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| | forever haunting the back of the common day
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| - Hadassah Meron -
A NEW HOPE
doublures : el chico tadjedine bb faciès et crédits : brit marling ; 1er juin
labeur : ingénieure aérospatiale pour le first order depuis l'an - 2 puis pour l'empire à dater de son règne; il est de notoriété publique cependant qu'elle prête ses talents à la réparation de vaisseaux. dans les boyaux de l'empire, bien cachée des institutions, elle laisse la force s'épanouir en elle, devient sith, pas à pas. origines : hoth, celle qui tremble myocarde : petit lieu de culte, jardin de genèse
rps et disponibilité : (close) rhil; eden; eon
THE DARK SIDE
| (#) Sujet: forever haunting the back of the common day Sam 24 Oct - 2:32 | |
| hadassah meron ft. victoria pedretti | |
- the final frontier -
| identification required nom et prénoms : hadassah parvin meron trigger warnings : embardées lyriques; violence cathartique; dépression chronique âge : vingt-huit ans planète d'origine : hoth lieu de vie : un petit appartement délétère en banlieue de theed pour quelques nuits par mois passées dans les entrailles de l'étoile de la mort statut marital : moisissure aux coins des artères sur un cœur jamais ouvert profession : ingénieure aérospatiale; les nuits s'égrainent sous les mathématiques, le lyrisme de la physique. Le bruit blanc des machines dans les paysages interstellaires suffisent au regard pour que le temps ne se fige pas caractère : elle se soustrait à chaque présence; s'éteint sous les œillades; s'abime au sein des colloques; s'épuise à la conversation et s'érige alors contre elle la plus grande de ses faiblesse, celle de l'autre qui la dévore. Elle sent des odeurs de fantômes, des odeurs de papiers oubliés dans la poussière, des odeurs ternes, des odeurs de rien. Il n'y a pas de mots aimables dessinés sur le mont de ses lèvres, pas de commissure bordées par un sourire. Et dans le vacarme de ses silence hennissent les rancunes, les frustrations et sous sa plume les gerbes intellectuelles, les chiffres, les formules, le projet des nuits qui s'étirent et s'étirent. Pourtant s'est enraciné, quelque-part dans son ventre, un morceau d'émerveillement, une joie mutine et bécasse pour de petits riens qui trouvent grâce à cette charpente qui ne se construit que sur le quantifiable, le vérifié, le formulable. groupe : dictum perception des androïdes : lorsqu'il s'agit des circuits à coordonner, de trajectoires à planifier, elle préfère avoir sous les yeux un androïde empirique dont la précision n'a pas d'égal mais les usages récréatifs et personnels ne la convainquent pas que cherches-tu plus que tout ? résoudre le problème de la mesure quantique probablement |
in a galaxy far far away... an - vingt-trois / trois mois elle est si jolie. si jolie dans les yeux de cet homme, si pourpre sous les rideaux blancs qui n'en finissent plus de leur coller des petits baisers de givre sur les joues. elle est si jolie enveloppée dans la grossièreté du chanvre, ensevelie sous la chaleur des bras paternels. il fait beaucoup ça. observer la miniature, étreindre ce petit écrin de bonheur dans les débris. la chérir comme une mère, y trouver dans son regard sans humeur les restes de celle qui est partie en lui offrant sa chair. il la voit dans ses yeux, il la devine dans ses mains en devenir et il sait, pourtant, que ses fantasmes ne sont que ça. des désirs, des relents, des ressacs brutaux de ce que la vie avait été, avant. avant les amants n'étaient que des amants, les amoureux des amoureux, des fous simplement des fous. il se souvient bien de cette aventure qui a commencé à grossir entre les organes de celle qu'il avait aimé - qu'il aimait toujours. il se souvient des sourires, des regards nocturnes, du bout de ses propres doigts qui courent, grimpent, jouent sur le mont de son ventre rond. il se souvient, et se souviendrait de tout, du jour où la minuscule créature lui a été remis entre ses bras patriciens, où son cœur s'est écrasé dans sa gorge, écroulé dans son bouquet d'entrailles, brisé quelque-part pour n'être qu'à moitié remis sur artères après le départ brutal de celle qui s'était fondue en son être jusqu'à y creuser toute sa vie. mais il serait tellement fort, tellement fort pour regarder cet enfant devenir. offrir autre chose que les cadavres des vaisseaux qui s'érigent en montagnes, la glace, l'horizon funèbre, les claquements de dents des corps célestes qui s'écroulent. an - huit/ quinze ans il arrive, les nuits les plus froides de l'année, lorsque le jour s'étiole, une petite grâce silencieuse. c'est au sommet d'un destroyer dont personne ne connait l'histoire qu'hadassah étale son corps adolescent dans le manteau de son père, le pied bien imbriqué contre le verre de ce qui avait été une des fenêtres du vaisseau. la glace a momifié la ferraille, n'en reste qu'un géant crevé dont on ne fera plus jamais rien. ici, au milieu de nulle part, dans le mutisme de l'hiver, paresse, s'étire et se déploie oisive une aurore. si son père lui avait appris tous les atomismes de ces phénomènes, il lui avait aussi assuré qu'ils se contemplaient mieux seul pour ne rien perdre de ce qu'ils avaient à offrir. on s'ouvre plus, sans présence. le petit noyau d'êtres humains n'a aucune prétention, sinon de s'assurer une vie meilleure sur naboo dont la surface ne se constelle pas de pluies de roches, où le cerveau si bien disposé de la gamine servira à autre chose que de flanquer ses mains dans de vielles machines pour en retirer les mécanismes les plus précieux. ici les jours ne comptent plus, il s'agit d'attendre que le temps ne passe, rythmé par les débris du ciel que dégueulent les victoires et les défaites d'un camp ou d'un autre. il y a un avenir, là bas sur naboo, qu'il disait. il y a un avenir pour toi, une grandeur pour toi, une vie pour toi. moi j'appartiens à hoth, c'est aussi ce qu'il racontait. j'appartiens à hoth, parce-que c'est ici que rampe le souvenir de ta mère. il n'aurait jamais supporté un voyage, ce vieil homme avec ces jambes en broc qu'elle avait confectionnées, réparées, tant de fois. les boulons de ses genoux sursautent toujours un peu tant ils sont rouillés. ses tendons grincent et se coincent, tout ce petit microcosme de métal fragile le condamne à marcher toujours derrière. un jour je reviendrai. je reviendrai avec des jambes neuves pour toi. c'est ce qu'elle a promis, avant de le laisser derrière elle. elle n'a jamais jeté un regard par dessus son épaule. pas la force de croiser le regard de celui qu'elle ne reverrait pas - peut-être qu'au fond, elle le savait déjà. an zéro / vingt-trois ans ce jour là avait été calme. elle s'en souvenait parce-qu'il faisait gris malgré la saison. trois ans plus tôt, elle avait posé pour la première fois un pied dans l'immense station spatiale. pour la première fois, à se faire écraser les épaules par stormtroopers et diligents, elle était tombée amoureuse. l'océan de circuits coulait comme des veines dans cet immense vaisseau, palpitait pour le faire marcher, et toutes ces petites molécules, ces interstices, ces désordres, elle les connaissait. le bruit des machines étaient ses poèmes, le silence de l'espace ses plus beaux accords. ce jour là elle s'en souvenait. il faisait gris et elle n'était pas montée au sein de l'étoile noire depuis des semaines. ce fut aussi le jour où quintus s'éteignit. dans son lit, de se belle mort, il avait entendu un petit rire, un petit souffle, une petite plume contre sa tempe. un beau souvenir comme une baiser, et il s'était endormi. pardon hadassah, il n'avait pas pensé à toi, trop heureux de retrouver la fiancée délaissée depuis vingt trois ans. la victoire avait été annoncée en de grands coups d'éclats, mais quintus n'avait plus jamais répondu à ses appels. en prétextant la guerre, il n'avait pas voulu qu'elle revienne. ses jambes étaient restées emballées dans des linges propres, contre son lit. ses meilleurs prototypes. quintus avait adoré en hologramme, mais c'était trop tôt. ne viens pas il avait dit. je t'attendrai. sans le propriétaire à qui elles étaient destinées, ses créations ne servaient à rien. hadassah aurait déplacé des montagnes pour ce père. ce jour là, elle les avait écrasées contre les murs. tu veux crever, alors crève. l'objectif disparu, elle avait voué une allégeance toute azimute à l'empire. l'étoile de la mort, son fief. le seul repère dans lequel elle souriait. on lui faisait confiance parce-qu'elle faisait partie du décor, peu habilitée à s'imprimer dans les mémoires de ses interlocuteurs. certes elle était belle, mais belle comme une colchique sous les ronces. on retenait son travail, jamais son nom ni son visage - et c'était bien le plus important. an cinq / vingt-huit ans dans cet appartement, il n'y a qu'un lit - toujours défait. une vasque pour cuisine, et une douche dans la seule pièce séparée. les murs sont un tableau de chiffres. des formules ici, des réflexions par là. des papiers épinglés lorsqu'il n'y a plus de place pour écrire. elle a ses folies là, surtout la nuit lorsque son cerveau ne dort pas. écrire, écrire, écrire, formuler, tracer de grosses boucles d'équations, barbouiller son intérieur en de gros bouquets de solutions. hadassah est seule, mais elle ne rêve pas de l'autre. le bruit de la rue lui suffit bien, les formalités de ses supérieurs sont assez pour une personnalité aussi vaporeuse. parfois elle rêve de ce que la force lui aurait apporté - ah ! quel genre de vie aurait elle menée ? aurait elle été douée pour supporter ce poids ? aurait elle connu autre chose, aurait elle sauvé son père de sa propre misère ? de lui ne reste qu'une petite photo. il avait été enterré quelque-part près de leur maison, hadassah ne lui a jamais dit adieu. c'est un goût difficile à avaler, l'amertume. ça reste collé entre les dents et grince sur le palais. si ce n'était pas pour lui, elle aurait oublié ce qu'est la chaleur d'un regard qui aime. pour le moment, elle est accroupie sur sa montagne de duvets. il y a cette donnée qu'on lui a envoyé à étudier, cette singularité dans le ventre d'un trou noir, elle sait qu'elle y consacrera sa nuit avant d'enfiler les bottes de circonstance pour se présenter sur le vaisseau amiral. derrière la fenêtre, naboo dort. against the dying of the light COMMENT TA VIE A-T-ELLE CHANGÉ AVEC L'AN 0 ET LA CRÉATION DE L'EMPIRE ? le jour de la victoire fut le jour de la démission du capcom de la station spatiale de l'empire. le pauvre bonhomme avait mal coordonné ses données, par chance aucun dégât n'avait été recensé. hadassah avait assisté à ce petit cataclysme. un protocole immense pour pas grand chose, mais elle était bien placée pour savoir qu'une erreur souvent faisait tomber l'entière structure. la semaine qui suivit engagea une refonte pour ceux qui chapotaient dans l'ombre, et l'ingénieur qui la supervisait fut remercié sans zèle de grâce. elle fut nouvellement responsable du squelette de la machine, le changement ne fut pas spectaculaire sinon qu'elle ne fut plus entravée par les écueils d'un responsable qui ne la portait pas dans son cœur. aujourd'hui lorsqu'elle s'éveille, le visage de quintus ne lui vient plus. à peine est-ce une forme qui reste, un sentiment qui l'étreint. aujourd'hui il y l'idée d'un empire, plus grand que n'importe quel seigneur, n'importe quel vaisseau, n'importe quelle maîtrise. l'idée appartient à l'intelligence commune, elle se forme et se déforme, est grandiose par essence. hadassah œuvre, elle œuvre lentement, elle œuvre en silence, pour de tout petits riens, sans tricher, sans escarmouches et sans esbrouffes. elle fait partie de ces nombreuses ramifications, celles que l'on ne voit pas et ne soupçonne pas. end of transmission pseudo/prénom : gévaudan âge et région du monde : france comment nous as-tu as connus : en naviguant personnage inventé ou scénario : personnage inventé fréquence de connexion : activité assez chronophage, je ne peux rien promettre veux-tu d'un parrain ? vous serez tous mes parrains première impression sur le forum : je me suis évanouie suggestions : crédits : ultraviolence et bloodybaronn. | |
Dernière édition par Hadassah Meron le Lun 26 Oct - 22:07, édité 40 fois |
