RP ALÉATOIRE #09: CASSANDR & RAN

RP ALÉATOIRE #9
@Cassandr Kivduh &  @Ran Saavis

Même au coeur de la nuit, un brin de flocon amène un écho de couleur ; il est l'un des derniers à tomber cette saison. Le secteur sud de Theed reste intouché par ce lit blanc. Les quelques traces de l'hiver que l'on peut découvrir ne sont que des ramassis de saletés humides au bord des trottoirs ou dans les ruelles. Les souvenirs de la neige sont souvent triste, dans le secteur.  Une crasse restant coincée sous les bottes et laissant à l'occasion une odeur se glisser dans l'air. Le sud de Theed porte sa propre beauté ; les néons sont moins fabuleux que dans l'ouest, mais leur vue reste un peu plus vive que la noirceur absolue lorsque la nuit est tombée. Quelle heure est-il ? Tard, déjà.  Les cantinas se vident, les bars aussi. Certains établissements semblent encore éveillés, mais la plupart des individus quittent les lieux de débauche pour regagner leur demeure. Il ne reste que quelques heures à la nuit tout au plus ; outre le grésillement continu venant des néons et les cris - ou rires - occasionnels entendus dans les rues, l'arrondissement est calme.  
Les plus connaisseurs savent à la perfection que le ferrailleur, l'arène de combats pour droïdes et androïdes, se trouve à deux rues à peine. Le savent-ils, eux ? Ces êtres solitaires marchant dans les rues, quittant tel endroit pour rentrer chez eux, peut-être, ou aller ailleurs ?
Les rues sont calmes ; pas un porg ne s'y trouve. Pourtant, des bruits se font entendre. Plusieurs disent que le sud abrite la mort et certains jurent souvent avoir vus des corps dans les rues. D'autres n'en ont jamais vu. Mais dans l'obscurité, les frissons se glissent contre l'échine à l'entente d'un couvercle de poubelle tombant au sol, créant un lourd écho. Il y a des bruits, délicats et présents, distincts, qui s'ajoutent lentement. Des sonorités angoissantes qui, peut-être, mènent les promeneurs nocturnes à cesser le pas pour observer, curieux, ou encore à accélérer le pas. Un simple regard suffit pour voir qu'outre eux deux, il n'y a personne autour d'eux. Tandis qu'ils se toisent du regard, un autre bruit se fait encore. Il vient de la ruelle, juste là. Quelque chose se cache. Ou les observe, peut-être.

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in the night

ft. @ran saavis

un flocon se dépose sur son nez. de la cendre ? il ne saurait dire. ça dévale sur sa face, se noyant dans la peinture. il s'est peint le visage, pour cette soirée. des traits blancs immaculés qui dansent sur sa peau. les prunelles brunes dans les cieux. une étoile filante, ou peut-être un vaisseau qui s’efface dans la lumière. cassandr s’évade par moment sous le voile noir et silencieux de l’obscurité. c’est calme. les gens rêvent. les songes ne l’atteignent pas. les émotions sont en stand-by. alors il marche doucement, profitant du répit. il est si tard. bientôt, il sera tôt. les paupières se ferment un instant. il se souvient. enfant, il voyait comme l’un de ses ancêtres miralukas. la force le portait, lui offrait une vue sur tout. à travers la matière, à travers les émotions. adulte, il pourrait encore se déplacer les yeux fermés, mais ce n’est pas la même chose. c’est abîmé. parasité. ça le blesse. la gangrène d’un don pourri qui empoisonne son esprit. il secoue la tête pour oublier la mélancolie qui grimpe dans sa gorge.

l’échine frisonne. le froid se glisse sur sa peau mal couverte. simple tunique sombre, des bottines légères mal lassées, et une couronne de fleurs qui se dresse sur sa tignasse brune. ses cheveux sont détachés, se répandent dans son dos, sur ses épaules. chaotique mais d’une élégance cachée. il y a comme des fils d’argents tressés avec les mèches. reflet des étoiles. l’on ne sait jamais ce qui motive les pas de cassandr. un rêve ? une intuition ? une envie étrange ? pour être honnête, il ne sait lui-même pas, la plupart du temps. parfois il est là, au bon moment. parfois il est là, au mauvais moment.

la ruelle lui est inconnue. mais les néons colorés se reflètent dans ses pupilles intriguées. il y a un petit courant d’eau sur le côté, longeant le mur d’une bâtisse. c’est le sort des flocons innocents qui s’attardent dans les quartiers fumants de theed. ils finissent dans les bas-fonds. panique, peur, danger des émotions chaotiques viennent lui percer l'esprit presque serein. cassandr, bercé par le bruit de l’eau, se rapproche de l'épicentre et il remarque tout de suite un petit insecte, croisement d’un cafard et d’un scarabée qui se débats dans les remous. il s’accroupi rapidement, et essaye de le sauver, arrachant doucement quelques pétales de sa couronne pour lui fabriquer un radeau de sauvetage improvisé.

et il y a des bruits étranges. l’hybride n’y prête guère attention, concentré sur sa mission de sauvetage. les fantômes ne lui font pas peur. il en rêve si souvent. la moue est douce. pourtant l’ambiance est étrange. lourde. cassandr n’est définitivement pas assez inquiet.

puis, il ressent. c’est léger. mais vif. une âme s’approche.
« je crois qu’il est mort. » dit-il doucement, le deuil dans la voix et sur les traits fins. effectivement, l’insecte, posé sur le nid de pétales, ne semble pas donner signe de vie. cassandr se relève et regarde la silhouette.

d’un point de vue extérieur, cassandr avec un insecte mort dans la jonction de ses deux mains, ce n’est guère rassurant. un sorcier étrange après un sacrifice rituel.

puis, un autre bruit. cette fois, l’herboriste tourne légèrement son menton vers le virage en face.
« vous entendez ces bruits, ou c’est dans ma tête ? » encore dans ma tête, sous entendu. un peu résigné, un peu amusé. il se rapproche de l’inconnue en reculant, sans se soucier d'un quelconque espace personnel ou de son nom. il la distingue à peine entre deux battements de néons. au diable la vue parfaite des miralukas.
« vous… vous pensez que c’est un… » fantôme ? monstre ? voleur ? assassin ?
« un de ses droïdes répugnants ? » il frissonne, toujours avec le noyé dans les mains, les épaules levées. visiblement répulsé par son imagination. ses pensées se chevauchent, car après une petite réflexion, il ne ressent personne d’autres à part la jeune femme. c'est qu'il commencerait à paniquer en imaginant des petits droïdes l'attendre dans la ruelle à côté. frisson le long de son échine, à un geste de choper l'épaule de l'inconnue pour se rassurer.  

résumé:

rp aléatoire #09 ft. @Cassandr Kivduh

- luminous beings are we -

Elle était venu admirer sa défaite, goûter à son passé. Passé qu'elle a repoussé d'un coup de botte agacé. L'hippodrome n'est plus qu'un souvenir lointain. Les expressions enivrées de l'auditoire aussi. Il était vide aujourd'hui et la nostalgie avait resserré ses serres autour de son cœur. Elle n'est pas resté très longtemps, elle a fait demi-tour et la voilà dans les rues calmes de Theed, à déambuler sans but précis. Elle n'aime pas cette ville. Ça n'a pas toujours été le cas. Lorsqu'elle avait posé les pieds ici, il y a de cela sept ou huit ans, elle a admiré son architecture élégante et sa beauté. Personne ne peut le nier, Naboo a son charme. Mais maintenant il ne l'affecte plus, elle le trouve trop gracieux, trop pur. Il est hypocrite ; il digère dans ses entrailles toute sa criminalité et ses dangers. Quelle prétention. Ran a l'impression de ne plus être à sa place en son sein. Peut-être est-ce aussi à cause de l'Empire et du serment qu'elle a fait de les combattre ; sait qu'elle n'est dorénavant plus à l'abri nulle part dans cette maudite ville.

Inconsciemment, perdue dans ses pensées, elle suit le court d'eau qui serpente entre les ruelles. La base n'est pas si loin, sa chambre l'y attend confortablement. Mais cette nuit-ci elle a envie de profiter de l'air froid qui lui rappelle celui des océans de Corellia. Elle n'en raffole pas, il est très inconfortable, mais les flocons sont presque mignons.

Elle s'arrête subitement et recule de quelques pas. Il y a une silhouette accroupie et alors qu'elle recule de quelques pas elle se redresse. Je crois qu'il est mort. Elle ne voit pas de quoi il parle. Il tient quelque chose dans ses mains, mais la noirceur l'empêche de voir quoi exactement. De la ferraille non loin est renversée, elle se retourne vivement vers le bruit, surprise. Peut-être un loth-cat. Vous entendez ces bruits, ou c’est dans ma tête ? Il se rapproche dangereusement de Ran qui ne bronche pas. Ce qu'il est bizarre lui. Elle distingue enfin ce qu'il tient dans ses mains. C'est un insecte ? Il s'inquiète pour un insecte ? Elle fronce les sourcils. Un de ses droïdes répugnants ? Le terme la fait tilter. Tu dis ça alors que tu tiens un cadavre d'insecte dans tes mains, elle remarque. S'il était encore vivant il t'aurait pincé. Ce sont de p'tits monstres. Encore du bruit. Elle voit l'homme - ou whatever it is - frémir. T'inquiète, c'probablement juste un de ces satanés tookas. D'autres p'tit monstres. Lorsque le bruit devient insistant, elle prend sa petite lampe-torche qu'elle a à sa ceinture et l'allume, éclairant le visage de l'étranger. J'te conseille de pas aller les prendre dans tes mains, ils font plus de dégât. Elle ne peut s'empêcher de sourire.

