dire rangé ? Oui rangé, c'est le mot non, même s'il n'avait pas revu son amant depuis cette fameuse nuit il y a deux ans.

- Sahleac...évidemment que je te croiserais par ici. Et bien tu vois Drad, ton problème se résout, prenons son vaisseau trop chic et allons récupérer ta carcasse volante. Horion refusa de donner du crédit à l'air de Dradna quand elle observa son accoutrement, il ne se ferait jamais à ses uniformes serrés et guindés jusqu'au cou, ses robes Jedi lui manquaient par dessous tout, au moins elles ne lui grattaient pas la chaire et elles permettaient une mouvance beaucoup plus adéquate en cas d'action, comme ce qui allait se produire sous peu.

- Dépêchons-nous avant que ces imbéciles tirent dans la foule. Les cris de la manifestation se rapprochait de plus en plus, les gens courraient dans tous les sens, aucune discipline et Horion observa la stormtrooper, prêt à dégainer à la moindre faille. Cela ne lui disait rien qui vaille...Un groupe se rapprocha, à quelques mètres seulement. Il fallait faire quelque chose mais c'était risquer, cela pourrait faire sauter sa couverture, d'autant plus qu'Uriel qui le surveillait déjà depuis quelques mois n'était pas loin. Mais Horion ne pouvait pas non plus reculer, laisser passer encore un drame devant ses yeux. Aldder lui avait appris une chose, qu'une vie était précieuse et qu'il devait tout faire pour éviter un sort funeste à un innocent. Il se retourna et se déplaça vers le groupe prêt à tirer, semblant attendre les ordres.

- Soldat, vous êtes attendu à la base, retirez vous, maintenant. Nous nous occupons de la manifestation.

Le chef de l'escouade sembla le regarder à travers son casque blanc et se retourna vers son équipe, murmurant des ordres à travers les ondes radios de son communicateur. Un hochement de tête, ils reculèrent et se mirent en route vers le vaisseau qui devrait surement les ramener à la base sous peu de temps. Horion culpabilisa légèrement car les soldats risquaient une punition pour insubordination. Cependant, cela ferait toujours ça de moins sur leurs chemins.

- Alors, tu comptes attendre qu'il fasse nuit chasseuse de prime ?

résumé:

Résumé:

Les machoires sont braquées, serrées ; autour, les voix s'élèvent et se font plus fortes, et dans la tête de Vee, chaque son bourdonne. Il sent la tension dans ses muscles, dans son corps. Il ne peut que s'insulter, Vee, pour aller dans le sens contraire de la foule qui tente de fuir simplement pour chercher Tresh ou encore, Jun-O. Aucun ne se présente à ses yeux. Il perçoit les Stormtroopers du regard, par contre ; le pas s'en approche, s'en éloigne. Les battements du coeur s'y collent, comme une danse folle. Il n'a pas envie d'être là. Il ne devrait pas rester là ; il porte le visage d'un mort. Mavee Waul est mort ; Vee Waul doit quitter les lieux pour ne pas le rejoindre. Mais il y a Jun-O, là, quelque part dans la foule. Il y a son ami, son frère ; son sauveur. Les prunelles s'agitent et le regard se fait plus vif dans ses gestes, le pas s'empresse et il hurle son nom, plusieurs fois. Vee ! qu'il entend, au loin. Combien de temps ? Deux minutes, peut-être trois. Le coeur se calme quand l'iris se pose sur l'androide et que,de pas rapides, il le rejoigne. La poigne est forte, vive, contre son poignet. Déjà, il le tire dans une direction pour fuir. Ils doivent s'en aller. Ils n'ont aucune raison d'être là. t'étais pas lié à l'Empire avant, hein ? Il n'a jamais demandé ; il n'a jamais voulu savoir. Maintenant, la réponse est essentielle. Et pourtant, il ne l'entend pas. On doit trouver Tresh. Le regard est fou, dans la foule. Les pas avancent et Vee ne le trouve pas. Il l'entend, pourtant, tandis qu'ils s'éloignent. Il l'entend et le sent percuter violemment ses jambes comme le droide à tendance à faire, souvent, pour l'accueillir. Prends le qu'on foute le camp qu'il demande à son ami. Il cherche des yeux une sortie, un endroit dénudé de l'Empire et après une grande inspiration, entraine Jun-O dans cette direction. Il garde la tête baissée, qu'importe s'il est plus grand que bien des personnes, espère ne croiser aucun visage connu. Il les a tous oublié mais eux, peut-être, ne l'ont pas oubliés.

résumé:

( je lance deux dés ; un pour vee, un pour jun-o )