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labeur : ingénieure aérospatiale pour le first order depuis l'an - 2 puis pour l'empire à dater de son règne; il est de notoriété publique cependant qu'elle prête ses talents à la réparation de vaisseaux. dans les boyaux de l'empire, bien cachée des institutions, elle laisse la force s'épanouir en elle, devient sith, pas à pas. origines : hoth, celle qui tremble myocarde : petit lieu de culte, jardin de genèse
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| (#) Sujet: Re: forever haunting the back of the common day Sam 24 Oct - 2:33 | |
| - the journey starts here - → if one does one's solitude right, this is the prize. "il l'ont largué hier soir, c'est un simple croiseur, mais regarde ce que j'en ai tiré, le disjoncteur est intact, si j'en retire les ci-" "hada, hada... calme toi." un sourire flotte entre les rides du vieillard. "je commence à être dépassé par ton enthousiasme." son regard s'épuise un peu, il a déjà beaucoup trafiqué aujourd'hui à calmer la gamine. "tiens, voilà de quoi te faire sourire un peu plus que tes prototypes. c'est arrivé lorsque tu étais sortie. marns me l'a apporté, aussi tu iras la remercier avant le dîner." le rouleau de papier passe d'une main à une autre, plus jeune. "une réponse de naboo ?" c'est une question à son orgueil, mais quintus en balaie la riposte d'une petite risée. "voilà qui t'a coupé le chiquet." il y a des accents de fébrilité qui se muent dans les regards. dans la missive, l'académie aérospatiale. dans la missive, un regard vers l'avenir. ou peut-être pas. "je suis reçue." ce n'est pas un éclat de joie. ce n'est pas un éclat du tout. c'est même plutôt une encre qui vient de s'écraser contre sa trogne, et elle s'affale, cul sur la table. "je ne suis pas obligée d'y aller, papa." il y a un silence et celui-ci n'était pas d'or. ici la vie ne ressemble qu'à de petits cycles, des boucles qui se répètent et se répète dans la même ligne de vie. ici l'on tourne en rond, et les souvenirs languides se tassent sous le même triste prisme. hadassah a des fulgurances, mais c'est une enfant sauvage élevée parmi les machines. ici il n'y a pas de vie, sinon celle qui s'y est parasitée. "il n'y a plus rien pour toi ici, hadassah. tu n'as connu que moi et ce fut mon erreur. ta vie est sur naboo." elle coupe. "ma vie... est avec toi." "que feras-tu alors, une fois que je serai parti ? revendras tu le métal à des contrebandes pour te nourrir ? mendieras-tu ? te contenteras-tu de bricoler tes petites machineries qui ne resteront rien de plus que des prototypes ? allons hadassah, si tu n'as pas d'ambition pour toi, aies en au moins pour moi !" la diatribe trouve sa cible. la colère est blanche, et entre ses doigts élégants le papier se froisse d'être serré si fort. ça sent déjà le cadavre. ces deux là savent que lorsqu'ils se sépareront ce sera pour la toute dernière fois. la fureur naissante s'éteint lorsque leurs regards se croisent. des yeux patriarches, il y a de grosses larmes qui s'égrainent et sillonnent entre les rides. alors, avec une douceur de reine, la fille prend le visage de son père en coupe et en essuie les larmes de ses pouces. elle dit je t'aime, mais elle le dit avec les yeux. il n'y a jamais eu meilleur parent au monde. jamais meilleur ami. les fâcheries ne sont rien que des mots d'amour. il n'y a pas de colère entre eux, juste un au revoir. et celui-ci, quand il murmure, se prononce adieu. | |
Dernière édition par Hadassah Meron le Ven 30 Oct - 10:07, édité 7 fois |
| | | - Hadassah Meron -
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| (#) Sujet: Re: forever haunting the back of the common day Sam 24 Oct - 2:35 | |
| les bottinspour le bottin des avatars - Code:
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<bb>victoria pedretti</bb> • @"hadassah meron" le bottin des postes ou emploistheed et l'étoile noire - Code:
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<b>ingénieure aérospatiale</b> • @"hadassah meron" le faceclaim - Code:
