Je t'arracherais bien les entrailles mais tu peux être utile (Djal) +TW(violence,hot,moralité)

Cela lui faisait étrange de se retrouver derrière un bureau, lui qui n'en avait jamais vraiment eu un lorsqu'il travaillait. Toujours a gauche, a droite, a travailler, coudre, découper, travailler en somme, mais pas sur un tel bureau. La première étape avait forcément été de décorer l'espace avec goût et il avait utilisé les crédits qu'il gagnait pour se dégoter des choses bien précises et toutes personnes entrant dans son espace comprenait qu'il se trouvait a Alderan. Un mur complet avait un hologramme géant de sa planète natale, ainsi que les bruits de nature en fond, histoire d'être plongé dans cette capitale qu'il avait quitté des années plus tôt. Il y avait également quelques tableaux ainsi qu'un mannequin artificiel sur lequel il faisait quelques retouches pour l'une de ses tenues. Il prenait son temps, il n'était pas pressé après tout, il pouvait jongler avec son travail actuel de gardien de la main rouge. Le marché noir marchait très bien avant son arrivée et il avait l'intention de la rendre encore plus performante.

Sn comlink bipa et sa nouvelle secrétaire lui annonce l'arrivée de la furie. C'était le nom de code qu'il lui avait donné, lorsque la lieutenant arrivait. Toujours sans prévenir, jamais pour les bonnes raisons. Néanmoins, un sourire s'affichait toujours sur son visage lorsqu'il savait que la jeune femme arrivait en claquant des talons sur son passage. Il y avait une petite histoire entre eux, quelque chose d'unique et incompréhensible en même temps. Il n'eu pas le temps de se préparer que sa porte s'ouvrait déjà avec fracas, laisser entrer la tempête nommée Marina. Directement désagréable, il sourit et fait abstraction a tout cela. « a en voir ta dégaine d'esclave twi'lek des Hutt, je me dis que tu es la pour que quelqu'un te reface ta garde robe et que la Force soit louée, j'attendais ce moment, parce que la, c'est pas bien beau a voir le lieutenant de la ruche. »  Lui aussi était capable d'être tout a fait désagréable.

Il se redresse et passe de l'autre côté de son bureau pour s'assoir a moitié dessus, les jambes tendues, les bras croisés. « A moins que ta dernière conquête t'a encore laissé sur ta faim ? » Reference a son surnom et a sa proportion a toujours revenir vers lui... et inversement.

A n'en point douter, elle était sauvage et il avait bien compris comment elle avait réussit à se hisser au plus haut de la hiérarchie. Elle avait dévorée tout ce qu'elle pouvait pour s'améliorer, déchiquetant, lacérant, violentant tous ceux sur son passage pour se prendre une plus grosse part du gâteau. Aussi belle que violente, aussi attirante que dangereuse, ainsi désirable qu'assassine. Il avait apprit à la connaître dans cette cellule en prison, on l'avait mit non pas dans une chambre pour deux, mais bel et bien dans une cage ou la lionne avait tous les droits. Il se fit quand même plus gros et imposant qu'il n'y paraissait pour arriver à la dompter de temps à autre. « Tu n'es pas si exceptionnelle que ça, je me demande encore comment tu arrive à passer les portes avec une telle attitude, mais soit, je n'ai rien à ta taille, mais je pourrais faire du sur mesure avec ce que j'ai sous la main et... remettre en ordre cette tenue. » Déchirer, arracher, recoudre, redimensionner ce qu'elle portait. Il prendrait un malin plaisir à passer le ciseau pour la mettre à nue, mais elle ne se laisserait pas faire.

Marina était l'une des têtes pensantes de la Ruche. Elle n'était pas la reine, mais pas loin, alors elle allait directement au vif du sujet, laissant ses doigts se balader sur le mobilier tout en le dévorant du regard, sans aucunes gênes, lui annonçant qu'un de ses gars trafiquait dans son dos. A peine le temps de commencer une réponse qu'elle l'attrape par le menton,