Horion a raison. Ils auraient mieux fait de se dépêcher avant que la situation ne dégénère. Ce qui ne tarde pas à arriver. Il peut comprendre les discours passionnés des androïdes, sans être d'accord avec les mots qu'ils emploient et leur ton trop accusateur. Ils ne naissent pas et sont crées, mais voudraient obtenir les mêmes droits qu'eux, qui n'en ont pas forcément à la pelle depuis l'avènement de l'empire. Chaque chose en son temps et si il y a bien un terrain sur lequel le pilote s'entend avec les impériaux, c'est que la race humaine doit passer avant toutes les autres. C'est sans doute difficile à entendre pour les autres ; à chacun son combat, il est normal de vouloir voir sa culture prospérer. Il ne va pas non plus volontairement renoncer à ses privilèges pour satisfaire quelconque minorité.  Malgré tout, il se réjouit que l’événement tombe à l'eau, il faut rester positif. Une course ruinée à laquelle il n'a pas participé fait son bonheur, ce n'est pas plus mal finalement qu'il soit forcé de rester sur le carreau. Bien fait. Maintenant, il n'a pas envie de se retrouver mêlé à toute cette histoire. Il veut bien aider Dradna, c'est une chose mais se retrouver embêté par les gars de l'empire pour ses beaux yeux, c'est un peu trop demandé. Arcturus soupire et commence a devenir nerveux. Autour de lui le public s'affole et de nombreuses personnes, outrées de la tournure de l’événement tentent de quitter les lieux. Il n'a pas envie qu'on lui tombe dessus. Il se tourne vers Dradna et lui tape dans l'épaule, sur le départ.  « Je vais à mon vaisseau, quand tu auras fini de prendre le thé on pourra récupérer ton vaisseau. Il peste et salue Horion, qu'il gratifie d'un clin d'oeil à la dernière minute. « Qui m'aime me suive. »  Il ne l'a pas oublié et éprouve toujours de la sympathie pour lui. Il faudra qu'il lui mette la main dessus pour éclairer toute cette histoire d'empire. D'un bordel à un gradé, il y a tout un chemin.
Maintenant, il faut sortir d'ici sans se faire arrêter. Ces idiots de troopers tirent sur tout le monde et ne font pas la différence entre ceux qui brandissaient des pancartes et ceux qui voulaient juste regarder la course de l'année. Il a jugé plus intelligent de se séparer, si il se fait prendre avec la rebelle, il aura de vrais soucis. Il fouille la foule du regard de peur de croiser Aziel, ou d'autres résistants qu'il connait. Arcturus s'inquiète beaucoup pour sa petite réputation qui n'appréciera pas ce coup de pub - manquerait plus qu'on le pense pro-androïde, ce serait vraiment ironique. Mais lui, il ne craint rien, non ? Il a de l'argent. Et puis c'est complètement con.

résumé:

episode i : la course pour l'empire

Le temps pressait de plus en plus, les stormtroopers se mettaient en marche et semblaient suivre les ordres du Haut commandement, à priori on leurs avait donné l'ordre d'arrêter à vue toute personne suspecte. Et bien, cela n'avait clairement pas trainé...malgré les quelques manœuvres qu'Horion avait tentées de mettre en place, il n'y en avait trop et son grade ne suffisait pas pour tous les renvoyer à la base. De plus, il s'était surement déjà grillé auprès de ses supérieurs, comment allait-il expliqué ce merdier ? Ca il n'en avait aucune idée mais il savait qu'Uriel était sur ses traces, ce n'était qu'une question de temps avant que sa couverture tombe complètement. Il espérait qu'il aurait le temps de fuir ou du moins de prévenir l'alliance. Même si on lui avait bien signifié qu'aucune extraction n'était envisagée, il espérait secrètement que ses plus proches amis feraient le déplacement. Quel Jedi, de mettre en danger ainsi autrui pour sauver sa peau, Aldder n'avait même pas eu cette chance et Horion l'avait laissé mourir, seul, dans cette cellule d'interrogatoire. La peur et la culpabilité lui tordaient les trippes.

Il se tourna finalement vers le pilote célèbre qu'il connaissait si bien et prit le bras de Dradna pour l'entraîner à la suite de l'homme.

- Allons-y Drad, il faut partir, ça sent mauvais et ça va dégénérait, je n'ai pas envie de vous voir plus tard dans une salle d'interrogatoire alors que j'ai les mains liées. Merci Arct, j'apprécie les efforts et je te suis redevable. Filons, vite !

Il formait surement un groupe étrange, entre une rebelle, un célèbre pilote et un gradé de l'empire, à courir ainsi au milieu du chaos général, montant finalement dans le vaisseau flambant neuf de Sahleac. Evidemment qu'il serait étincelant et prêt à l'emploi, les courses ça payent dures à priori mais la vitesse était tout ce qu'ils avaient besoin pour parvenir à récupérer le navire volé de Drad. Et bien, Horion s'était encore mis dans une sacré pagaille. Il se tourna vers son ancien client, son visage reflétant un certain malaise du comique de la situation.

- Et bien, je suppose que tu pilotes non ? Ceci dit, je ne dirais pas non à ce que tu m'offres une tasse de thé quand tout ce bordel sera fini. Je ne suis certainement pas pressé de rentrer...de rentrer à la base...

Ils n'ont cependant pas eu le temps d'arriver jusqu'au vaisseau, un groupe de Stormtrooper leurs barrait la route, semblant bien décider à en découdre et à appréhender le plus de monde possible. Horion n'eut même pas le temps d'ouvrir la bouche que le pilote se fit arrêter alors que lui-même recevait un avertissement, malgré son uniforme et son grade visible, son nom était soigneusement noté sur un datadap. Cela sentait mauvais, très mauvais. Il regarda son amie Dradna avec appréhension, attendant de voir si elle aussi ferait parti du dernier lots de prisonniers dans les salles de gardes à vues ce soir.

Résumé: