RP ALÉATOIRE #05: AARON, EDEN & SAN

Il y a un murmure dans l'univers ; un appel de la Force qui se fait sentir depuis des mois, des années maintenant. Il faut être attentif pour l'entendre, pour le suivre et se laisser guider par le chemin tracé. L'appel a été entendu, dernièrement. Par divers horizons, des êtres sensibles à la Force ont suivi le sentier étrange pour se rendre en ces lieux ; c'est Atlan et son dangereux champ d'astéroïdes, couverture protectrice - qui les accueille. Certes, nombreux membres de l'Empire savent le chemin à emprunter au travers des météores, mais celui présent à l'instant, écoutant l'appel, s'y trouve pour la première fois. Le vaisseau est donc endommagé et l'espoir de le faire décoller de nouveau reste moindre. Les Jedi, quant à eux, ont pu miser sur l'expérience du plus vieux ; certes les dernières minutes du voyage ont été mouvementées, mais le vaisseau reste dans un état acceptable.
Il y a une aura terne, sur Atlan. Minée par l'Empire pour ses ressources depuis quelques années, les arbres sont moindres nombreux, comme les animaux, et les somptueux cristaux ont perdu de leur grandeur. La Force possède pourtant un bourdonnement puissant, autour d'eux. Un murmure délicat traversant le corps des trois aventuriers.
Pour l'heure, chacun camp ignore la présence de l'autre, mais la pensée reste présente dans les esprits : un appel si puissant sera entendu par d'autres. Il faut trouver alors, et rapidement. Trouver l'origine de ce susurre. C'est à proximité des décombres de l'ancienne capitale, Eywa, que les pas mènent. Souvenirs du passé, les bâtiments aux allures antiques et sacrées possèdent une étrange aura. Mais il faudra d'abord apercevoir la présence du camp adverse. Qu'est le plus important ? Vaincre l'ennemi ou suivre l'appel de la Force ?

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RP ALÉATOIRE #05: AARON, EDEN & SAN

- Cantina -

C'est l'appel de la Force et une mission donnée par l'Empire qui pousse Eden à prendre un vaisseau et à se rendre sur Atlan. Province reculée, brisée désormais, le champ d'astéroïdes qui planent autours de la géante rend le voyage difficile et Eden ne peut maîtriser suffisamment le véhicule. Endommagé, inutilisable, l'ancien padawan sort des tonnes de métal fumant, un paquetage sur ton dos, prêt à suivre le chemin que lui tend la Force. Parce que oui, il entend toujours le champs, de plus en plus fort. l'atmosphère ici et lourde, emplie de peur et de souffrance. Eden peut presque entendre les cris et sentir le goût de la mort sur ses lèvres.

Le jeune avance, il marche, longtemps il s'épuise. Il sent une présence, lointaine mais dont les pas se rapproches également du même but. Certainement pas l'Empire, peut-être des Jedi ? Eden les hait, pour l'avoir laissé pourrir en esclavage, avoir provoqué la mort de son maître. Son but est de trouvé le murmure en premier alors il accélère la cadence. Le murmure devient un chant qui devient presque un cris dans sa tête. Cela lui fait presque mal et il ne peut s'empêcher de serrer les paupières, pressant ses paumes contre ses orbites, en espérant faire partir la douleur. C'est proche désormais alors qu'il pénètre dans des ruines célestes. Le lieu est important, l'ancien padawan le sent. Ici a été un haut lieu de culture, certainement un centre culturel, peut-être un ancien temple pour des utilisateurs de Forces ? Le chemin est escarpé, jonché de pierres brisées et de gravats, teinté par du métal. Le lieu est piégé, surement, piégé par la nature, piégé par les anciennes constructions et piégé par l'ennemi. Pourtant Eden avance encore jusqu'à ce qu'il entende des voix humaines à quelques centaines de mètres. La Force lui murmure de plus en plus d'avertissement. L'apprenti Sith tente de faire le vide dans son esprit mais les émotions bouillonnantes l'en empêchent. Que faire ? Affronter ou se dérober encore une fois ?

De 1 à 3 : Eden marche droit vers l'ennemi, ils le repèrent avant lui. Eden ne peut se cacher et il est à la merci de l'autre camps.
De 4 à 6 : Eden surprend l'ennemi, sa présence est camouflée dans la Force, il a l'effet de surprise. Cependant il préfère observer et révèle enfin sa présence.
De 7 à 9 : Les deux camps se font faces en même temps, surpris, ils se découvrent.
10 : Eden déclenche un piège, forçant les deux camps au milieu des ruines à faire face à un cercle enflammé.

L'ancien Padawan s'approche à pas lent, le regard fixe, la méfiance se lit dans la tension de ses membres.

- Jedi, crache t-il. Ce territoire appartient à l'Empire. Vous n'avez pas d'autorisation pour vous trouvez ici.

Résumé:

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- kill me already -

Il n’aime pas quitter la base, peu importe les ordres et l’appel de la Force. Quitter Saida est un crève-cœur, quand bien même elle a obstinément refusé de lui dire au revoir. Il n’arrive pas à se tirer l’idée de la tête qu’en la laissant seule, même dans un environnement aussi sécurisé que Cassiopeia, il court le risque de ne pas la retrouver à son retour. L’angoisse est toujours présente, au creux de lui, depuis qu’il a perdu Tintin et les petits ewoks dont ils s’occupaient. Sa concentration est mise à rude épreuve, sur chaque mission, tant ses pensées sont parasitées par la peur que quelque chose tourne mal pendant qu’il est absent. Il se demande pourquoi il a été choisi pour celle-ci, d’ailleurs, à croire qu’ils ont tiré au sort plutôt que de réfléchir aux compétences idéales pour répondre à cet appel mystique. Non pas que maître Fenrir soit incompétent, il ne manquerait pas de respect à son aîné de la sorte, mais il est certain qu’ils auraient pu trouver un padawan plus à même de le seconder. Quelqu’un capable de piloter, par exemple. Parce que San, à part enclencher le pilotage automatique et l’hypervitesse – et cela seulement grâce à l’aimable explication d’un pilote juste avant qu’ils ne partent –, il n’y connaît rien. Et c’est avec la mine déconfite et la nette impression qu’il ne reverra jamais sa fille adoptive qu’il accueille le champ d’astéroïdes devant ses yeux. Il ignorait que c’était une mission suicide.
Heureusement, maître Fenrir est là pour le tirer de sa torpeur, face aux clignotements alarmants sur le tableau de bord. Et c’est miraculeusement, d’interminables minutes à se faire brinquebaler entre les astéroïdes plus tard, qu’il parvient à faire atterrir le vaisseau sans trop de casse sur la planète désolée. Miraculeusement ou plutôt grâce à la maîtrise et le sang-froid du jedi qui l’accompagne. Nul doute qu’il aurait déjà accepté la mort, s’il avait été seul. Il lui semble que le murmure de la Force a pris place dans son être, et il ne peut s’empêcher de frissonner face aux paysages dévastés et à l’aura lugubre qui règne en ces lieux. Il imagine Endor, subissant le même sort ; cela fait tant d’années qu’il n’y est pas retourné, l’Empire a très bien pu… Il ne veut pas y penser. Les ruines qui les entourent bientôt paraissent abriter cet étrange murmure, et San en vient à souhaiter qu’il se taise, à maudire ceux qui l’ont envoyé ici et toute son existence en passant. S’il avait pu naître sans être sensible à la Force, il ne serait pas là aujourd’hui. Il retient les soupirs dans sa gorge, pourtant, ce n’est pas le moment de faire preuve de mauvaise volonté s’il veut rentrer en un seul morceau à la base. Une autre présence, sur une planète colonisée par l’Empire, a peu de chances d’être amicale.
L’autre présence met peu de temps à se manifester ; sans doute est-ce le destin, San n’en sait trop rien, mais son cœur se serre douloureusement dans sa poitrine lorsque ses yeux se posent sur le visage du nouveau venu. Aux ordres de l’Empire, à en croire les paroles qui viennent de franchir ses lèvres. Maître Fenrir s’incline déjà, mais San demeure figé sur place. Cela fait sept ans. Sept ans qu’Eden a disparu avec son maître, peu avant l’avènement de l’Empire, et pourtant il jurerait que ce sont ses traits, sur ce visage hostile. Maître Fenrir, c’est, hm… Il lance un bref coup d’œil au jeune homme. C’était ? Un padawan. Nous étions ensemble à l’Académie. Il se retourne vers lui, doucement, s’approche d’un pas. Eden, tu te souviens de moi ? San sait que l’Empire a parfois recours à la manipulation des esprits, pour arriver à ses fins. Peut-être qu’Eden est totalement rallié à leur cause, à présent. On leur avait dit qu’ils étaient sûrement morts durant leur mission, et maître Karaal l’avait dissuadé de se lancer dans des recherches qu’il n’aurait su mener à bien, vu son manque de discipline à l’époque.