« A moins que ta dernière conquête t'a encore laissé sur ta faim ? » Référence a son surnom et a sa proportion a toujours revenir vers lui... et inversement. Elle le fait se pencher vers le bas pour la regarder dans les yeux, pour voir sa poitrine se dessiner dans son décolleter, sentir son souffle contre sa peau, sentir la langue contre sa lèvre. Elle était ainsi, soumise à ses pulsions et désirs, elle prenait ce qu'elle voulait, délaissait le reste et elle tentait même de lui donner une leçon, une petite morale comme quoi c'était elle qui décidait et qu'il n'avait pas besoin de tendre de perches, insinuant qu'il était frustré, ce qui le fit sourire. « Ô... Marina... » Une de ses mains se glisse entre eux deux, ses doigts prenant place sur la gorge si fragile et douce de la jeune femme, refermant sa poigne dessus, sans pour autant l'empêcher de respirer. « Un simple appel aurait suffit pour avoir tes réponses... non tu n'es qu'ici que pour assouvir tes plus bas instincts, car tu ne sais pas comment les communiquer autrement. »

Il utilise sa force pour retourner la situation, attrapant la cuisse de la brune de sa main libre et la fait pivoter pour la balancer avec une certaine force sur le bureau, balançant au passage quelques affaires sur le bureau. Il se penche, attrape les lèvres pulpeuses de Marina entre ses lèvres, mords ces dernières et se redresse pour remettre sa cravate en place et se dirige vers la porte de sortie. « Néanmoins, il semble que j'ai du travail, je n'aime pas ceux qui ne respectent pas les règles, alors je commence ma chasse à la vermine de ce pas. » Ou pas, car il venait surement de réveiller, d’enflammer la lionne sur son bureau.

Djal ricana a la phrase de sa supérieur. Il était vrai que les femmes qui se savaient belles et qui en jouaient n'étaient pas faciles a vivre, la jeune femme qui venait d'entrer dans son bureau était encore pire que ca. « Que veux-tu, j'ai toujours aimé a faire briller encore plus fort les beautés de cette galaxie. » Ou les personnes importantes, mais souvent l'un allait avec l'autre, ou non, dans tous les cas, il aimait a faire resplendir les autres et cette femme coupait déjà assez le souffle des personnes qu'elle croisait. Jusqu'ou pourrait elle les faire chavirer avec l'une de ses tenues ? Il y aurait probablement quelques cadavres à ramasser ici et la après des tentatives hasardeuses pour l'approcher.

Les deux ne se connaissent pas depuis longtemps, mais se connaissent bien assez pour savoir comment se comporter l'un envers l'autre et connaître les penchants assez certains de son opposé. Alors il n'hésite pas un seul instant à l'attraper par la gorge, sachant très bien que ce petit gémissement qui s'échappa de la gorge de la brune était tout à fait naturel, voir même attendu. Aussi dominante que dominé, ni l'un ni l'autre n'avait l'intention de se laisser faire. Mais elle avait raison, il la coupa certes, mais les plus bas instincts de la lieutenant lui avait valu bien des choses, comme cette place au soleil et le pouvoir pour placer ceux qu'elle désirait à des postes importants. Certains disaient que Djal couchait pour réussir. Il y avait du vrai la dedans, même si ce n'était qu'une petite partie de l'équation.

Il l'attrape, la retourne, prendre possession d'elle un instant, s’intéressant à ses lèvres avant de la quitter tout aussi vite, comme si elle n'avait plus d’intérêt, que ce dernier était portait à ce traitre. Même dans ses autres métiers, il avait détesté ce genre de personnes et ici, ça ne serait pas différent. Néanmoins, elle ne voulait pas en rester la. Elle n'en était pas capable de toute façon, alors elle revint, n'aimant pas se faire snober, et referme la porte pour l'empêcher de partir. Elle se prenait pour la reine et désirait qu'il l'a traite comme telle et qu'il ne bougerait que lorsqu'elle le lui ordonnerait. Pas le temps de répondre qu'elle balançait une chaise vers lui, qu'il esquiva d'un pas. L'objet se fracassa quelques centimètres plus loin, emportant d'autres affaires avec lui, alors que la brune continuait à parler contre la porte. « Ô ma Reine... » commence t'il en s'approchant d'elle. « Je massacrerais cette raclure pour vos beaux yeux si cela peut vous faire plaisir. » Il ne la lâche pas des yeux, met un genoux à terre, attrape la jambe de la brune et commence à déposer des baiser sur sa peau à nue, remontant lentement vers ses cuisses, mais s'arrêta avant le point de non retour et se redressa pour se coller contre elle sur cette porte. « C'est bien cela que tu attend de moi ? Un chien obéissant, comme tous les autres ? » Ses lèvres sont proches des siennes, puis l'attrape par le poignet et la retourne, face contre la porte, se plaquant contre elle, une main tirant ses cheveux, en arrière pour planter ses dents dans son cou. « Ou préfère tu que je reste tel que je suis, faire les choses à ma manière... que cela te plaise ou non ? »