Il pose une main tremblante sur son épaule et elle fige sous le geste. Alors lui, il n'a aucun concept de la bulle personnelle. Elle lance un regard courroucé vers sa main et lève la tête pour affronter les yeux un peu trop doux et surtout gorgés de peur de l'homme. Elle lève les yeux au ciel et éclaire la poubelle. T'vois ? Bah non en fait, il voit pas parce que quelque chose a disparu dans l'ombre, furtivement. Et ce quelque chose n'avait pas l'air d'un loth-cat. Elle échange un coup d'œil avec l'étranger. Impulsion soudaine : et s'il décide de le suivre ?

Il semble assez lunatique pour oser.

Résumé :

@Cassandr Kivduh &  @Ran Saavis

kraaa-a-a-a-k. kr-a-a-a-a-a-k. kraaaa-ak.
Le bruit est long, lent. Il faut tendre l'oreille pour l'entendre tandis que la chose s'éloigne lentement de la poubelle. Elle est à quelques pas, déjà. La droite ? La gauche ? Dans l'étroite ruelle, le bruit semble venir de divers endroits.
L'étrangeté est-elle seule ? Impossible de savoir.
Il faut tendre l'oreille ;
kr-kr-kr-kraaack ! kr - kr - kr
La gauche, la droite ? Non, un peu plus haut. L'escalier de secours, juste là ?
Et puis déjà :
BAM !
De l'autre côté, fort et vif. Un couvercle de poubelle tombe au sol dans l'eau ruisselante. L'éclat crasseux tâche les habits des deux aventuriers nocturnes. Si on est trop occupé à observe les dégâts, on ne voit pas.
Un peu plus loin dans l'allée, quittant un recoin sombre ; un reflet métallique, l'écho des néons usés illuminant la chose. Deux lueurs rougeâtres, sur la forme. On pourrait croire à un loth-cat, sans le moindre doute.
krkrkrkr-aaack. krkrkrkr-a-a-a--ack.
Mais la bête avance, lentement et grinçante, toute de métal faite.
La bête n'est pas de chair. Il s'agit d'un droïde dont le modèle est, sans le moindre doute, inexistant. D'où vient-il exactement ?
Si la question effleure les esprits, elle étouffe rapidement : d'autres bruits résonnent et claquent, venant d'autres directions. La créature mécanique n'est pas seule.  Deux ? Cinq ? Dix ? Impossible de savoir.


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in the night

ft. @ran saavis

le doigt vient tapoter doucement l’insecte. les prunelles vont vers la demoiselle dans l’obscurité. les sourcils se lèvent, moue boudeuse sur les lèvres rosées. ce ne sont pas des monstres pour lui. cassandr cohabitent avec tout un tas d’insectes dans sa maison, dans ses jardins de plantes, de fleurs, d’herbes. collant son épaule à celle de l’inconnu lorsqu’il imagine des saletés de droïdes les encerclant dans le noir, il se fait surprendre par la lumière, éblouissant ses prunelles brunes pendant quelques secondes. il secoue la tête, fermant ses paupières frénétiquement, essayant d’effacer cette boule blanche aveuglante. la jeune femme semble déterminée à prouver que ce n’est qu’un loth-cat qui est à l’origine du bruit.

à cette pensée, oubliant sa peur, cassandr se met à sourire. il imagine un petit chat de gouttière prêt à être caressé. puis la dame le met en garde contre ce geste, au même moment. il rapproche ses lèvres de l’insecte noyé dans ses mains, comme un enfant s’apprêtant à murmurer un secret à un ami imaginaire.
« t’entends ça, andré. elle est voyante, ou quoi. » peste-il doucement. risible lorsque l’on sait que c’est lui qui est atteint de rêves prophétiques. le problème c’est qu’il ne rêve jamais des êtres artificiels. en tout cas, il ne les voit jamais. il pose une main sur l’épaule de la femme. zéro conscience de l’espace privé, vous dit-on. elle semble résignée, même si agacée. c’est bien, c’est difficile d’expliquer à cassandr que sa conduite est étrange. il faut s’adapter, c’est tout. de toute façon il ne comprend pas les signes réfractaires que renvoit la dame suite à son toucher.

il est inquiet. elle éclaire quelque chose devant. mais cassandr ne voit rien.

puis un bruit soudain. quelque chose tombe dans l’eau derrière et les éclabousse.

l’herboriste sursaute et crie très fort dans l’oreille de la pauvre inconnue, désormais protectrice officielle de l’hybride. il vient de le décider, oui, à l’instant. un cri très aigüe. vraiment pas chevaleresque.