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<a href="URL DE FICHE DE PRESENTATION"> <div class="grid-item thing thing thing"> <div class="name"> HADASSAH MERON </div> <img src="https://images2.imgbox.com/b2/43/UnDH5kq8_o.png" class="cropper"> <div class="info"> 28 ANS | INGENIEURE AEROSPATIALE <br> FC: VICTORIA PEDRETTI<br> CRÉDITS : GIRLS<br> </div> </div> </a>
Dernière édition par Hadassah Meron le Dim 25 Oct - 14:52, édité 2 fois |
| | | - Invité -
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| (#) Sujet: Re: forever haunting the back of the common day Sam 24 Oct - 11:41 | |
| Aaaaaaaaaaah l'empire Hâte d'en lire plus pour venir gratter un lien Bienvenue avec ce magnifique fc |
| | | - Hadassah Meron -
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| (#) Sujet: Re: forever haunting the back of the common day Sam 24 Oct - 12:23 | |
| Uriel il est clair que je n'allais pas laisser filer un lien entre ta terreur et Hadassah Merci pour ton accueil bg, j'essaie de ne pas procrastiner |
| | | - Invité -
THE DARK SIDE
| | | | - Invité -
THE DARK SIDE
| (#) Sujet: Re: forever haunting the back of the common day Sam 24 Oct - 13:38 | |
| victoria ta plume est super jolie, j'ai hâte d'en apprendre plus sur ton perso entre impériaux on risque de se croiser ! bienvenue officiellement |
| | | - Invité -
THE DARK SIDE
| (#) Sujet: Re: forever haunting the back of the common day Sam 24 Oct - 13:40 | |
| krkrkr entre ta plume, le métier de hadassah et ce visage, je suis littéralement f a n ca fait tellement plaisir de te voir ici love si tu as besoin de quoi que ce soit n'hésite pas encore bienvenue à la maison |
| | | - Hadassah Meron -
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THE DARK SIDE
| (#) Sujet: Re: forever haunting the back of the common day Sam 24 Oct - 14:30 | |
| @aldebaran déjà je suis en amour sur le prénom voilà allons parler de la constellation du taureau toi et moi merci beaucoup pour ton accueil ! @shireen ton avatar olalaaa j'espère qu'on va se croiser merci pour le compliment @remus petit sucre merci x100 pour ton accueil encore une fois, je vais envahir tes dm donc laisse pas trop la porte ouverte |
| | | - Invité -
THE DARK SIDE
| | | | - Hadassah Meron -
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| (#) Sujet: Re: forever haunting the back of the common day Sam 24 Oct - 16:01 | |
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| | | - Invité -
THE DARK SIDE
| (#) Sujet: Re: forever haunting the back of the common day Sam 24 Oct - 20:39 | |
| Victoria!!! me suis bingewatch The Haunting of Bly House en trois jours.En ingénieure sur l'Etoile de la Mort en plus! Hâte de voir la suite!!! Bienvenue! |
| | | - Horion Kriss -
A NEW HOPE
faciès et crédits : Domhnall Gleeson + andthereisawoman
labeur : Chevalier Jedi, Espion de l'alliance Rebelle, Lieutenant Ingénieur Empire myocarde : Définitivement Aziel, mais l'amour c'est toujours compliqué
rps et disponibilité : - I want you Back - Feat Remus and Azazel
- when it's time (please don't leave me) - Aziel
- Don't give up - Aldebaran
- The Rythme of the Day - Cassian
- The only way of loving me baby Is to pay a lovely fee - Arcturus
- rp commun 1 : la course pour l'empire
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doublures : aziel osrick, kael kestas, evi tah'han faciès et crédits : tom holland - manuela, texte dans la sign: lisel mueller
labeur : androïde personnel de Tadjedine Shaetris origines : Il a été créé durant l'année 2 par Mendeleïev Robotics - androïde de deuxième génération myocarde : Muscle du cœur assurant, par sa contractilité et son élasticité, la vidange et le remplissage des cavités cardiaques et donc la circulation sanguine.
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| | | | - Invité -
THE DARK SIDE
| (#) Sujet: Re: forever haunting the back of the common day Jeu 29 Oct - 13:12 | |
| OMG VICTORIA j'aime beaucoup trop cette meuf puis j'aime trop ta plume bienvenuuue ! garde-moi une place dans tes liens |
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| (#) Sujet: Re: forever haunting the back of the common day | |
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| | | | forever haunting the back of the common day | |
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