Résumé:

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- Cantina -

Les deux silhouettes se rapprochaient dangereusement des ruines en poussières sur lesquelles se tenaient le jeune Eden, sur ses gardes, prêt à attaquer au moindre faux mouvement. Il ne se sentait clairement pas en sécurité. Bien sûr, il s’était potentiellement attendu à de la résistance ou bien qu’ils soient plusieurs sur le coup mais pas à des Jedi. Des chasseurs de primes à la limite lui auraient paru beaucoup plus familier. Eden plissait des yeux, tentant de scanner les silhouettes, ces gens étaient peut-être des anciens professeurs ou camarades au vu de sa chance incommensurable qui semblait le poursuivre. Un maître âgé semblait accompagné un plus jeune qui ressemblait vaguement à un padawan mais surtout à une silhouette qu’il connaissait bien. Pas ça, Eden ferma les yeux de toutes ses forces, souhaitant que tout disparaisse et qu’il se retrouve dans son lit, sur la base impériale à attendre le bourdonnement tintant de son alarme du matin. Malheureusement les quelques brises qui lui fouettent le visage lui avouaient qu’il était bien en mission, seul, sans aucune escouade pour le seconder et surtout face à un ancien ami qu’il n’aurait jamais cru revoir. Une pointe de douleur lui serra le cœur, le ramenant à une époque qu’il préfère oublier malgré le travail difficile avec son thérapeute pour faire face à son stress post-traumatique. Les yeux à nouveau ouverts, finalement il s’avança vers la silhouette plus âgée qui professait déjà les discours habituels des Jedi, discours bien évidemment hypocrite et fait pour endormir l’ennemi afin de frapper plus fort.

- Il n’y a pas d’ignorance il y a la connaissance, je connais votre mantra Jedi. Je connais vos mots hypocrite, votre suffisance et votre condescendance. Je n’ai pas besoin d'une escouade de stormtrooper pour me défendre. Vous êtes en des Terres Impériales, tout ce que vous trouverez ici sera considéré comme du vol et cela ne restera pas impuni aux yeux de l’Empire. Vous croyez m’intimider ? Je connais les vieux hommes comme vous, perfides et vicieux, attendant juste que je baisse ma garde. C’est le Conseil qui vous envoie ? Dîtes leur que c’est trop tard, je suis déjà libéré et sans eux.

Le jeune homme sentait les émotions qui lui montaient à la gorge, le côté obscur semblait flamber autour de lui mais pourtant, comme à son habitude, il demeurait encore bien trop de lumière pour le saisir complètement. Eden était un véritable échec, que se soit en tant qu’ancien padawan mais aussi apprenti sith. Il serra les poings, prenant en main son sabre laser jaune, le pouce posé sur le bouton d’enclanchement de la lame orange. Son cristal ne saignait toujours pas, un reproche de plus de son maître, parce qu’Eden avait été foutrement incapable de tuer le moindre adversaire de sang froid. Il haïssait ce côté-là de lui, cette empathie, cette générosité mais il ne pourrait jamais la chasser, pas encore, peut-être jamais. Il était fait ainsi malheureusement et cela jouait actuellement en sa défaveur face à des adversaires qui seraient bien plus forts à deux que lui seul. Ce à quoi il ne s’attendait pas, c’est la silhouette de San qui s'avança vers lui, se tenant dangereusement proche. Cependant, contrairement aux autres fois, il ne se sentait pas tant que ça en insécurité. Revoir ce visage familier lui paraissait impossible et pourtant, il n’avait qu’une seule envie c’était de courir dans ses bras. Son ami lui manquait beaucoup au fil du temps et il s’était souvent demandé s’il avait survécu à la Purge. Il en avait la preuve, devant ses yeux.