il se retourne instantanément. la boue dévale sur la tunique de cassandr et s’écrase sur le sol. c’est là qu’il voit deux lumières rouges.
« ah non. nononononononon. je ressens rien, je le vois pas. je vous l'avais dit. » qu’il répète inlassablement alors que la créature se rapproche. l'on pourrait croire qu'il parle de la simple vision impossible dû à la faible luminosité des lieux. mais cassandr parle de son don. de la terreur qu'il éprouve parce que cette zone d'ombre lui est inconnue. bien plus que l'aspect étrange des yeux pourpres et l'attitude étrange du droïde. les bruits de la bête sont effrayants. ça grince. et à chaque fois, cassandr veut s’évanouir. les néons crépitent. la lampe torche aussi. d’autres bruits dégoutants et métalliques apparaissent autour d’eux.

réfléchis pas, attrape un truc et jette lui dessus.

on lui dit d’agir alors il agit tout de suite. il laisse tomber le cadavre d’andré à ses pieds et il arrache des mains la lampe torche de sa nouvelle amie d’infortune et la jette sur le droïde louche qui se rapproche.

la seule source sûre de lumière, oui.
ce n’était pas un move très intelligent, non.
et il ne sait pas s'il a touché, énervé, assommé la bête parce qu'il ferme les yeux aussitôt la lampe jetée. cassandr n'ayant pas spécialement de force, la bête droïde aux yeux écarlates ne doit pas être très abîmée. probablement.
la torche à terre éclaire cependant le droïde, pleinement dans la lumière à présent et l'escalier de secours d'à côté. une ombre monstrueuse sur le mur.

en réalité rien ne montre un signe d'agressivité particulier de la part du droïde. mais cassandr est persuadé que sa vie est en jeu.

et il n’a aucun instinct de survie. pardonnez-le. il finit par attraper la main de la femme dont il ne connait toujours pas le nom et niche son visage contre son épaule, étouffant un reniflement sur la veste. c’est sa plus grande peur qu’il a sous les yeux. il tremble. il est terrifié. c’est son cauchemar. mourir dans une ruelle à cause de ces satanés robots. il veut s'enfuir. mais il entend des échos dans toutes les directions.
« je veux pas finir comme andré, aide-moi. » dit-il les larmes montant à ses yeux.
il se détache de la femme, peu à peu, mais reste accroché à sa manche. il tire dessus pour lui faire signe qu'il faut s'en aller vite. crasse et terreur

résumé:

@Cassandr Kivduh &  @Ran Saavis

Sous l'impact de la lampe torche, la créature recule d'un moindre pas. Le métal grince dans la nuit, délicat et pourtant, lourd. Le bruit fait des échos dans la ruelle ; si nombreux ne l'entendent pas, les deux individus le sentent pourtant résonner dans leurs os.
Il y a quelque chose de dérangeant dans la sonorité.
kraaa-a-a-a-k. kr-a-a-a-a-a-k. kraaaa-ak.
La bête métallique ne parait pas affolée. Le regard est vif, le rouge presque hypnotisant tandis qu'elle tourne la tête, lentement, pour observer l'objet se trouvant sur le sol. Distraite un moindre instant ; elle apprend, étudie, observe. Puis, l'instant suivant, les deux billes se posent sur eux de nouveau.
kr-kr-kr-kraaack ! kr - kr - kr
Le bruit vient d'ailleurs, de plus loin. Les autres bêtes d'acier sont proches, cachées encore dans l'obscurité.
pew
Le blaster hurle, dans la nuit. Le son est discret, caché par l'écho qu'il produit en atteignant le métal du loth-cat. Cette fois-ci, il recule de plusieurs pas. L'une des pattes est atteinte et le bruit est difforme quand il se déplace, grinçant plus qu'avant.
krkrkrkr-aaack. krkrkrkr-a-a-a--ack.
Le bruit résonne encore, s'approche. Il faut plisser les yeux, un peu. Le coup de blaster a attiré les autres bêtes. Combien sont-elles ? Comment sont-elles programmées, pour quelles raisons ? Le son résonne encore, s'approche.
Un néon s'allume, au loin. Il clignote depuis un moment déjà, ne reste allumé que de moindres secondes. Cette fois-ci, pendant le peu de vie qu'il possède, il éclaire ce qui s'approche à une vitesse affolante.
L'attaque n'a pas été appréciée.

1-2 : Il s'agit d'un droïde Varactyl .
3-4 : Il s'agit de deux droïdes Ysalamir.
5-6 : Il s'agit de cinq droïdes Ewok.
7-8 : Il s'agit de trois droïdes Vulptex.
9-10 : Il s'agit d'une dizaine de droïdes Porg.

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