L'un comme l'autre ne se laisserait jamais faire, mas c'était ca depuis le début et ce serait surement jusqu'à la fin. Trop fiers, trop forts, trop attirés l'un vers l'autre et cette fierté qu'ils ne pouvaient laisser aller. Ils ne pouvaient se montrer faible l'un a l'autre et ils n'arrivaient qu'a communiquer que de façon violence et passionnée. Lui qui normalement arrivait a prendre tout calmement, il lui arrivait a se surprendre a apprécier cette démonstration de force sur ce bout de femme qui pourrait le dévorer s'il lui montrer ne serait qu'une once de faiblesse. Le bureau tout autour d'eux vole, tourne, s'écrase, elle est ainsi, impulsive et n'aime pas le tempérament de Djal qui lui tient tête tout en lui offrant ce qu'elle désire et qu'elle ne dit pas, C'est un jeu dangereux, mais tellement excitant a la fois. Il n'était pas du genre violent ou sanguin, mais la folie de la brune semblait prendre une part dans son propre esprit, lui faisait faire ce qu'il ne ferait pourtant jamais. « Pour ton bon plaisir, je m'en occuperais moi même, mais il faudra te tenir, car je sais que ce genre de chose te rend... complètement dingue. »

Contre la porte claquée, il prend possession du corps de la brune, use de sa force pour la mettre dans la position désirée, pour la faire sienne sans pour autant aller trop loin, lui expliquant son point de vue et l'excitant, comme toujours dans ce petit jeu. Mais elle ne se laisse pas faire, ce serait trop simple, ce ne serait pas intéressant, la douleur le prend, le fait lâcher quelques instants, mais elle n'est que brève par rapport a la situation, ses pensées sont toutes ailleurs, l'adrénaline lui offre un doux moment et le sang palpite dans ses veines. Sourire perfide a ses propos, elle se colle contre lui, l'embrasse pleine d'envie et d'idée, remonte sa cuisse le long de la sienne, qu'il agrippe avec envie, plantant ses doigts dans cette peau qu'il pourrait dévorer alors que se sont ses lèvres qui se font mettre en charpie par la lionne. « Chevalier ? » Il semble presque surpris et attrape cette main qu'il ne baise pas, mais qu'il mord le doigt, le mettant entre ses lèvres, avec envie avant de la lâcher et la repousser avec violence contre la porte, créant un bruit sourd.

« Je ne me considérerais que comme un roi qui tient tête la la reine. » De son dos, il tire son poignard Kyuzo et place sa main libre sur la gorge de la brune, resserrant son emprise, laissant courir la lame sur sa joue sans pour autant la couper... descendant le long de son corps, sans jamais rien découper, ce n'était pas son genre, Néanmoins, quand la lame toucha la cuisse a nue de la brune, elle remonta finalement sous le tissus pour aller découper le sous vêtement de la brune qui termina sa chute sur le sol. Sans la lâcher du regard, il rangea l'arme, serrant toujours autant le cou, avant que sa main nouvellement libre entre les cuisses de la belle. Il l'avait assez découverte pour laisser ses doigts faire tout le travail, lui offrant ce plaisir exquis que lui seul ne pouvait lui offrir en ce moment. Un seul doigt, placé au meilleur endroit, des mouvements plus ou moins rapide et une emprise sur la reine suffit a lui rendre le souffle court, le palpitant qui s'emballe et les jambes chancelantes.

Une fois sa mission atteinte, une fois son plaisir comblé de voir le rouge sur les joues de la lieutenant, il la libéra et se léchant la main avec une diabolisme certain. « Mes hommes m'ont rapportés qu'un type, Spark , était louche depuis quelque temps. Allons lui poser... quelques questions ? » Sourire angélique sur le visage, il était prêt a partir pour la taberne ou se trouvait ce rat. « A moins que la reine n'arrive plus a tenir sur ses jambes ? »