- San ? Je...je croyais que tu étais mort. Eden s’approcha d’un pas de plus, se tenant désormais à moins d’un mètre du padawan. Tu...tu as survécu..Je… . Alors même qu’il osait prononcer quelques phrases auxquelles il avait tant réfléchi, un grondement sourd se fit entendre. Le sol tremblait légèrement sous ses pieds. Merde, ce n’était pas prévu et il n’avait rien senti dans la Force, beaucoup trop concentré sur son ami réapparu soudainement.

Résumé:

RP ALÉATOIRE #05: AARON, EDEN & SAN

- kill me already -

Il y a quelque chose de désagréable à se retrouver dans pareille situation, au milieu d’une joute verbale entre un ami que l’on croyait disparu et un homme que l’on connaît à peine mais à qui on doit le plus grand des respects. San a cette sensation déplaisante de ne pas être à sa place, d’être de trop. Il n’a jamais eu la parole facile, il n’arrive à discuter librement qu’avec de rares personnes qui en savent sans doute plus sur lui que lui-même. Il veut seulement rentrer à la base. Avec Eden s’il le souhaite, mais au vu de ses mots, ce n’est pas le cas. Ce n’est qu’un chagrin de plus à entasser sur sa pile de choses à pleurer, desquelles il se sent coupable. Qu’a bien pu vivre Eden pour être si méfiant envers les jedis ? San n’ose pas imaginer. Il a dû se sentir abandonné par les siens. San aussi, l’a abandonné. Il est responsable de la tristesse et de la colère qui émanent d’Eden. Il n’a pas fait de son mieux, il n’a pas été là pour son ami, peu importe si c’était la décision de maître Karaal. C’est lui qui a choisi de l’écouter.
A sa manière, il tente de ne pas brusquer Eden, restant attentif au sabre laser entre ses doigts sans pour autant dégainer le sien. San n’a jamais trouvé que des histoires de camp devaient définir ses amitiés. Eden est et restera quelqu’un de confiance, à ses yeux. Oui, je… Eden, je suis désolé. Pas le temps de s’épancher sur les retrouvailles, pourtant. Déjà, un grondement résonne entre les murs antiques et le sol se met à trembler légèrement, avant de cesser d’un coup. Le calme avant la tempête, assurément. San fronce les sourcils, scrute les environs à la recherche d’un indice sur le danger qui s’annonce. A son humble avis, le champ d’astéroïdes était suffisant, la Force aurait-elle des griefs à leur encontre ? Il soupire, sans prêter attention aux enseignements énoncés par maître Fenrir. Cela fait longtemps qu’il n’est plus un très bon padawan, pour ça. Ses années sans maître n’ont fait que renforcer son manque de concentration. Lèvres pincées, il pose son regard sur les fissures qui commencent à se former sous leurs pieds, puis essaye de trouver une solution efficace pour y échapper. Autour d’eux, rien ne paraît propice à s’accrocher.
Quand il entend son prénom lancé par maître Fenrir, il lui jette un œil interrogateur et il n’en faut pas plus pour qu’il se retrouve précipité en sa compagnie un étage plus bas. Nullement besoin de la Force pour amortir sa chute, un tapis de mousse phosphorescent l’accueille. Il ne connaît pas cette variété. Son premier réflexe, en se redressant, est d’appeler après son ami tout juste retrouvé : Eden ? Tout va bien ? Dans la semi-pénombre, il repère la silhouette de maître Fenrir, un peu plus loin. Pardon, maître Fenrir. Pas de mauvaise chute ? Il peut après tout soigner les blessures éventuelles, s’il peut se rendre plus utile qu’aux commandes du vaisseau, ça l’aiderait peut-être à remonter un peu son estime de soi. Il prend un moment pour observer le trou duquel ils viennent de tomber. Je peux tenter de grimper, mais je doute qu’il y ait assez de prises. Même en ayant passé trop de temps dans les arbres et sur les toits, l’entreprise lui semble vouée à l’échec. Ils sont probablement condamnés à suivre le murmure de la Force jusqu’au creux de l’édifice. Blasé d’avance, il accorde un regard sombre au couloir qui leur fait face. Pour finir claustrophobe, il n’y a pas mieux, vraiment.

Résumé:

C'est au creux d'Atlan que repose la présence de la Force ; délicate balade se trouvant au coeur de toute chose, Elle existe encore. Certes affaiblie par les horreurs commises par l'Empire, elle n'en reste pas moins habitante de ces lieux, entière bien que plus fragile. Longtemps, les Atlandes lui ont offert une demeure. Aujourd'hui, elle somnole faiblement et attend leur retour. C'est sous la terre souillée par les impériaux qu'elle trouve son confort ; plus haut, les plantes ont perdu de leur éclat et les animaux, quant à eux, sont moins présents. Mais au coeur d'Atlan repose une multitude de grottes et de chemins. Si plusieurs ont été pillés par l'Empire, de nombreux sont encore intacts et, souvent, empruntés par les bêtes. Le sol d'Atlan s'est ouvert ; c'est sous la surface salie par L'Empire que reposent les trois hommes, à présent. Ici bas, le murmure est plus lourd, plus grave. La Force se trouve partout et nulle part à la fois ; en ces lieux, Sa voix résonne un peu plus fort. Il suffit de tendre l'oreille pour identifier la direction d'où elle émane. C'est en accord avec son chant délicat, mais solide, que vient le grondement. Nombreux sont les animaux fuyant la présence humaine depuis l'arrivée de l'Empire. Tantôt accueillants envers les Atlandes, ils possèdent aujourd'hui une rage affolée face aux envahisseurs. Un visage n'est pas différent d'un autre.
L'appel de la Force reste régulier, doux. Il ne s'approche pas, ne s'éloigne pas. Il suffit d'écouter pour suivre le chemin désigné. L'autre bruit, quant à lui, s'accentue au fil des secondes. C'est un Nantang dérangé qui s'approche avec lenteur des hommes. Le bruit de ses six pattes contre la pierre et la mousse est audible tandis qu'il avance d'un pas lent, ses prunelles vertes luisent dans la noirceur. Dans le coeur de l'animal, une colère envers l'envahisseur existe. Jeune, il n'a connu que les individus de l'Empire. Haine et peur sont les sentiments présents dans son coeur. Et dans l'air, une odeur de sang repose ; l'un d'eux est blessé.

1 : Lors de la chute, San s'est éraflé la peau le long du bras. Il ressent la douleur après coup.
2 Lors de la chute, Eden s'est éraflé la peau le long du bras.
3 Lors de la chute, Aaron s'est éraflé la peau le long du bras.
4 Lors de la chute, San s'est éraflé la peau le long d'une jambe. Il ressent la douleur après coup.
5 Lors de la chute, Eden s'est éraflé la peau le long d'une jambe.
6 Lors de la chute, Aaron s'est éraflé la peau le long d'une jambe.
7 Lors de la chute, San s'est éraflé la peau le long du flanc. Il ressent la douleur après coup.
8 Lors de la chute, Eden s'est éraflé la peau le long du flanc.
9 Lors de la chute, Aaron s'est éraflé la peau le long du flanc.
10 Aucun d'eux n'est blessé. Le sang vient d'un petit Nantang, l'enfant de la bête approchant. Ils l'ont blessé en tombant.

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